Blague ultra pourrie

[quote]Quelle est la différence entre Windows et un virus?

Au moins le virus il marche!!!

…[/quote]On sent la reflexion mûre et intense qui accompagne un post tout à fait objectif.

Il suffit de voir ta signature pour comprendre que tu es un rebelz

(tu n’as toujours pas compris que les trolls n’étaient pas franchement aimés sur la Cafzone ?)

Oui, je casse le thread, désolé, c’est la vie ! 

[quote]Pom2pin a dit
Quelle est la différence entre Windows et un virus? Au moins le virus il marche!!!
Mon dieu on touche le fond, là ! Gennnntil !

Pire encore alors (si c’est Dieu possible) : “Quel est le comble pour un dentiste? Sucrer les fraises.” Non je peux pas ! C’est trop mauvais !

Que s’est-t-il passé en 1111 ? l’invasion des Huns.

(Haaa ben si c’était possible !)

PG

Ce message a été édité par Petit_Geranium le 29/07/2003

PERROQUET INJURIEUX
C’est un gars qui a un perroquet depuis peu de temps.
D’un côté, il a de la chance, parce que son perroquet est très prolixe
il n’arrête pas de parler.
D’un autre côté, il est vraiment embêté, car tous les mots qui sortent du bec du perroquet ne sont que jurons et vulgarités.
Un jour, l’homme en a plus qu’assez.
Il attrape son perroquet à la gorge, le secoue très fort
et lui hurle

"ARRÊTE AVEC TES JURONS ! ! "

Malheureusement, cela ne fait qu’exciter le perroquet qui se met à jurer de plus belle. Alors le gars prend l’oiseau et l’enferme dans un placard.
Mais là encore, ça ne fait qu’énerver son perroquet qui lui balance un monceau d’insanités.
Alors le gars est tellement hors de lui qu’il prend le perroquet et l’enferme dans le réfrigérateur.
Et là comme par miracle, le perroquet se calme.
Au bout de quelques minutes, le gars ressort son perroquet du frigo…

Calmement, le perroquet monte sur son bras et dit:
" Je suis terriblement désolé pour tous les désagréments que je vous ai causés ".

Le gars n’en revient pas.
Son perroquet est totalement transformé ; c’est à ce moment-là que le perroquet ajoute

" Juste pour savoir… Qu’est-ce que le poulet avait fait ?"

bon ok…
mr et madame JEUNET on un fils.
Leurs fils a un ami MEXICAIN, dont le nom de famille est Ré.
comment s’appelle t il ? (/comment s’appelle le petit mexicain quoi!)

.
.
.
.
.
.
.
.

Rico… oui car RICO Ré, c’est l’ami du petit des JEUNET.

sans commentaires=)
Ce message a été édité par asyto le 29/07/2003

[quote]
On sent la reflexion mûre et intense qui accompagne un post tout à fait objectif.

Il suffit de voir ta signature pour comprendre que tu es un rebelz

Oula désolé c’était juste une blague pourrie comme le sujet du thread…

Ce message a été édité par pom2pin le 29/07/2003

PeterFurax, ta citation de Desproges tendrait à prouver que cette blague peut être drôle, mais que tu n’es pas son public ? ( de tout, donc de ça aussi, et pas avec tout le monde donc pas avec toi ? )
Pour Qat, peut-être est-ce parce que tu as des enfants, et que tu est belge, où la population est encore plus sensible aux exactions de Dutroux ; c’est juste une hypothèse, rien de plus. En ce qui me concerne, je n’ai pas vraiment de limite sur les blagues, j’applique la citation de Desproges au pied de la lettre, je peux rire de choses très moches, mais je suis conscient que tout le monde ne peut pas !
PS : ça ne m’empêche absolument pas de montrer de l’empathie dans certaines situtations, je ne suis pas un affreux non plus

Ok! Attrapez ca:
-Papa,c’est loin l’Amerique?
-Tais toi et nage!
  Mouhahaaahaa!

Attention, blague à 2 balles en approche !

Pourquoi les claviers français sont-ils plus chers que les claviers américains ?

Parce qu’un clavier azerty en vaut 2 !

J’vous l’avez bien dit qu’elle etait à 2 balles… (sans mauvais jeu de mots cette fois-ci)

-Toto arrête de tourner en rond !

