Le crédit social: la fin de la dictature de l'économie

A tous les geeks de la zone; lisez ceci

La richesse est la chose; l’argent est le signe.
Le signe doit aller d’après la chose.

Ceux qui contrôlent l’argent et le crédit sont devenus les maîtres
de nos vies… Sans leur permission nul ne peut plus respirer.

Le banquier est le créateur et le destructeur de l’argent. Manufacturer
l’argent est un acte de souveraineté qui ne doit pas être lié à la banque.

L’argent neuf, en venant au monde, appartient aux citoyens
eux­mêmes, à tous les citoyens, et devrait leur être remis
sous forme d’escompte sur les prix et de dividende social.

la suite sur
http://www.michaeljournal.org/vraics2.htm

Bussiere ! sors de ce corps tout de suite ! B)

La drogue c’est mal bordel… Tsss… B)

Tu peux livrer combien de gramme d’ici demain ?

Nan pasque ça a l’air puissant là, ça donne envie.

C’est sur cafzone ce genre de truc puants? Brrrr… Le facteur est membre de la zone?

On m’appelle ??? B)

Bien chiant le texte en tout cas j’arrive pas à lire la deuxième ligne.

Nan l’autre celui qu’est autant facteur que moi je suis etudiant, mais il est mis “a disposition”…

regardez la page d’accueil pour voir de quelle type d’assoc ça vient ce truc B)

ouais nan quand meme, je ne me serais pas permis ce genre de choses.
J’ai beau avoir des idées radicales parfois ou differentes, je les balance pas brutalement comme celà.
Meme moi je trouve que c’est trop là.

Bussiere

Bon bah alors je prendrais 3 champis et puis euh …
Nan mais c’est quoi ce texte là, je l’ai lu en bonne partie et … enfin on va pas commencer a commenter ca, ca ferait un troll donc je m’arrette là … B)

Ouais forcement là, tout raisonnement est impossible.

Bussiere
Genesis 19:5

Vive Staline ! …
ah je comprends mieux, sont a redmont B)

Comme d’hab…

“l’ancien gouvernement nous a mis au bord du gouffre, mais avec moi vous ferez un pas en avant camarades!”

Tant d’utopie dans un seul discours… j’en suis boulversifié.
Heureusement, depuis, on a compris que faire confiance à l’homme pour être raisonnable relève de l’absurdité.

Je ne dis pas qu’il n’y a pas des bouts qu’on peut reprendre, mais depuis on a “découvert” les travers liés à cette “abondance” offerte par la production industrielle : problèmes de santé (surpoids), problèmes écologiques (on s’en fout, c’est pas cher), et aussi exploitation du reste du monde. Oui parceque bon, les grandes idées là, ça marche sans exploiter une autre population que si toute la planète joue le même jeu, ou alors on vit en autarcie sauf que si ça marche trop bien, soit on a de l’immigration (et ça déséquilibre le modèle jusqu’à ce que finalement il ne marche plus), soit on se prend une guerre sur la gueule, soit les 2.

Mais bon, imaginons, le monde entier suit ce précept, ou bien on vit en autarcie.

Si on assouvit tous les besoins de tout le monde, il y a fort à parrier que certains vont s’en contenter.
En plus, j’ai comme l’impression qu’il surrestime légèrement le pouvoir de la révolution industrielle.
Qui alors pour faire un boulot qu’il ne juge pas interessant, mais qui pourtant répond à un besoin vital de la société, au hasard éboueur ? Alors si, on trouverait des gens pour le faire parcequ’il faut changer la télé de temps en temps, mais combien d’heures par semaine ? 10 ? Si tout le monde ne bosse que 10h/semaine, je suis pas sur qu’on réponde à tous les “besoins vitaux” de la population.
Et encore, là, on parle d’un monde parfait : pas de corruption, personne qui ne veuille détourner des services, etc. Ce monde n’existera que le jour où on aura anéanti tout désir de pouvoir, toute ambition. Moi je gage que si on détruit toute ambition au plus hauts niveaux, peu de temps après, l’ambition n’existera plus non plus au niveau le plus bas, et je ne parle pas que de l’ambition du pouvoir, car l’ambition de la réussite suivra.

Il y a une faille dans mon raisonnement, évidemment. Une chose peut sauver l’humanité : l’envie de bien faire simplement pour le besoin de l’humanité. Là les gens, même sans besoins, bosseraient parceque c’est necessaire au groupe, mais pas à eux. Mais alors là, c’est pas une campagne de pub qu’il faut faire, parcequ’il faut absolument que tout le monde soit dans cet état d’esprit. Il faut tout casser et ça ne sera pas principalement pour virer les gens les mieux placés, mais pour changer completement le mode de vie et de pensée des gens. Un monde parfait mais hyper fliqué, car si tout le monde est honnete, comment empecher quelqu’un de profiter de cette naïveté qui en découle ?
A part un lavage de cerveau, et une sorte de big brother où tout le monde surveille tout le monde, je ne vois pas comment cela serait faisable. (et même là, je suis pas sur)

Edit : et merde, j’ai encore fait un pavé, pardon

C’est rigolo comme le consensus peut naitre de rien parfois.
Un truc un peu inhabituel posté sur la zone, hop le bon geek moyen se rue dessus et le voue aux gémonies en phrases lapidaires.

Hum bon je taquine.

Reste que tout cela fait fortement penser à du prosélytisme au dernier degré (surtout vu d’où ça vient, cf la page d’accueil du site).

On ferme, non ?

Y a une contradiction dans ta phrase.

bon, son truc est moisi, mais il n’empeche que ce sont ces ******** de banquiers avec leurs ****** de credit qui nous permettent d’acheter des voitures, apparts, maisons, etc…(ou pas^^)
donc franchement…voila!
(mais je n’adhere pas a ses disgressions pour autant, hein! que nenni!)

[quote=“thebranlot, post:16, topic: 31129”]bon, son truc est moisi, mais il n’empeche que ce sont ces ******** de banquiers avec leurs ****** de credit qui nous permettent d’acheter des voitures, apparts, maisons, etc…(ou pas^^)
donc franchement…voila!
(mais je n’adhere pas a ses disgressions pour autant, hein! que nenni!)[/quote]
Bouarf… Les banquiers ont toujours vécu comme ça : je te donne de l’argent quand t’en as besoin, tu m’en rendras plus dans un moment; ça se fait depuis des millénaires. Maintenant t’es prévenu et si t’es pas con tu prendras un emprunt seulement quand t’auras pas le choix au lieu de t’acheter ta baguette à crédit.

Et comme ce genre de sujets me fatiguent, si y’a des gens pour débattre là dessus, ça se fera sans moi. B)