[QUESTION]Comment se faire éditer

Salut salut,

Ma petite-amie fini actuellement d’écrire un bouquin, voudrait se faire éditer, et angoisse comme une malade en se posant plein de questions. Ni une, ni deux, je me suis dit que parmi tous les Geekzoniens et Geekzoniennes, y’allait bien en avoir un ou deux qui connaissent le milieu…
(nota : elle m’a dit que le droit d’auteur sur les bouquins n’avaient rien à voir avec le droit d’auteur dans l’édition musicale, mais elle n’est sûre de rien)

Parmi toutes les questions qu’elle se pose, en voici quelques-unes :

  • Comment doit-elle protéger son oeuvre : N° ISBN obligatoire ? Comment on l’obtient ? Comment on dépose un scenar (ou l’oeuvre) ?
  • Comment trouver un éditeur ?
  • Y’a-t’il des pieges d’éditeurs à éviter ?
  • Elle a l’intention de faire une suite… est-ce que l’éditeur qui va acquerrir les droits sur son livre obtient de-facto les droits sur les suites ?

Si vous avez les réponses à ces questions ou des experiences à partager, vous êtes les bienvenus.
Merci d’avance.

A confirmer mais :
Etape 1 : s’assurrer tout d’abord la paternité de l’oeuvre (indépendante du copyright) avant la moindre présentation à un éditeur. Pour cela, je ne sais pas s’il existe des organismes spéciaux, mais tu as la technique du recommandé qui peux toujours prouver l’anteriorité de l’oeuvre.

Etape 2 : Envoi du manuscrit a plusieurs éditeurs.
Etape 3 : Comme pour une embauche, faut relancer jusqu’a ce qu’un accepte d’éditer.

La paranoïa des jeunes écrivaisn qui s’estiment plein de talent dès la première oeuvre est parfois un peu élevée sans raison : les grands éditeurs ne pilleront jamais un livre qui leur a été envoyé, donc y a pas (trop) d’inquiétude à avoir de ce point de vue. Ils n’y ont aucun intérêt, parce que :

  • soit c’est minable, et de toute façon ton bouquin, ils s’en battent les roubignoles en dansant la macaréna.
  • soit c’est super, et dans ce cas ils vont signer, parce qu’ils n’ont aucun intérêt à faire partir un nouvel auteur.

Donc, qu’elle envoit son manuscrit à un éditeur, et ensuite faut attendre.
Pour la suite du livre, c’est peut-être un peu prématuré d’en parler B) Si l’éditeur trouve son bouquin génial, elle aura le temps d’y penser. Mais quoi qu’il en soit, ça va être très difficile de toute manière.

Quelques conseils quand même :

  • on présente toujours une oeuvre en format A4.
  • pas de recto verso.
  • police aérée, avec double interligne (eh oui).

Si les éditeurs classiques refusent, alors elle pourra essayer d’éditer son bouquin soit à compte d’auteur, soit sur Internet, et là les questions de droits se posent déjà un peu plus.

perso je ne jure que par l’enveloppe soleau :
http://www.progexpi.com/htm21.php
http://fr.wikipedia.org/wiki/Enveloppe_Soleau

pas trop cher, et si jamais on essaye de t’avoir tu as une bonne preuve de ta bonne foi.

J’en ai trois personnellement et j’en suis tres content vu le rapport cout / protection.
C’est un systeme tres bien pour les debutants et les personnes debutantes.

Bussiere

Je suis assez d’accord avec FMP. D’ailleurs, faut que ta copine se prépare à en prendre plein la poire, même si le livre sera finalement édité (ce qui est statistiquement fort peu probable).

Un “truc”, cependant, consiste à s’envoyer un manuscrit en recommandé A/R dans une enveloppe bien scellée. Voire, éventuellement, à le déposer chez un notaire? (mais ca va pas être gratuit).
Grilled by Bussière B)

Merci déjà pour vos premières réponses (hésitez pas à en donner d’autres B) plus j’ai d’avis et de conseils, mieux c’est)
Bussière, ça marche aussi pour les propriétés intellectuelles (les oeuvres quoi), parceque les liens que tu donnes parlent de l’INPI (propriétés industrielles) ?