-…

-Toto, j’ai dit, arrête de tourner en rond !

-…

-Bon écoute Toto ! Arrête de tourner en rond sinon je te cloue l’autre pied !

 Atlantis

Ce message a été édité par PymtiS le 29/07/2003

Bon à moi …

Un Spermatozoïde : " C’est encore loin l’ovaire ?"

Son Pote : “T’as le temps on vient juste de passer devant les amygdales”

2 spermatozoïdes :

“-putain mais on est completement perdu là … kesk’on fait ?
-J’en sais rien mais on est dans la merde.”

  • Qu’est ce qui est bleu et qui fait coucou?

  • Une main coincée dans une porte…

Pépito et son ami Chico s’amusent. Pépito demande à Chico de poser sa main sur la table. Chico s’exécute. Pépito sort alors un marteau et donne un grand coup sur la main de Chico, qui crie : “Aïe Pépito !”

[quote]Pépito et son ami Chico s’amusent. Pépito demande à Chico de poser sa main sur la table. Chico s’exécute. Pépito sort alors un marteau et donne un grand coup sur la main de Chico, qui crie : “Aïe Pépito !”[/quote]Mais merde elle est pourrave cette blague pourquoi j’ai explosé de rire …

MDR

Excellente la première de Vieux_Gars !

2 crapauds sur une route

La première :

  • Attention une voiture !!SCHPROCK!!

L’autre :

  • Quoi? !!SCHPROCK!!

Sortez couvert

Bon, je me décide… Ultra pourrie je ne sais pas, mais ultra chiante en tout cas. Connaisseurs de La Petite Mobylette Rouge ou de Freddy Le Petit Fantôme Rose, oyez oyez, voici : Le Bruit Dans Le Monastère.

Alors c’est un gars qui est en voiture, tard un soir, seul, et sa route traverse une forêt. Manque de chance, le moteur se met soudain à cracher, et il tombe en panne, au milieu de nulle part.

Evidemment il est bien embêté : la route est petite, les agglomérations sont loin, et la couverture réseau pour son portable n’est pas à la hauteur de la publicité. Il décide cependant de marcher un peu à tout hasard, avant de se résigner à passer la nuit dans son véhicule.

C’est là que la chance lui sourit : à quelques minutes de là à peine, il arrive à un monastère. Oui, un monastère perdu en pleine forêt, avec des vrais moines dedans. En tout cas il ne s’embarasse pas avec des doutes, tant il est soulagé. Il frappe à la porte.

Un moine lui ouvre, et notre voyageur lui explique sa situation.

  • « Ne vous inquiétez pas mon fils, nous comprenons votre embarras, vous serez à l’abri ici. Nous avons même un frère mécanicien qui pourra s’occuper de votre voiture demain matin, n’ayez crainte ».

Alors là le gars se dit que vraiment, le passage de Murphy a été très bref, parce que le voilà logé pour la nuit, et en plus on lui sert un bon repas chaud. OK, la chambre n’est pas bien grande et le lit est un peu dur, mais au moins il est au sec.

Mais voilà que les choses deviennent plus intéressantes. Figurez-vous en effet que pendant la nuit, il éprouve énormément de mal à s’endormir : une fois que le bruit ambiant dans le monastère a baissé (c’est un vieux bâtiment, et les arches ont tendance à faire résonner), il est tenu éveillé par un son obscur, sourd, mais vif à la fois, fascinant, et terrifiant tout en même temps. Il ne sait pas du tout ce dont il peu s’agir, et espère simplement ne pas en entendre la source s’approcher.

Rien de tout cela, car le lendemain matin il se réveille sans encombre, et le bruit ne se décerne plus des sons ambiants. Comme promis, un autre moine, levé très tôt, est allé réparer sa voiture ; et en bonus, on lui sert le petit déjeuner. Vous imaginez bien qu’il se confond en remerciements, il sait à peine où se mettre. Mais pourtant, avant de partir, alors que le même moine que précédemment le raccompagne à la porte, il ne résiste pas à la tentation, il demande :

  • « Mon père, quel était donc cet étrange bruit qu’on a entendu hier soir ? Je crois bien ne jamais rien avoir croisé de pareil, ça m’a vraiment beaucoup intrigué… »

  • « Ah, je suis désolé mon fils, je ne peux vous dire ce que c’était, car vous n’êtes pas un moine. »

Ah. Le gars est un peu étonné à cette réponse, mais après tout le bon traitement qu’il a reçu, il n’est absolument pas en position d’insister, alors il laisse couler. Il remercie à nouveau ses hôtes, et va retrouver sa voiture, qui est effectivement en état de marche. Il reprend alors sa route.

