Là je l’avoue mon titre de thread n’est que moyennement explicite mais j’éspere qu’en parlant musique je ne subirais pas la honte d’un “lock” dont j’ai déjà était coutumié. Enfin bref Miouuuuuziq donc pour mieux parler du groupe, à mes yeux, déjà culte des trois britishs de Muse.
Après un premier album, Showbiz, plus que réussi et dont nous, français, avons pu nous régaler avant le reste du monde (faudra qu’on m’expliquer d’ailleurs comment cet album est arrivé dans les bac français en exclu mondiale!) puis un second disque ENORME (raaaaaah New Born, Plug in baby, Feeling good… j’en passe et des meilleurs!) nommé Origin of symmetry on va enfin avoir droit à un VRAI troisième album!!! Non parce qu’entre temps y’a bien eu Hullabaloo mais, si le live au Zénith est très bon, il faut bien avouer que les “B-sides” promises sur la jaquette sont loin d’égaler les morceaux des deux premiers CD.
Nous voila donc près à acceuillir dans nos bacs dès le 22 septembre Absolution qui, selon les premiers écho s’annonce comme une réelle petite bombe. Quatorze titres, au lieu de 12 et 11 pour les précédentes oeuvres, ça fera de quoi se régaler à mon avis.
J’ai pas encore eu l’occasion de l’écouter mais voila déjà l’avis de la Fnac:
“Apparu en 1999 avec un premier album renversant (” Showbiz "), Muse révélait un très grand groupe revendiquant une influence manifeste : celle du Radiohead fiévreux et rock and roll des débuts. " Origin Of Symmetry ", sorti en 2001, montrait que Muse possédant plus d’une corde à ses guitares et que son talent valait nettement plus qu’un simple pastiche du groupe de Thom Yorke. Cette fois-ci, " Absolution " enfonce définitivement le clou. Dès " Apocalypse Please ", second titre ouvrant le bal après un court prologue instrumental, Muse sort le grand jeu et montre à quel point son talent est considérable. Et si l’ombre de Thom Yorke (celui de " The Bends " ou " Pablo Honey ") plane toujours dans la gorge de Matthew Bellamy, chanteur lyrique époustouflant, cet ci, ici et là, quelques boucles électro évoquent les incursions expérimentales de Radiohead, les guitares démentes ne tardent jamais à sortir leurs dents acérées, tandis que le groupe enfile un festival de mélodies ahurissantes et de refrains grandioses. Un très grand disque. Attention, édition limitée collector incluant un DVD du making of de l’album. Ne le ratez pas, il n’y en aura pas pour tout le monde ! "
Et puis juste un autre petit avis, celui de Start Up, un magazine gratuit que l’on trouve chez les disquaires indépendants:
“Muse se fout éperdument de ce que peuvent bien penser les gens (par les gens, s’entend tout ceux qui ne sont pas inscrits au fan-club). Sinon, il est probable qu’ils auraient évité d’enregistrer un disque aussi casse gueule: grand envolées lyriques au piano (ndm: MIAM!), voix poussée à l’extrëme (ndm: re-MIAM!), solos de guitares (ndm: en réecouttant le tt début de Plug in baby je dis re-re-MIAM!)… Absolution, c’est un peu la rencontre de Queen et de Coldplay (ndm: je me sens obligé de redire un re-re-re-MIAM vu combien j’aime ces deux groupes!). Quelque chose d’assez improbable qu’on aime ou qu’on déteste. Reste que ce groupe a énormement de talent, et devrait une nouvellle fois séduire les moins de vingt ans (ndm: ce qui tombe bien dans mon cas!).”
Voila donc je donne rendez vous aux fans dès le 22 de ce mois pour lire leur propre critique!!!