Edit : ma copine est consciente que ça sera pas facile, que ça peut prendre plusieurs années pour trouver un éditeur, mais elle y croit (et moi aussi). Donc bon, merci de ne pas détruire notre optimisme avec des “fort peu probable” B)

[quote=“urdle, post:6, topic: 44945”]Merci déjà pour vos premières réponses (hésitez pas à en donner d’autres B) plus j’ai d’avis et de conseils, mieux c’est)
Bussière, ça marche aussi pour les propriétés intellectuelles (les oeuvres quoi), parceque les liens que tu donnes parlent de l’INPI (propriétés industrielles) ?

Edit : ma copine est consciente que ça sera pas facile, que ça peut prendre plusieurs années pour trouver un éditeur, mais elle y croit (et moi aussi). Donc bon, merci de ne pas détruire notre optimisme avec des “fort peu probable” B)[/quote]
oui ca marche aussi pour les propriétés intellectuelles (enfin quand j’y suis allé on m’a dit que oui).
(j’ai un “concept/programme”, un autre concept/programme et un scenar/programme la bas)
Le principe etant de fournir une preuve si jamais on tente de te blouser.

Apres faudrait voir un juriste plus competent que moi sur ce coup la.

edit :

[code]Le système de l’enveloppe SOLEAU a été à l’origine conçu dans l’intérêt des créateurs de dessins et modèles. Dans la pratique, son utilisation est beaucoup plus large.
Y ont volontiers recours les auteurs, créateurs et inventeurs voulant se préconstituer une preuve d’une création quelconque.

Pour une création esthétique ou ornementale
Le système de l’enveloppe SOLEAU permettra au créateur de faire plus aisément valoir ses droits d’auteur sur la création en cause. En effet, si la protection accordée par la législation sur le droit d’auteur naît à compter de la date de création, sans formalité de dépôt, il incombe à l’auteur qui réclame cette protection de rapporter la preuve de la date à laquelle le dessin ou modèle a été crée.

Pour une invention
L’enveloppe SOLEAU permettra à l’inventeur qui a entendu garder son invention secrète ou achever sa mise au point avant de déposer une demande de brevet :

  • de se prévaloir de l’exception de “possession personnelle”, si une demande de brevet a été déposée postérieurement par un tiers pour la même invention :

Article L613-7 du Code de la propriété intellectuelle
"Toute personne qui, de bonne foi, à la date de dépôt ou de priorité d’un brevet, était, sur le territoire où le présent livre est applicable en possession de l’invention objet du brevet, a le droit, à titre personnel, d’exploiter l’invention malgré l’existence du brevet."

  • de faire plus aisément valoir ses droits dans le cadre d’une action en revendication de propriété si l’invention lui a été soustraite :

Article L611-8 du Code de la propriété intellectuelle
"Si un titre de propriété industrielle a été demandé soit pour une invention soustraite à l’inventeur ou à ses ayants cause, soit en violation d’une obligation légale ou conventionnelle, la personne lésée peut revendiquer la propriété de la demande ou du titre délivré."[/code]

oui c’est valide par contre ca vaut pas un depot de brevet toussa et tout hein ?
Ca permet juste d’utiliser ce que tu as deposé a titre personnel si jamais c’est antérieur a la demande de brevet, mais si on tente de te blouser ca constitue un plus. Et c’est largement moins couteux/fastidieux qu’un depot de brevet.
Bussiere

Je m’auto-réponds un peu pour signaler que j’ai trouvé ces 2 liens dans google :
http://www.fantastinet.com/rubrique/sfediter.php
http://www.linternaute.com/sortir/livre/pu…/conseils.shtml

Ca a l’air utile…

Un petit edit en plus :

[quote=“FMP_thE_mAd, post:3, topic: 44945”]La paranoïa des jeunes écrivains qui s’estiment plein de talent dès la première oeuvre[/quote]Faut pas voir ça comme ça. Enfin certes, ils y en a qui croient être des génies et qu’ils vont être pillés, mais d’autres sont plus… affectifs, on va dire.
C’est leur bébé, ils y ont mis un peu de leur âme, ils n’ont pas envie qu’un autre type aille crier sur les toits “vous aimez ? c’est moi qui l’ai fait !”.
Oui, cette paranoïa est surement exagérée quand même, mais bon, on peut la comprendre quand on voit la passion dans leur yeux quand ils parlent de leur oeuvre B)

