Histoire à suite spéciale clichés

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Il fait nuit, ce soir là, sur la californie. La corvette éclaire la route sinueuse au bord de la falaise et roule à vive allure en direction de San Fransisco. Elle est complétement seule sur cette route qui domine l’océan Pacifique. Mais quelque chose ne va pas.

La voiture n’en finit pas d’accélérer. Elle se déporte dangereusement de droite à gauche sur la chaussée franchissant la double ligne jaune marquant le milieu de la route.

Les pneus crissent, les graviers volent dans les virages quand la voiture dérape sur l’accotement… Et là ! C’est le drame !

La voiture se déporte beaucoup trop ! Elle file tout droit dans un virage, détruit le muret en pierre et plonge dans le vide ! A peine l’avant touche les rocher en contrebas que la voiture explose.

“NooooOOOOOOON !” John se redressa d’un coup dans son lit, trempé de sueur et haletant. Encore ce fichu cauchemard… Il regarda autour de lui. Son appartement, bercé par une lueur bleuté était très calme. Son chien Toby le fixait avec un regard endormi. Il n’avait pas trop apprécié ce réveil bruyant. Le réveil indiquait 3h37 du matin.

John se leva, enfila un caleçon et se dirigea vers la cuisine. Il ouvrit le frigo dont la lumière éclaira la pièce. John saisit la bouteille de lait, la porta à sa bouche et se ravisa. Il aurait besoin d’un remontant plus efficace. Il reposa alors la bouteille de lait puis alla dans le salon. Il était jonché de vétements et de vaisselles sales. Il se servit un scotch puis le sirota en regardant par la fenètre le quartier de San Fransisco que son appartement, en hauteur, dominait. La ville paraissait paisible. Le bruit urbain était percé par la sirène d’une ambulance au loin.

Ca faisait maintenant 2 ans que sa femme Cindy s’était tuée dans cet accident de voiture. Il ne pouvait s’empécher d’y penser et faisait machinalement tourner son alliance avec son pouce en pleurant. Il s’assit dans son canapé et se resservit un verre. Il posa ses pied sur sa table basse juste à côté de son insigne et de son Holster qui contenait son arme de service. D’un coup, il la saisi et la porta à sa tempe - il se mit à sangloter - puis se la mit dans la bouche. Il poussa un cri et reposa son arme. Elle lui manquait tellement !

Il se reservi un troisième scotch.

BOUM BOUM BOUM !

…On frappait à sa porte. John ouvrit les yeux, il était toujours assis dans son canapé, Toby dormant en boule à côté de lui. La lumière du jour percait à travers les stores vénitiens.
-“Ouvre moi John ! C’est Stephen !”

John Soupira, se leva et ouvrit la porte. Stephen, son partenaire bedonnant le regarda en souriant, mais son regard était triste en le voyant.
-“T’es toujours pas habillé ? Tu te laisse aller, Mon vieux ! Heureusement, j’apporte le petit déjeuner !”

Il portait effectivement un sachet de Donuts et deux gobelets de café en carton. Il plissa le nez en rentrant dans l’appartement.
-“Meeerde, John ! Depuis Combien de temps t’a pas aéré ici ? Va t’habiller, une longue journée nous attend.”

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Ce message a été édité par Ash_Barrett le 24/11/2003

La voiture de Stephen etait garrer juste devant l’immeuble, c’etait une Ferrarie superbe, John c’etait toujours demander comment Stephen avait pus ce l’acheter avec son salaire de flic.
Stephen etait rayonnant, a tel point que John lui demanda si il allait bien. Il repondit tous souriant “Hier matin j’ai inviter Carla a un rendez vous le soir meme dans un petit restaurant Francais tres chic, et tu sais quoi ? je l’ai demander en mariage, et elle a accepter ! et c’est pas tous, elle ma dit qu’elle etait enceinte de moi, tu te rend compte ? tient au fait regarde sa photo, n’est t’elle pas jolie ? j’ai decider de quitter la police et de prendre le travail de cadre dans une multinationale que son pere ma proposer, aujourd’hui c’est mon dernier jour, dingue non ? c’est comme si je partait en retraite”.
John avait le souffle couper par cette revelation, il le felicita meme si il etait triste de voir partir son coequipier.

Plus tard dans le commissaria, alors qu’il tappait d’un air songueur sur son clavier, ils furent appeller par le commissaire, un grand noir qui s’enervais comme un rien.

