Dans la série remake de série en série au ciné parlons un peu de "agent tres spéciaux : man from UNCLE"
C’est Guy Ritchie ( LES DEUX “sherlock Holmes”, “amours, crimes et botanique”) qui se colle derrière la caméra et moi qui me colle (avec 50 bouffeurs de pop corn) devant l’écran, un samedi soir, fatigué.
Le sujet (copier/coller d’allo cine) :
“L’agent de la CIA Solo et de l’agent du KGB Kuryakin. Contraints de laisser de côté leur antagonisme ancestral, les deux hommes s’engagent dans une mission conjointe : mettre hors d’état de nuire une organisation criminelle internationale déterminée à ébranler le fragile équilibre mondial, en favorisant la prolifération des armes et de la technologie nucléaires. Pour l’heure, Solo et Kuryakin n’ont qu’une piste : le contact de la fille d’un scientifique allemand porté disparu, le seul à même d’infiltrer l’organisation criminelle. Ils se lancent dans une course contre la montre pour retrouver sa trace et empêcher un cataclysme planétaire.”
Bon le résumé est un peu pourri mais le film, lui, ne l’est clairement pas.
Plutôt que de rajeunir, façons Mission Impossible, plutôt que de faire n’importe quoi, façons chapeau melon et bottes de cuir ou de ne rien faire façons “le saint”, Guy Ritchie film avec É-LÉ-GAN-CE et il a bon gout Ritchie.
En laissant (presque tous) ses effets habituelles au vestiaire et en prenant, surtout, à une époque ou les effets pyrotechniques sont censés aveugler le spectateur à la recherche d’une direction d’acteur, un malin plaisir à détourner sa camera des scènes d’action, le gars Guy, nous offre un film agréable. Tout simplement.
La distribution est aux petits oignons (Henry Cavill est très bon…comme quoi) et je demande Alicia Vikander en mariage des qu’elle aura pris 10cm.