[quote=“urdle, post:1, topic: 44945”]Parmi toutes les questions qu’elle se pose, en voici quelques-unes :

  • Comment doit-elle protéger son oeuvre : N° ISBN obligatoire ? Comment on l’obtient ? Comment on dépose un scenar (ou l’oeuvre) ?
  • Comment trouver un éditeur ?
  • Y’a-t’il des pieges d’éditeurs à éviter ?
  • Elle a l’intention de faire une suite… est-ce que l’éditeur qui va acquerrir les droits sur son livre obtient de-facto les droits sur les suites ?

Si vous avez les réponses à ces questions ou des experiences à partager, vous êtes les bienvenus.
Merci d’avance.[/quote]

je n’y connais pas grand chose sur le sujet, mais quelques points.
un numero isbn, c’est lié à l’éditeur, ca n’a rien a voir avec de la protection d’oeuvre. mais il est obligatoire quand l’editeur veut faire un depot legal

pour trouver un editeur, heu… moteur de recherche et annuaire - truc utile, sur les differents sites d’editeurs, regarder les label annexe, il y a peut etre un label qui correspond plus au theme du livre et avec son propre responsable

sur les pieges a eviter… faire tres attention au contrat. sans citer de nom, un editeur a la reputation de bien payer en avance ses auteurs, mais si les ventes ne sont pas satisfaisante, il doit tout rembourser. et ca peut surprendre si on y a pas fait gaffe B)

et pour la suite du livre, ca doit etre comme tout, lire le contrat et le negocier. mais a moins de tomber sur un editeur qui ne la satisfait pas, pourquoi en changer pour publier la suite?

grilled total par Tchoubou

Très bien ce site fantastinet sinon.
Le seul truc que je peux rajouter c’est que beaucoup d’éditeurs lisent vraiment tous les scripts qui leur sont envoyés. Ca ne veut pas dire “en totalité” ni que le patron lit tout ; mais tu es sûr qu’un lecteur employé par l’éditeur aura au moins lu les 10 premières pages avant de dire non, dans le pire des cas. Je trouve ça très rassurant.

Ca parle de quoi sinon, on peut pas avoir le primeur sur la Zone ? B)

[quote=“piaz, post:10, topic: 44945”]Ca parle de quoi sinon, on peut pas avoir le primeur sur la Zone ? B)[/quote]Ayant décidé que ma tête était très bien là où elle était, c’est à dire rattachée à mon cou, et dans un état pas trop pitoyable, je préfère ne pas m’aventurer à dévoiler quoi que ce soit de l’histoire (paranoïa du jeune auteur tout ça ^^)… mais promis, je vous dévoillerais ce que je peux dès qu’elle m’y autorise B).

Edit : je suis con, j’ai oublié de vous expliquer un truc.
En fait, comme elle sait que trouver un éditeur sera difficile, elle avait commencé à regarder des solutions d’éditeurs sur le web, mais là, la protection n’est plus de la paranoïa (trop facile de faire copier/coller quand même). Dans le cas de l’édition sur le Web… euh… comment ça marche pour l’ISBN tout ça ? C’est comme un éditeur normal ? Vous déconseillez carrement (piege à pigeon) ?

hum, dois y avoir une confusion sur ce qu’est l’ISBN, c’est un bout de code qu’un editeur utilise pour repere facilement un ensemble de papier relié B)
depuis le 1 janvier 2007, le code est a 13 chiffre, les 3 premiers designent un livre physique, le chiffre suivant le pays/langue, les 4 suivants le code ID de l’editeur, les 4 suivants le numero du livre chez l’editeur, le dernier c’est la cle de controle.

quelques infos : http://isbn-international.org/fr/index.html
http://www.bnf.fr/pages/infopro/numeros/is-ISBN.htm

extrait :
Qui a besoin d’un ISBN?
Les maisons d’édition :
L’ ISBN sert d’identifiant unique pour
* Les monographies, du manuscrit en passant par toutes les étapes éditoriales de fabrication, jusqu’à la livraison du produit fini
* L’administration des stocks
* La gestion des commandes
* Les systèmes comptables et financiers
* La manutention et les retours
* Les bases de gestion/fichiers articles
* Les systèmes de droits d’auteurs, contrats et royalties