“bon les gars, il y a eu un meurtre hier. Un scientifique allemand du nom de Rihtzoven a été tuer dans son laboratoire alors qu’il travaillais tard la nuit, je veut que vous enquetier sur ce meurtre, et essayer de ne pas detruire la moitier de la ville cette fois !”.

John et Stephen se miret en chemin dans la Ferrarie, il etait pres d’une rue descendante de San Francisco lorsque…

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Ce message a été édité par Wild le 24/11/2003

Un visage arrêta son regard, et le temps fut suspendu. Ces cheveux blonds bouclés au loin lui rappellaient Cindy, et l’espace d’un instant il cru la reconnaitre.

Mais non, ce n’était pas elle. A quoi était-il bon, ce prétendu policier qui a des hallucinations. Ca ne pouvait plus continuer. Cette fois soit il réussissait soit il rendait son insigne.

“Stephen tu sais, j’ai 35 ans, je me fais vieux. Tu te souviens avant hier, ce salopard qui a volé le sac d’une vieille? Il m’a semé ce con. Je suis trop vieux pour ces conneries”.

Puis il se souvint du visage de ces enfants qui s’étaient retrouvés pris entre deux feux. Il n’oubliera jamais les larmes de ces gosses, et il s’était juré en annoncant aux parents les decès qu plus jamais il ne manquerait de sauver un innocent.

Il alluma une cigarette, et une pluie fine commencait à s’abbatre sur les hateurs de  San Francisco.

Alors qu’il était plongé dans ses songes, son talky-walky le réveilla. “Nom de Dieu Stephen j’ai mis la moitiée des flics de cette putain de ville sur le coup. Vous avez intérêt à trouver quelque chose alors buogez vos sales culs!”.

Nous arrivames sur la scène du meurtre. Un entrepot désaffecté des docks. C’était une vraie boucherie. Le légiste était formel: Rihtzoven avait été maintenu en vie 200 heures dans d’atroces souffrances avant d’etre éxécuté. Partout sur les murs, des graffitis satanistes.
“Encore un coup de ces connards de skins” dit Stephen.
“En tout cas c’est ce qu’on essaye de nous faire croire…”, répondit John en froncant les sourcils. “Regarde ca, une entete de lettre du cabinet du vice-président des Etat-Unis. Etrange, non?”
-“Tu n’insinues quand même pas que le vice président est impliqué. Voyons c’est absurde et impossible”.
-“Je n’écarte aucune piste, et personne ne me fait peur. Je suis un flic et ferai mon job.”

John ajouta "Ca sent mauvais cette affaire…"
Et encore ils n’avaient pas tout vu: une nouvelle recrue s’écria: “regardez ce que j’ai trouvé dans la bouche du mort!”

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Ce message a été édité par Fenix le 24/11/2003
Ce message a été édité par Fenix le 24/11/2003

… et il leurs montra un doigt ensanglanté, puis pouffa en hurlant “j’rigole, simplement sa langue, haha”

 

« Quelle con cette nouvelle recrue » , ajouta John, puis il la descendit, sous le regard effrayé de stephen.

« Tu vois Stephen, ma vie est perdue, ma femme m’a quitté, comme tu me l’as dis, je pue, je ne suis plus rien dans cette ville »

« Ne crois pas ça, on peut toujours s’en sortir, il suffit de le vouloir…»

« Non, Stephen, on ne me la fait plus, j’ai trop cru et on m’a trop trompé, je hais cette société, je hais cette ville, je hais tout ses habitants, j’en ai marre. Je ne devrais pas te raconter tout ça, mais il faut que tu saches, avant de mourir. Il y a longtemps, lorsque j’avais encore beaucoup d’idéaux, que j’espérais encore pouvoir aider les gens dans la police. Mais j’ai vu mourir trop de gens.

 

Bien sur, la première fois, j’ai espéré, je me suis dit, John, tu peux changer le monde, mais depuis, j’ai vu trop de flic pourris, trop de flics qui n’attendent que la paye pour s’adonner a des activités grasses, une bière ou un whisky a la main, à faire des barbecues le dimanche en famille, entourée de sa femme liftée, de ses gamins obèses et de son chien con.

Et pas un seul pour rattraper l’autre.

 

Tu sais, Stephen, un grand poète a dit  ‘donne et le monde sera plus beau’ j’ai trop donné. »

« Arrête John, tu as un instant de faiblesse, reprends toi… »

« Ta gueule, laisse moi finir, ce n’est pas un instant de faiblesse, je sais ce que je fais, de toute façon, tu es comme eux. » il balança son gros bras et Stephen s’étala au milieu des caisses de bois.

