Tout le monde s’est déja servi d’un photocopieur. Que ce soit pour des documents usuels ou pour essayer sa tête aplatie ou les fesses de sa copine comme dans la pub’ (ne niez pas on vous a vus).
Parfois, surtout en entreprise, on photocopie même des documents super-huper-méga-ultra confidentiels. Jusqu’ici il n’y avait pas de problèmes. Une copie et pas de traces. Je dis jusqu’ici car la technologie a vu de la lumière et est rentrée voir si elle pouvait rendre service.
Effectivement, elle rend service. Mais pas de la façon qu’il faudrait ni même (potentiellement) aux bonnes personnes. En effet, de nos jours ces appareils peuvent être dotés d’un disque dur dans le but de stocker des données lors de copies complexes. Et qui dit disque dur dit données stockées.
En Norvège, un employé a donc copié les données inscrites sur le HD de la photocopieuse pour les revendre à une société conccurente.
Ajoutez à cela le fait que ces machines ne sont plus la propriété des entreprises, mais celle des compagnies de leasing, et vous vous retrouverez avec un beau problème de circulation de données confidentielles sur les bras.
Si vous retrouvez le popotin de votre copine/secrétaire affiché sur le mur de votre concurrent, regardez d’abord sa photocopieuse achetée d’occasion au lieu de la virer d’office
(je suppose que je ne dois même pas (d)énoncer le nom du responsable du titre…)
Source : Matériel.be