Oh mais c’est la misère, je viens de perdre tout mon beau post suite à plantage, grmbl B)
Je recommence :
Pour la publication sur internet, deux choses :
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jeter un coup d’oeil des licences Creatives Common : ce sont, je cite, des autorisations non exclusives [qui] permettent aux titulaires de droits d’autoriser le public à effectuer certaines utilisations, tout en ayant la possibilité de réserver les exploitations commerciales, les oeuvres dérivées ou le degré de liberté (au sens du logiciel libre).
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idée : publier le roman/livre en “périodique”, et ainsi bénéficier de la possibilité de se faire attribuer un numéro ISSN (cf plus d’infos sur wikipedia. Par exemple, publication chapitre par chapitre.
Quant à choisir une maison d’édition :
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Geradon a publié un de ses romans via manuscrit.com (bien qu’il semble que l’expérience n’ait pas été aussi positive que ça, mais c’est à voir);
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il existe aussi des maisons “alternatives”, du genre In Libro Veritas et ILV-Editions, qui propose par exemple trois formules pas trop ruineuses (?) pour se faire publier sur papier.
Maintenant, 'faut voir ce que ça vaut. Quoique si le but est de se faire éditer à tout prix, c’est à creuser. Parce qu’il ne faut pas se leurrer, via une maison d’édition “classique” et “mainstream”, ça n’est pas forcément évident (j’ai pas dit impossible, pas taper).
A titre indicatif, vous pouvez toujours jeter un coup d’oeil à la liste des maisons d’édition en France sur Wikipedia, il y en a plus qu’on ne croit…
Enfin, le truc que j’ai lu vraiment très très souvent à propos de se faire publier, c’est qu’il faut se préparer psychologiquement à réécrire, réécrire, réécrire… [Ecrire, c]'est apprendre à ne pas transiger avec la qualité, mais cela ne se fait pas en une fois et en un livre, il faut des années pour affiner son exigence, son oeil, mais aussi pour réduire son orgueil à néant - le secret c’est de ne pas tomber amoureux de ce qu’on écrit, et de jeter, jeter, jeter - et réécrire, réécrire, réécrire. Certaines personnes ont du génie, cela arrive, mais c’est rare. Je crois plus au travail, ligne après ligne, jour après jour. (cf cet exemple mais en voilà un autre).
Edit: suppression des caractères bizarroides.
Edit 2 : ajout d’infos :
Tiens, je tombe aussi sur quelques idées pour “protéger” son oeuvre (lire tout l’article chez fantastinet.com):
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Le déposer dans un organisme spécialisé comme le SNAC : Syndicat National des Auteurs Compositeurs (80 rue Taitbout 75009 Paris), ou SGDL : Société des Gens De Lettres (38 rue du faubourg Saint-Jacques, 75014 Paris). L’organisme conservera le manuscrit sous pli cacheté durant une période de 4 ans. Les frais sous autour de 45 € .
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Le dépôt chez un officier ministériel, huissier ou notaire. C’est juridiquement la seule preuve irréfutable, mais il vous en coûtera de 100 à 150 €.
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La poste. Dans une enveloppe cachetée à la cire, l’auteur glisse son manuscrit et se l’expédie à luimême. Le cachet de la poste peut constituer une preuve.
Et en cas d’échec un peu partout (pas taper, bis), ou meme sans ça, pourquoi ne pas voir du coté de l’auto publication ? Lulu.com mais pas que ? A creuser ?
Sinon, il existe aussi un bouquin Comment se faire éditer B)
Je cite la fin de l’article parce que ça m’a fait sourire :
[i]« Les cinq conseils que je donnerais à un auteur souhaitant se faire éditer sont :
- N’écrire que s’il ne peut pas faire autrement, comme le conseillait R.M. Rilke à un jeune poète.
- Ne publier que s’il ne peut pas faire autrement.
- N’essayer de vivre de sa plume que s’il ne peut pas faire autrement.
- Ne se soucier de l’opinion des autres que s’il ne peut pas faire autrement.
- Et toujours aimer passionnément lire et écrire, quoiqu’il arrive. »
(Richard Ducousset, directeur général des éditions Albin Michel.)[/i]