Fenix, c’est beau ton utopie : si tu achetes legalement ton CD, tu n’auras plus LE DROIT de te le copier sur ton baladeur MP3, car tu n’aura PLUS le droit d’avoir un logiciel de transformation CD vers MP3…
Si tu est d’accord pour etre bloqué sur un unique support, tant mieux pour toi, mois je ne suis pas d’accord…
Justement, j’aimerais bien trouver qqpart un article objectif qui explique ce qu’est exactement Palladium, cad ni de la propagande de Microsoft, ni un texte d’un fanatique de la « liberté d’expression » (liberté d’expression mon cul ouais… plutôt la liberté de copier des softs et des MP3… je critique pas le phénomène, je suis mal placé pour, simplement l’hypocrisie de ceux qui brandissent des grandes valeurs pour défendre leur seul petit droit privé à la gravure. Faut assumer ses actes.)
Et aussi un article lisible en un temps correct (pas l’article de 20 pages pour nerds dans le style en lien sur Slashdot 
)
Quelqu’un sait où trouver ça ?
ça va etre génial le palladium on va plus rien pouvoir faire !
Le lien que quelqu’un avait poste, mais efface par megarde par Caf:
Et juste pour le fun, pour les ‘M$ is pure evil’, un lien qui explique que sony fait aussi ds le tcpa (en anglais celui ci) sur kuro5hin
Ça confirme bien que les seules personnes à profiter du TCPA sont les grands groupes établis qui pourraient se regrouper en cartel, empêchant ainsi la venue de nouveaux acteurs sur le marché, et non le consommateur qui risque bel et bien de tomber dans le panneau
J’ai jamais vu par ailleurs qu’on pouvait empêcher qui que ce soit de dumper un bios… enfin moi c’est mon avis, j’ai pas non plus chercher à savoir comment ça marchait. Mais à partle particulier de base et les entreprises qui achetent du prémonter, je vois pas qui ça va emmerder…
Ah merde c’est presque tout le monde… 
Durée de vie de 8 ans pour un CD ?
T’es con ou simplement ignare ?
Mon père a des CD depuis près de quinze ans, et aucun n’a semble-t-il été détérioré par le temps, il fait toujours chier la maisonnée avec sa musique classique à fond ses baffles géants sans sourcillet parce que la qualité aurait été détériorée …
La durée de vie d’un CD n’a toujours pas été déterminée, justement parce qu’on n’a toujours pas su déterminer après combien de temps un CD était détérioré indépendamment du nombre de lectures et de l’endroit où on le stocke…
Si un CD pouvait se détériorer aussi facilement, ça se saurait.
Tu peux aussi rester poli, hein 
Si tu veux, j’ai des CD qui datent aussi, mais de là à dire que tous les CD durent autant j’en doute fort ! La preuve, j’ai gravé avec les tous premiers graveurs mes vieux jeux DOS sur disquettes pour pouvoir me débarrasser des disquettes. Et bien, heureusement que je n’en ai rien fait ! L’an dernier, impossible de relire ce CD (j’ai essayé sur une VINGTAINE de lecteurs tous différents, y compris le graveur). Bien sûr, ce CD n’a servi que 10 fois maxi et je suis très consciencieux avec ces choses-là : conservation dans mon placard sec à 20 degrés max. Bref, tout ça pour dire que sa durée de vie n’a pas dépassé les 10 ans !!! Car nos données ne sont pas pressées par des graveurs pros mais par des graveurs persos, et les galettes vierges ne sont d’égales qualités (surtout au début). Je pense que c’est de ça dont parlait Gilbert que tu as si gratuitement insulté, hum…
Heuu, ne pas confondre CD-R et CD pressés. Les 2 techniques n’ont rien à voir…
Effectivement les deux techniques n’ont rien à voir, d’où des durées de vie totalement différentes…
Pour rappel voici un survol des 2 techno :
[*]pressage en grande série de CD-ROM :
On commence par créer un glassmaster à partir de l’image-disque souhaitée. Pour ce faire, on utilise un disque en verre recouvert d’une couche photorésistante que l’on va exposer à un laser afin qu’il crée les pits (je vais vite, j’ai dit ;)). Ce glassmaster est TRÈS sensible, sa durée de vie n’excédant pas 1 mois ! On vérifie qu’il n’y a pas d’erreur et on va ensuite recouvrir le glassmaster d’une couche métallique par galvanisation avant de séparer manuellement les 2 couches. On obtient ainsi un père, une sorte de négatif du disque que l’on va traiter chimiquement afin de le rendre tout propre. La séparation ayant détruit le glassmaster, on va créer une dizaine de mères par galvanisation du père. Ainsi on pourra mettre au chaud le père. Car avec les mères on va pouvoir créer alors des fils stamper qui vont nous servir au pressage de nos galettes chéries. Vous me suivez jusqu’ici. Le glassmaster était le vrai, le père le négatif, les mères des vraies faces et donc les fils sont des négatifs (tel père, tel fils…).