« Je sais ce que je fais, Stephen, ça fais déjà six mois que je prépare ce coup… »

« Donc c’est toi ! » soupira dans un râle Stephen.

« Oui, c’est moi, je veux débarrasser cette ville de tout ce qu’elle contient comme….

…Cette ordure de Tino Cambora!!"
Stephen accusa le coup.Tino Cambora était le parrain de la mafia locale.
Il trempait dans de nombreuses affaire de drogue,de racket et beaucoup de personnes qui l’avait cotoyé avaient finalement disparus sans laisser de traces.Mais un jour ce fut son tour est on l’avait decouvert criblé de balles dans sa limousine,ses gardes du corps également massacrés.

“-John ,non, tu ne peux pas faire justice toi méme!
Autrefois ,a l’école de police nous avions juré de servir les citoyens et par dessus tout, la loi!Et maintenant tu te prend pour le juge ,le juré et le boureau?
-La loi?mais Stephen ,ils sont tous corrompus et maintenant la loi,c’est moi!”

John lui tourna le dos et sauta par la fenetre dans un fracas de verre.
Celui qui autrefois était son ami se releva peniblement et regarda par la fenetre.
John avait disparu.

John avait  les machoires crispées.Il se revoyait donner un coup de poing a Stephen
Il murmura:
“Pardonne moi mon vieux mais il ne me reste plus que cette solution”.

Il arreta sa voiture, devant le “Technoir” un repere de dealers et d’affranchis du bas de l’echelle.

Rihtzoven n’était pas un de ces scientifiques qui invente de nouvelles drogues mais pendant ses nombreuses enquetes sur Cambora,son nom était apparu plusieurs fois.

Peut etre l’avait on intimidé pour finalement l’assassiner?

Il voulait en avoir le coeur net!
Il posa la main sur…

Ce message a été édité par Nouch le 24/11/2003

…son front et se demanda l’espace d’une seconde s’il ne devrait pas renoncer a mener cette enquête. Mais il n’avais plus rien a perdre et se décida a pénétrer dans le « Technoir ».

 Le Technoir  étais en réalité un bar a streap-tease mal famé. A peine rentré à l’intérieur John repéra quatre voyous qu’il avait jadis arrêté en train de mettre des liasses de billet dans le string d’une danceuse. John s’approcha des quatre voyous et se mit en face d’eux.

Billy le reconnu aussitôt et s’écria : 
  •    « Tu manque pas de culot toi de venir te présenter devant moi ! »
    
  •     « Salut Billy alors comment va ta mâchoire depuis la dernière fois qu’on s’est vu ? »rétorqua John avec un léger sourire
    
  •    « Je vais te clouer le bec sale flic ! » s’écria Billy en sortant de sa veste un 347 Magnum.
    

    John fit un saut latéral au ralenti tout en sortant de sa veste deux pistolets de très gros calibre. Lorsqu’il toucha le sol il fit une roulade et tira un coup de feu sur un des sbires de Billy. Celui-ci fut touché en plein cœur et projeté 5 mètres en arrière. Aussitôt John refit un saut qui l’amena directement derrière le bar à l’abri des balles de ses assaillants. Toutes les bouteilles qui étaient derrière le bar volaient en éclat et les balles fusaient dans tous les sens.

    C’est a ce moment la, qu’attirés par le bruit, une vingtaine de malfrat fit irruption dans le Technoir pour prêter main forte a Billy. Néanmoins il en fallait plus que ça pour effrayer John car celui-ci avait été tireur d’élite dans une unité ultra-secrete lors de la guerre du Golfe. En vingt coups de feu John abatis les 23 complices de Billy puis il désarma Billy en tirant un coup de feu dans sa main.

 John s’approcha alors de Billy et dit :

  •     « Dit moi tout ce que tu sais sur la mort du docteur Rihtzoven, je sais que ce crime doit avoir un rapport avec les gros bonnets de la drogue. »
    
  •    « Je dirais rien » s’écria Billy
    
  •    « Vraiment ? »dit John en appuyant sur la blessure de Billy
    
  •    « Ok ok arrête le responsable c’est…
    

    PAN !! Le coup de feu qui résonna laissa Billy sur le carreau. John se retourna pour voir qui en étais le responsable et resta pétrifié.

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Ce message a été édité par turborunner le 24/11/2003
Ce message a été édité par turborunner le 24/11/2003