Coupure temporelle. Nous voici un an plus tard à peu près, exactement au même endroit (vous savez, comme dans X-Files, quand Mulder trace une croix rouge sur la route à la bombe, bah ça fait la même chose). Et comme vous vous en doutez, notre cher ami tombe à nouveau en panne (vous voyez quand je vous parlais du X Qui Marque l’Emplacement).

Bon, cette fois au moins il sait où aller (à noter que la couverture réseau ne s’était pas améliorée depuis le temps). Il se présente donc au monastère, où on l’accueille à nouveau. Les moines menant leur petite vie tranquille, la notion du temps leur échappe un peu, alors il ne s’étonnent pas excessivement de revoir une tête connue. Bref, à nouveau il est tard le soir, alors un bon souper et au lit.

C’est au moment d’aller se coucher que le gars se souvient de ce qui lui était arrivé un an auparavant. Alors même s’il n’ose pas quitter sa chambre pour se balader dans le monastère, il met un point d’honneur à bien tendre l’oreille pour enfin comprendre d’où peut venir le son si étrange, qui ne manque pas de se manifester à nouveau. Mais c’est sans espoir : parfois il se demande si les moines ne répèteraient pas pour former un groupe de rock, à d’autres moments il a l’impression qu’il doit y avoir un dragon au sous-sol. Vous comprenez que son imagination commence vraiment à le travailler. En tout cas le sommeil est finalement le plus fort, et il s’endort sans réponse.

A son réveil, il pose tout de suite la question au moine qui vient le chercher :

  • « Ecoutez mon père, j’ai à peine fermé l’oeil de la nuit et je sens que je ne pourrai plus jamais dormir tranquille de ma vie ; quelle est donc l’origine de ce bruit extraordinaire qui retentit la nuit dans ce monastère ? »

  • « On a déjà du vous le dire, mon fils : je ne peux rien vous révéler à ce sujet, car vous n’êtes pas un moine ! »

Alors là le gars est vraiment frustré. Il faut qu’il sache. Il prend donc une décision :

  • « Bien, dans ce cas mon père, je veux me faire moine. Dites-moi ce que cela implique. »

  • « Vous êtes sûr mon enfant ? Les conditions d’accès pour une personne comme vous qui prend une telle décision du jour au lendemain sont très contraignantes ! »

  • « C’est tout réfléchi. Je veux me faire moine, pour pouvoir connaître l’origine du bruit qui hante ces lieux. »

Le moine n’a plus rien à lui répliquer, alors il réunit ses frères et leur expose la situation. Un haut comité se réunit et viens apporter son verdict au voyageur quelques heures plus tard :

  • « Après délibération, mon fils, nous avons choisi d’accéder à votre demande. Mais les épreuves qui vont font face seront très ardues. Etes-vous prêt ? »

  • « On ne peut plus prêt, mon père. »

  • « Alors voici. Pour commencer, il vous faut aller compter le nombre de brins d’herbe qu’il y a en ce monde. »

– Insert surprise jingle here –

Houla, le gars ne s’attendait pas à ça. Il est donc assez estomaqué, mais il ne recule pas, sa décision est prise.

  • « C’est bon, je vais faire mes recherches et je reviendrai vous communiquer ce nombre dans les meilleurs délais ».

Et sur ce, il quitte le monastère. Sa voiture avait à nouveau été réparée.

Bon, c’est pas tout ça, mais il a du pain sur la planche. Par chance, il est chef d’entreprise et a connu un certain succès, donc la question financière ne devrait pas se poser. Et encore heureux, car en l’espace de quelques mois il mobilise un monde fou sur la question : il fait appel à la NASA et à l’ESA pour des photos satellites, à des biologistes et géologues, à des mathématiciens statisticiens… Bref c’est une très grosse opération. N’empêche qu’en l’espace de deux ans les recherches sont terminées, et on lui donne le résultat le plus précis que la technologie actuelle puisse fournir.

