Les films à voir

On voit que t’as jamais entendu mes parents parler français :smiley:

Si on me confirme que c’est bel et bien extrait du livre, effectivement ça name drop ad nauseam.

Aussi, si le film se passe en 2045, c’est pas débile d’avoir des références des années 80 à maintenant ?
Dans les films/livres se passant maintenant, on n’est submergé par les Zorro, Tarzan, Fantomas ou autre Flash Gordon…

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Je confirme que c’est un passage du livre, mais il est particulierement gratiné.

On ne peut pas nier qu’il y ait beaucoup de name dropping tout au long du livre, mais je ne pense pas pour autant qu’il soit juste de juger le livre sur ce passage.

Au début ca m’a clairement refroidi, puis j’ai arrêté d’y faire attention et au final c’est un livre qui se laisse lire.

Ouais je vois… j’ai aussi eu ce genre de nausée de référence dans une nouvelle de Stephen King qui n’arrêtait pas de citer des marques de produits… C’est lourd à lire, je trouve, mais si c’est juste du visuel, ça peut passer à mon avis. L’aspect catalogue pénible est moins invasif à l’image je pense.

Après, il faut que le réalisateur soit doué, bien sûr.

Regardez le court métrage intitulé Logorama. C’est que à base de références de produits connus et ça passe.

Ouais, mais faut comparer ce qui est comparable. Autant ça fonctionne avec un ton complètement décalé et sur une durée de 15 minutes, autant je suis pas convaincu que ça soit pas gavant dans un univers réaliste pendant 2h.

PS : je connaissais pas du tout Logorama, merci pour la découverte !

OK c’est pas le même format, mais j’imagine bien que le film de Spielberg ne va pas se focaliser uniquement sur des références clin d’oeil, ou alors là, bien sûr, ça sera relou. La bande annonce est là pour montrer un truc foufou, j’ose espérer que le film, sur la longueur, la jouera de manière plus subtile.

Des références appuyées, on en voit plein dans les films “d’époques” ou les reconstituions de périodes historiques, où les costumes, l’architecture, le langage même sont autant de repères à une époque, une façon d’être. C’est pas pour autant qu’on éprouve une saturation de références.

Ouais, enfin là non plus, ça n’a pas grand chose à voir. Tu compares des références/repères historiques nécessaires pour la contextualisation d’une histoire avec des références pop-culture balancées un peu gratuitement…

ouep, ça va être la limite du procédé en effet. Si les références sont justifiées, légitimées, c’est cool, sinon c’est vain et creux. Mais bon, je préfère partir sur un bon a priori.

Ca commence mal avec spielberg :frowning:
Il a quand meme rien fait de oufissime depuis les années 2000.

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Bon j’ai regardé le trailer, et autant après avoir lu le livre je trouvais le fait d’adapter ça hyper casse gueule, autant là je trouve que ça peut être sympa.
A voir sur pièce :slight_smile:

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Dans le roman ces éléments ne sont pas gratuits. Ils font contraste au contraire avec la vie de misère du héros.

L’oasis c’est l’accès à la culture. Et il démontre à travers cette page et d’autres à quel point il est cultivé mais aussi sincère dans son intérêt pour cette culture des 80’s.
Ce sont donc des éléments de psychologie du personnage en fait qu’on comprend ici. Et des éléments de motivation.

C’est la démonstration de ce qu’il faut pour gagner.

Sur le fond la démonstration de Spielberg est un peu immonde. Il faut son nom et ses moyens pour rendre possible ce film avec, à n’en pas douter un cabinet entier d’avocats qui a négocié toutes les autorisations.
C’est un peu l’inverse du message du livre il me semble…bref.

Mais j’en suis quand même hein.

J’ai lu le livre et je l’ai plus pris autant comme un livre avec une histoire sympa qui se lit bien que comme un livre qui veut faire découvrir pas mal choses qui sont depuis tombées dans l’oubli. Balancer 5000 références, au delà de la page stéréotypé qui a été copiée ici, c’est un peu tout le principe: le but étant de trouver celles qui ont marqué James Halliday pour avancer dans la chasse au trésor.

Si je relisais le livre aujourd’hui, je sais pas si je l’apprécierai autant qu’il y a quelques années donc peut-être que le film me plaira pas. Mais en tout cas le trailer a l’air fidèle au livre.

Après avoir subi Bright, Detroit et SW8, je me suis rattrapé avec Fences, de et avec Denzel Washington. C’est un joli petit film.

Dans les années 1950, à Pittsburgh, Troy Maxson, ancien joueur de la Negro League de baseball, est devenu éboueur. Il vit aujourd’hui avec son épouse Rose, son fils Cory et son jeune frère Gabriel, ancien soldat handicapé suite à une blessure à la tête.

Mieux vaut éviter les BA, elles en montrent trop.

Crime de l’Orient Express nouvelle version vue, et avec le point de vue de quelqu’un qui n’a pas lu le roman mais a vu le précédent et adoré. Du coup :
-meh
-Kenneth Brannagh s’aime beaucoup
-filmé et amené comme un tire-larme insipide
-ajout de “scènes d’action” qui sortent du film
-référence gratuite et ex nihilo de la Cène
-gros raccourcis au niveau de l’enquête
-le train qui fait que quatre wagons et est majoritairement en CGI dégueulasses.
Mais
-la direction photo est sympa
-le jeu sur les langues aussi (même si, facilité : quand deux francophones natifs se parlent en anglais, ça me fâche)

Vu Night Call hier avec Jake Gillenhal. C’est un bon film, mais je ne me sentais pas très bien. L’idée de savoir que des individus comme le personnage de Jake Gillenhal existent en réalité me met vraiment mal à malaise. A voir une fois et il ne vaut mieux pas être dépressif à ce moment là :slight_smile:

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J’adore ce film ! Je l’ai vu 3 fois avec plaisir !

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Il y a un “docu” sur le sujet sur Netflix : Shot in the dark

On a regardé les 4 premiers je pense, c’est intéressant et sensationnel même si cela ressemble un peu à un plaidoyer par moments.

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pareil j’adore la “non prise de position” du film, voila ce qu’il en est c’est une ordure et il réussi sa vie

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Maintenant que j’ai digéré le film, je pense que j’aimerais bien le revoir (surtout pour le faire découvrir à d’autres personnes). C’est quand même un gros taré Gillenhaal quand il s’y met :smiley:

Sa soeur est pas mal nom plus dans le genre rôles éprouvants (The Deuce, THe Honorable Woman…).
Et ça s’écrit avec un Y.