Il est vrai que les % reste les memes que sur un CD.
Mais le CD il faut le presser, en faire la pub, le distribuer.
La on peut penser la legitimiter du cout d’un MP3.
Meme si on peut faire passer le cout marketing sur le MP3, cela ne devrait il pas faire baisser le cout du CD ?
Ok ca reste qu’1 euros vous me direz.
mais sur un album ca fait 15.
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Soit je suis fracassé par un dimanche au ski, soit tu as oublié des phrases dans ton thread parce que là le début je comprend mais la fin… comment dire? Je vois pas de lien entre tes phrases (désolé)
J’expliques un peu: ce qui est pour le producteur est pour le producteur (majors). Le truc SACEM là, c’est pour les auteurs compositeurs (donc pas tous les artistes, mais seulement ceux qui écrivent ou composent leur chansons).
Donc 7 cents pour les artistes, sans compter les marges de la SACEM pour frais de fonctionnement.
Et oui, sinon les interprètes gagnent rien sur la vente de la musique en ligne.
Les 0.70€ ne sont pas assez détaillés.
Ils doivent correspondrent aux part du producteur, de l’éditeur et du distributeur et peut être d’un ou d’autres intervenants.
A savoir qu’un intervenant donné peut être producteur/distributeur/éditeur d’un morceau, ce qui est assez fréquent chez les majors.
Ouais, et maintenant on va pleurer pour le pauvre Virgin après les pauvres majors … Faut pas pousser mémé non plus, ils ont fait des études de marché, et là c’est nawak …
Nan nan les 70c sont juste pour la production/édition (c’est pas la même chose?) Les frais de distribution, c’est 5c. Silka a mal compris par frais de transaction, c’est toute l’infrastructure qui est comptabilisée (bande passante, etc…).
[quote name=’[PERE’]Cil, 21 Mar 2005, 15:26]Nan nan les 70c sont juste pour la production/édition (c’est pas la même chose?) Les frais de distribution, c’est 5c. Silka a mal compris par frais de transaction, c’est toute l’infrastructure qui est comptabilisée (bande passante, etc…).
[right][post=« 343117 »]<{POST_SNAPBACK}>[/post][/right][/quote]
Ok, ça se précise, je n’avais aussi pas prété attention aux termes employés.
Pour détailler d’autant plus, le producteur est, grossierement, celui qui paie pour que le disque soit fait, en temps, en argent et/ou en matériel pour que les musiques existent.
Faskil, si je ne m’abuse est son propre producteur, il à son matériel, créé ses musiques à la maison (d’ou l’origine de House music) et quand il veut que ca sorte, il s’adresse directement à un éditeur (dernièrement il tournait autour de chez Quatermass (toujours en profiter pour leur faire de la pub inopinée) si je ne m’abuse toujours pas).
Même Michel Jonasz (j’en parle parce qu’il s’est fait virer de son label recemment) avait monté sa propre boite de production (avant son éviction) et à rajouter son propre label par dessus pour éditer son dernier album.
Si ca se vend bien, il gagnera plus qu’à être simplement chez un major.
L’éditeur lui, il se charge béatement de fabriquer les CDs et d’appeller les distributeurs pour faire apparaitre les disques sur les étals. Mais sans oublier la pub et tout le budget afferent qui peut être important et ce qu’un label indé ne peut se permettre, ne jamais oublier ce détail.
Note : ne prenez pas non plus ce que j’écris pour sur, il me semble que c’est comme ça que ça marche, après, l’horreur est humaine…