Assez content de lui, le voyageur retourne donc au monastère. C’est le milieu de l’après-midi cette fois, et il rencontre tout de suite le vieux moine qui lui avait confié la mission.

  • « Mon père, j’ai réussi. Je suis en mesure de vous annoncer le nombre exact de brins d’herbe sur cette terre. Au plus précis de la science moderne, il y en a cent quarante-trois mille sept cent cinquante quatre milliards, trois cent quatre-vingt dix-huit millions, cent trente-trois mille neuf cent quatre-vingt dix-sept ; ni plus, ni moins. »

Alors là le vieux moine est vraiment étonné, et un large sourire se dessine sur son visage : c’est exactement le nombre qu’il possède également. Comment lui l’a obtenu, c’est une question qu’il vaut mieux ne pas poser, mais ça pourrait bien être une espèce de miracle.

Le voyageur, en voyant ce sourire, saute de joie : il était assez sûr de son coup, mais comme on dit toujours, en matière de brins d’herbe, il n’y a jamais de certitude. Là il n’a pas à retourner faire tous les calculs, car il a réussi du premier coup. Il commence à être excité à l’idée qu’il va devenir moine et qu’il va enfin pouvoir connaître l’origine du bruit inexplicable (qui résonne encore et toujours dans sa tête et qui l’a souvent empêché de dormir pendant les deux longues années). Mais il ne devait pas encore en être ainsi. Voici que le vieux moine lui parle :

  • « C’est vraiment excellent mon fils ; dans les rares fois où une autre personne a eu le courage d’entreprendre la tâche comme vous, elle ne parvenait jamais au bon résultat. Mais vous avez maintenant la possibilité de vous embarquer sur la deuxième épreuve ! »

Grosse déception du gars en face.

  • « C’est très simple en fait, maintenant il faudrait que vous comptiez le nombre de grains de sable qui jonchent les plages, les déserts, et tous les autres lieux de cette planète. »

Genre bonne nouvelle, le gars a déjà entendu mieux. Qu’à cela ne tienne, il ne va pas s’arrêter en si bon chemin !

L’avantage, c’est qu’il a déjà toute une équipe à sa disposition, et que le boulot est globalement le même. En plus son entreprise a encore prospéré dans l’intervalle, et s’est même retrouvée côtée au CAC 40, donc tout va bien de ce côté. La difficulté par contre, c’est que du sable, il y en a aussi sous la mer, au niveau des plages par exemple, et puis les considérations 3D comme la forme et l’épaisseur de dunes, dans le désert ou ailleurs, corsent énormément les choses. Il se voit même obligé d’investir dans des unités de calcul très puissantes, de plusieurs gigaflops. Mais au bout de trois années d’efforts, le résultat tombe enfin. Notre voyageur se rend aussi vite que l’éclair au fameux monastère.

Il a à peine passé la porte qu’il court voir le vieux moine, qui heureusement est toujours en vie :

  • « Ca y est mon père, ça y est ! J’ai le nombre que vous vouliez ! Je suis en mesure de vous annoncer le nombre exact de grains de sables, tous types confondus, en ce monde ! »

  • « Faites donc, mon fils. »

  • « Alors attention, il y en a : soixante-seize millions cinq cent quarante trois mille sept cent vingt-huit milliards, neuf cent quarante-quatre millions cent cinquante trois mille deux cent quarante. Encore une fois, pas un de plus ni un de moins, mon père, c’est du moins ce qu’affirme la science contemporaine ! »

Le vieux moine n’en revient pas. Il manque presque de faire un arrêt cardiaque. Le compte est bon ! (Le Million, Le Million, Le Million ! Euh, non, je voulais dire, une nouvelle fois on ne va pas s’attarder sur comment lui avait obtenu ce résultat).

Imaginez donc la joie du voyageur quand il apprend ça. Ah, ça paye de bien faire les choses ! Et justement en parlant de ça, il est vraiment temps qu’il obtienne sa récompense :

  • « Mon père, je sais bien que jamais deux sans trois, mais là je pense vraiment qu’en ayant réussi ces deux épreuves du premier coup, vous me devez bien désormais de m’expliquer l’origine de ce bruit ! Cinq ans que je n’en dors plus, mon père ! »

  • « Pas si vite mon enfant. Je suis d’accord, votre brillante réussite fait que vous n’aurez plus d’épreuves de ce genre à traverser. Néanmoins, il vous faut toujours devenir moine pour qu’on puisse vous dire ce qu’il en est du bruit dans ce monastère. »

C’est comme ça que le gars se retrouve embarqué dans un nouveau calvaire. Plus bref, mais tout de même assez difficile à supporter : les cérémonies sans fin, le jeûne, la méditation… bref à plusieurs reprises il manque de craquer. Heureusement que tous les soirs, l’ineffable bruit, auquel il est impossible de s’habituer, lui remet du plomb dans l’aile.

