Blague à part, combat d’arrière garde parce que ça fait longtemps qu’on le sait que la télé et le JT en particulier c’est de la merde en barre, il enfonce des portes ouvertes le Usul.
Et il parle pas aux bonnes personnes.
Ca me fait penser à une vieille quote de DTC, je la fait de mémoire…
Edit : Je l’ai retrouvée
Shadow: faut qu’on m’explique quelque chose
Shadow: pourquoi est ce qu’on prend les intelligents pour des idiots et vice versa ? Oo
Shadow: « ne pas ingérer le contenu de la lampe »
Shadow: je ne pense pas qu’un intelligent y ait pensé une seconde.
Shadow: je ne pense pas non plus qu’un abruti comprenne le sens du mot « ingérer ».
Durant des décennies, jusque dans les années 1980, des milliers de jeunes Suisses ont été jetés en prison sans procédure judiciaire, stérilisés, placés de force dans des familles d’accueil ou en maison de rééducation… Leur crime ? Une conduite jugée menaçante par une société éprise d’ordre et de conformisme.
Sur la base de témoignages, d’archives personnelles et de documents d’époque, ce film raconte le calvaire de ces enfants et décrypte un système politique et social qui a conduit des citoyens bien sous tous les rapports à en éloigner d’autres, au nom de valeurs morales.
J’avais entendu parler des orphelinats catholiques canadiens, ou des enfants ne pouvaient plus en sortir avant la majorité, ou des enlèvements d’enfants aborigènes en Australie, comme des pensions-prisons pour mères adolescentes en Irlande, mais visiblement malheureusement on voit que la plupart des pays ont été touchés par cela.
Dans la foulée de la vidéo d’Usul sur le Journaliste (d’ailleurs je crois qu’il en parle dedans), une autre vidéo d’un podcasteur sur YT sur la manipulation de masse des JT et autres reportages, entre autres choses (mais surtout, pourquoi et comment )
J’ai eu vent de lui dans des épisodes du Fossoyeur de Films, un dingue apparemment ce réalisateur (notamment le tournage en situation réelle en Amazonie…)
J’ai vu le documentaire « My best Friend » qui parle de la relation professionnelle orageuse entre Kinski et Herzog, mais qui n’avait pas l’air de gêner outre mesure Herzog, puisque finalement Herzog se servait de cette folie et ne semblait pas plus atteint que cela par ses colères.
Par contre, même si je ne suis pas étonné que Kinski était un fou furieux aussi dans le privé, je viens d’apprendre, en cherchant le nom du documentaire dont je parle dans le paragraphe précédent, que c’était un prédateur sexuel notamment avec une de ses filles.
Au sujet des films de fous après la « Aguirre, la colère de Dieu », Herzog et Kinski ont remis ça 10 ans après avec « Fitzcarraldo » en Amazonie, « Le tournage fut d’autant plus difficile que le réalisateur exigea qu’un bateau soit réellement hissé sur une colline. La seule concession aux effets spéciaux concerne la scène des rapides. ».
Dans laquelle son opérateur caméra a failli laisser une jambe.
Tout Werner Herzog est visible avec intérêt : c’est beau, intelligent, appliqué, inspiré… Et le mec est fou.