Petite blague du dimanche

Un avion est sur le point de se crasher. Il y a 5 personnes à bord et seulement 4 parachutes.

Le premier passager dit : “Je suis Kobe Bryant, le meilleur joueur de la NBA. Les LA Lakers ont besoin de moi. Je ne peux pas mourir”. Il prit un parachute et sauta.

Le second passager, Hillary Clinton dit: “Je suis la femme de l’ex-président des USA. Je suis aussi la femme la plus ambitieuse sur terre et je suis sénateur de New York et une potentielle présidente des USA…”. Elle prit le second parachute et sauta.

Le troisième passager, George W. Bush dit: “Je suis le président des USA. J’ai de grandes responsabilités. Je suis le leader du monde libre et de la plus grande nation mondiale. Et par dessus cela, je suis le président le plus intelligent de l’Histoire Américaine, donc les Américains ne veulent pas me voir mourir”. Il mit le troisième parachute et sauta.

Le quatrième passager, le Pape, dit au cinquième passager, un petit écolier de 10 ans: “Je suis vieux et malade et il ne me reste pas beaucoup de temps sur terre de toute façon. En tant que catholique, je te donne le dernier parachute…”

Le gamin répond: “Non, c’est bon, il reste un parachute pour vous. Le président le plus intelligent de l’Histoire Américaine a pris mon cartable…”

(merci a Anna pour la blague)

  1. Einstein arrive au Paradis, et devant la porte d’accès se trouve Dieu qui lui demande:
  • Nom, prénom, profession.
    Einstein répond:
  • Einstein, Albert, Physicien.
    Dieu lui dit:
  • il y a beaucoup de personnes qui se sont fait passer pour Albert Einstein, donc il me faut une preuve de votre véritable identité.
  • Donnez moi un tableau et une craie, dit Einstein.
    Dieu claque des doigts et Einstein se retrouve devant le tableau, sur lequel il fait la démonstration complète de la théorie de la Relativité. Dieu est épaté, et lui donne le droit d’accès.
    Quelques temps plus tard, Picasso se pointe devant la porte du Paradis.
    Dieu s’adresse à lui:
  • Nom, prénom, profession?
  • Picasso, Pablo, artiste.
  • il y a beaucoup de personnes qui se sont fait passer pour Picasso, donc comme Einstein l’a fait, donnez une preuve de votre véritable identité.
    Picasso demande une toile et des pinceaux, Dieu claque des doigts, et Picasso refait une de ses plus belles toiles période bleue.
    Dieu le félicite, et lui donne le droit de passage.

Bien plus tard, George W. Bush se pointe au Paradis et, est arrêté par Dieu, qui lui demande:

  • Nom, prénom, profession?
  • Bush, Georges, ex-président des Etats-Unis.
  • Ok, fait Dieu, mais beaucoup de personnes se sont fait passer pour Georges W. Bush, donc comme l’ont fait Einstein et Picasso, il me faut une preuve de votre identité.
    Bush le regarde et lui demande:
  • C’est qui Einstein et Picasso?
    Et Dieu lui répond:
  • C’est bon Georges tu peux rentrer…

Trop lol de lol… Ya bon les blagues de la cafzone… J’en veux encore !!!
[et pis comme ça je pourrais les ressortir pour le réveillon :stuck_out_tongue: ]

Mouahahahahaa ! Excellente cette dernière ! On a beau dire, quel déconneur ce doubleiou :stuck_out_tongue:

Bon on se fout de la gueule de Bush alors j’en mets une un peu plus subtile que l’histoire de Bush qui s’etouffe avec un bretzel … ah non merde ca c’est vrai.

Le Président George W. Bush fait le tour des écoles primaires afin de rencontrer les tous jeunes futurs votants du pays. Il entre dans une classe et arrive au moment où l’institutrice est en train d’expliquer aux enfants le sens du mot tragédie. L’institutrice se tourne alors vers le Président et lui propose de diriger la discussion. Ainsi l’illustre dirigeant demande aux jeunes élèves de lui trouver un exemple illustrant le sens du terme qu’ils viennent d’apprendre. Un petit garçon se lève et dit :
" Si mon meilleur ami qui vit à côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu’une voiture le renverse, ce sera une tragédie. "
Bush secoue tristement la tête :
" Non, mon petit… Ce serait un accident ! "
Un léger silence s’installe dans la classe. Le président insiste " Qui veut proposer autre chose ? "
Une petite fille se lève alors à son tour :
" Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le >monde meurt dans la chute. Ca, c’est une tragédie ! "
Bush secoue la tête à nouveau :
" Non, petite, il s’agit là d’une grosse perte pour le monde… "
Cette fois, c’est un lourd silence qui tombe sur le groupe. Bush s’impatiente légèrement :
" Allons, les enfants ! Il n’y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ? "
Alors, Petit Johnny du fin fond de la classe se lève : " Si Air Force One alors qu’il transporte M. et Mme BUSH, est frappé par un missile et est pulvérisé en plein ciel, ça c’est une tragédie ! "
" Fantastique ! " s’écrie le Président, le visage illuminé " Voilà une superbe illustration du mot tragédie ! Et peux-tu expliquer à tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ? "
" Parce que ça ne serait pas un accident et que ça ne serait sûrement pas une grosse perte ! "

lol

méga LOL :smiley: :smiley: pour les deux comme ça, pas de jaloux !

je connaissais la 1ere mais al deuxiemme non et elle est excellente :smiley:
LOL de LOL :smiley:

Superbe la seconde, LOL DE LOL DE LOL :wink:

moi je connaissais pas.

et je la note parcequ’elle m’a bien fait rire.
:mortel:

Il y a longtemps vivait un officier de l’Armée Royale nommé Capitaine Bravado. C’était un homme, un vrai de vrai, qui ne montrait aucune peur lorsqu’il faisait face à ses ennemis.
Un jour, alors qu’il naviguait sur les 7 mers, il vit un bateau pirate approcher. Son équipage était très nerveux. Capitaine Bravado cria:

  • Allez me chercher ma chemise rouge !
    Le premier officier alla chercher la chemise rouge du capitaine qui l’enfila aussitôt. Il mena alors son équipage à la bataille et tua tous les pirates. Ce soir-là, tous les hommes étaient assis dehors et fêtaient leur victoire. L’un d’eux demanda au capitaine :
  • Sir, pourquoi avez-vous demandé votre chemise rouge avant la bataille ?
    Le capitaine répliqua :
  • Si j’avais été blessé pendant l’attaque, mon sang n’aurait pas paru sur la chemise, alors, les hommes auraient continué à se battre sans peur.
    Tous les hommes le regardèrent avec admiration:
  • Quel homme courageux !
    Comme le soleil se levait le lendemain matin, les marins virent non pas un ou deux mais DIX bateaux pirates qui approchaient. L’équipage regardait dans un silence horrifié et attendait les ordres du capitaine. Capitaine Bravado regarda les 10 bateaux tranquillement, sans peur.
  • Il regarda ensuite son premier officier et cria calmement :
  • Allez me chercher mes pantalons bruns !

Mégaconnue, mais cool :wink:

Deja posté.
LoL kan meme.