Et puis arrive finalement le jour J. Les dernières prières, la dernière cérémonie… le temps semble passer au ralenti tant il se fait long. Et à minuit pile, il est fait moine !

Mais voilà que les moines, fatigués, ont l’intention d’aller se coucher.

  • « Il n’en est pas question ! Je ne passerai pas une nuit de plus ici sans connaître l’origine de ce bruit ! »

Bon, alors le vieux moine se laisse décider. Voilà que tous les frères se regroupent et qu’ils prennent une petite et vieille porte cachée derrière une colonne au fond de la salle.

Derrière, c’est une interminable cage d’escalier qui les attend. Notre voyageur, cherchant à se distraire - car le volume du bruit va croissant, ils s’en rapprochent - se décide à compter les marches - c’est pas comme s’il n’était pas habitué à compter des choses ! Bon, pour info, il y en a 3500 très exactement. L’architecte avait du s’amuser.

En tout cas, une fois en bas, les moines s’écartent et lui indiquent une nouvelle petite porte en bois :

  • « Voilà qui te mènera à la source du bruit, frère. »

Alors là le gars se jette dessus ! Mais il manque de se démettre l’épaule en fonçant dedans, car bien sûr, elle est fermée à clef. Le gars se retourne, limite hystérique. On l’interrompt :

  • « Héla, du calme : voici la clef ! »

Maîtrisant à peine ses mouvements, le nouveau moine parvient à déverouiller la porte. Il l’ouvre d’un grand coup ! Juste pour se trouver nez à huisserie avec une autre porte, en fer celle-ci.

Comme sa clavicule lui fait toujours mal, il a un bref éclair de réflexion avant de se jeter dessus. Il se retourne vers ses nouveaux collègues :

  • « Oui en effet, voici la clef. »

C’est un moine différent qui lui a tendu, et des moines, il en a compté un cinquantaine. Eh bien ça ne faillit pas : derrière la porte en fer, une porte en bronze ; puis une autre en argent, suivie d’une en or ; une autre en étain, encore une en cuivre, puis en pierre, en argile, en métaux divers et variés, en plastique, en céramique, en bakélite ! Même une en adamantium. Je ne vous explique même pas l’effort pour ouvrir celle-là, et le boucan engendré. Cependant, il ne parvient même plus à couvrir le bruit qui hante les lieux : le gars sent qu’il s’en rapproche vraiment, qu’il ne peut décidément plus n’y avoir que quelques mètres ! Et c’est terriblement frustrant, parce que même si proche, il ne parvient toujours pas à l’identifier !

Et là, en bout de couloir, une porte chryséléphantine. L’or et l’ivoire resplendissent et miroitent à la lueur des torches. Le voyageur sent qu’il touche au but.

Tremblant à nouveau de tous ses membres, il saisit la dernière clef ; d’un effort surhumain, il la place dans la serrure ; il la tourne, la serrure se déverouille comme un charme ; il pousse la porte, qui tourne lentement sur ses gonds…

Et là, au milieu d’une immense pièce dont on distingue à peine les voûtes plafonnières, manifestement à des centaines de mètres sous terre… Voilà que se dresse l’origine de l’inexplicable bruit ! [cliquez !]

Dites, j’aurais pas battu le record du plus long post là ? Bon ptèt pas, m’enfin quand même, 0 copier-coller inside :wink:

Bon, la prochaine fois, ça sera Freddy le Petit Fantôme Rose :o
Ce message a été édité par Exaton le 29/07/2003

mais, mais pfffffffffffff je veux savoir !!!

  • ehh monsieur !!!
  • euh oui ???
  • Est-ce que votre frigo marche ?
  • eh ben oui …
  • dans ce cas rattrapez le avant qu’il ne cours trop vite !!!

fan-tas-ti-que

Je te deteste Exaton !