Une fois toute ces étapes franchies, on va alors placer un fils qu’on aura préparé correctement dans une cavité avant de mouler une galette plastique par injection de polycarbonate à 300 degrés. Quand la galette refroidit, on obtient donc 2 couches. Celle avec des creux et des bosses contient les données, que l’on lira par la face lisse. On métallise la face cabossée :)avec de l’alu. La galette est enfin lisible, sauf qu’elle est hyper-fragile, donc on applique sur la surface métallisée une couche de protection en résine avant d’imprimer le titre. TADA. Tous les CD ainsi pressés sont vérifiés rapidement par un scanner pour dégager les gros ratages, un échantillon pris genre tous les 500 servant à un contrôle plus approfondi !
[*]gravage de CD-R :
En fait, sur CD-R vierge, il existe une sorte de rainure en spirale qui servira de chemin de lecture. Comme l’or, SAIBON :P, on remplacera l’alu par ce métal! Une couche de teinte organique sert de support qui en chauffant, sous l’action du faisceau laser, fera des bosses. (Pour la petite histoire, les pits (ou creux) d’un CD correspondent aux bosses d’un CD-R !!! Du coup on utilise génériquement le terme anglais pit). VALA VALA
On estime actuellement qu’un CD-R conservé dans de bonnes conditions (j’ai pas dit optimales, notez) a une espérance de vie de l’ordre de 15-20 ans (je parle pas de théorie :P) alors qu’un CD classique tape dans les 30 et +.
oui, hrmmm désolé de m’être ainsi emporté, ton estimation des “30 ans et plus” est déjà plus conforme à ce que je pensais… Le problème de Gilbert étant qu’il mettait tous les types de support dans le même sac…
N’empêche, j’ai du boulot devant moi apparemment…
Pourrais-tu à présent nous exposer quelles sont les conditions de conservation optimales d’un CD-R ? (version maniaque et version normale)
Merci d’avance
(je confus)
Les conditions optimales de conservation sont dans un local a genre 15 degres au sec et a l’abri de la lumiere et surtout des mechants U-V ;))) En pratique, je les conserve dans leur etui dans un placard le moins humide possible, a l’abri de la lumiere, mais bon, comme c’est dans ma chambre, je suis a 25 degres en ete et 20 degres en hiver ;).
ATTENTION, les esperances de vie que j’ai donnees sont des moyennes, calculees en l’etat de nos pov’ techniques de vieillissement accelere actuelles. Donc, ce qui est conseille a tout le monde, c’est de bien verifier les tout 1ers CD-R graves (genre ceux qui ont franchi l’age de raison), quitte a les regraver (ca mange pas de pain, vu le faible cout d’un CD-R vierge) car bon mieux vaut une assurance a moins de 1 euro la galette plutot que de se rendre compte dans 3 ans qu’il n’y a plus rien… Encore une fois, ca depend de l’utilite de notre CD-R. Mi-aout, je sais que je me suis fait un petit regravage de 20 CDs douteux en oubliant les fameux CDs de jeux DOS 
Heureusement que les disquettes refonctionnaient pour le coup (mais seulement sur mon lecteur IBM de mon PS/1 386 ;))…