La société Polyphonic HMI vient de révéler un projet monumental ! Ils ont inventé un programme qui permet de convertir de la musique en équations afin de savoir si ce morceau a le potentiel pour être un tube.
Je vois d’ici certains prier pour les pauvres producteurs qui vont perdre leurs emplois, mais rassurez vous, ce programme est encore loin de la perfection! Et même en le peaufinant, on peut douter de la capacité de juger un morceau en le transformant en équation !
Vu la subjectivité de la musique, c’est tout bonnement impossible.
L’industrie du disque fonctionne avec une autre méthode ; j’ai nommé le matraquage médiatique.
La chanson qui marche n’est pas toujours la meilleure, mais plutôt celle que l’on aura imposée aux gens 20 fois par jour, les obligeant à l’assimiler comme étant un bon morceau.
Vous pouvez donc dormir tranquilles, les disques vont continuer à se suivre et se ressembler avec ou sans ce programme !
Mettre en équation une musique, outre l’histoire de la subjectivité, je trouve ca également idiot pour le simple fait que la musique se calcule pas, elle se vit (ouah ! )
Comme quoi, vive les petits groupes ! Vive Merzhin !
J’attends de voir ce que ça donnera avec du Aphex Twin (ou du Nine Inch Nails, ou du Boards of Canada, ou du Squarepusher, ou du Britney Spears, ou du …).
Rien qu’avec “54 Cymru Beats” (afx) je pense qu’on serait servis niveau équations.
Et puis, “music is math”…
(analyser une musique bien foutue en mode spectral est intéressant, aussi)
D’un point de vue scientifique, ça doit quand même être intéressant de mettre ça en équation, vue qu’une partition c’est quand même la première représentation temps/fréquence qui a existée…
Bon après, de là à prédire ce qui fera un tube…:-S
Arf, mettre une belle équation de physique quantique dans cette machine, doit donner, dans l’autre sens, un morceau bien chiadé, style Chuis Ingénieur Informaticiennnnn.
L’ordinateur peut créer de la musique d’ascenceur aléatoirement sans problème.
Et sans qu’on puisse discerner le moindre couac à l’écoute.
La mise en équation de la musique (pour créer) n’est plus un problème aujourd’hui.
Le procédé inverse n’est qu’une analyse spectrale du signal, qui peut être très facilement mis en équations (merci Fourier).
Grâce à cela on peut en tirer tout et n’importe quoi.
Quand à faire du “reverse engineering” de ce que font Britney, ou Celine (yep ! 3 ans d’exil OUAISSSSSS YESSS)
faut voir…
(M’enfin sans les maths, pas d’OCR, pas de cryptage, etc… pas de bras, pas de chocolat).
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