Les libraires :
L’ ISBN sert d’identifiant unique pour
* Les systèmes de commande / commande en ligne
* Les systèmes comptables et financiers
* Les recherches bibliographiques
* Le contrôle des stocks
* Les systèmes de suivi commercial
* Les catalogues des livres disponibles

Les bibliothèques :
L’ ISBN sert d’identifiant unique pour
* Les systèmes d’acquisition
* La recherche de l’information
* Les systèmes de catalogage
* Les systèmes de prêt / prêt inter- bibliothèques
* Les systèmes nationaux de droit du prêt
* La bibliographie nationale

Je veux dire: faut pas qu’elle plaque son taf pour faire son bouquin. Il est probable qu’elle doive réecrire le bouquin plusieurs fois avant que lui ou un autre ne passe…

Suffit de voir les galères que peuvent avoir certains auteurs célèbres pour faire passer leur premier bouquin :confused:

Ceci dit, effectivement, les manuscrits sont lus au moins en partie, et commentés assez intelligemment. Ca peut aider…
Je dirais qu’il ne faut vraiment pas avoir peur de la critique, et au contraire la considérer comme une chance, voire une faveur.

Enfin, bonne chance pour la suite: de toute manière, même à titre de loisir, c’est assez super, l’écriture. Même si elle ne se fait pas éditer, pourvu déjà que ta dulcinée puisse être lue par son entourage et ses proches, ca sera déjà pas mal. Et qui sait ce que le bouche à oreille peut donner…

Oh mais c’est la misère, je viens de perdre tout mon beau post suite à plantage, grmbl B)

Je recommence :

Pour la publication sur internet, deux choses :

  • jeter un coup d’oeil des licences Creatives Common : ce sont, je cite, des autorisations non exclusives [qui] permettent aux titulaires de droits d’autoriser le public à effectuer certaines utilisations, tout en ayant la possibilité de réserver les exploitations commerciales, les oeuvres dérivées ou le degré de liberté (au sens du logiciel libre).

  • idée : publier le roman/livre en “périodique”, et ainsi bénéficier de la possibilité de se faire attribuer un numéro ISSN (cf plus d’infos sur wikipedia. Par exemple, publication chapitre par chapitre.

Quant à choisir une maison d’édition :

  • Geradon a publié un de ses romans via manuscrit.com (bien qu’il semble que l’expérience n’ait pas été aussi positive que ça, mais c’est à voir);

  • il existe aussi des maisons “alternatives”, du genre In Libro Veritas et ILV-Editions, qui propose par exemple trois formules pas trop ruineuses (?) pour se faire publier sur papier.

Maintenant, 'faut voir ce que ça vaut. Quoique si le but est de se faire éditer à tout prix, c’est à creuser. Parce qu’il ne faut pas se leurrer, via une maison d’édition “classique” et “mainstream”, ça n’est pas forcément évident (j’ai pas dit impossible, pas taper).

A titre indicatif, vous pouvez toujours jeter un coup d’oeil à la liste des maisons d’édition en France sur Wikipedia, il y en a plus qu’on ne croit…

Enfin, le truc que j’ai lu vraiment très très souvent à propos de se faire publier, c’est qu’il faut se préparer psychologiquement à réécrire, réécrire, réécrire… [Ecrire, c]'est apprendre à ne pas transiger avec la qualité, mais cela ne se fait pas en une fois et en un livre, il faut des années pour affiner son exigence, son oeil, mais aussi pour réduire son orgueil à néant - le secret c’est de ne pas tomber amoureux de ce qu’on écrit, et de jeter, jeter, jeter - et réécrire, réécrire, réécrire. Certaines personnes ont du génie, cela arrive, mais c’est rare. Je crois plus au travail, ligne après ligne, jour après jour. (cf cet exemple mais en voilà un autre).

Edit: suppression des caractères bizarroides.

Edit 2 : ajout d’infos :

Tiens, je tombe aussi sur quelques idées pour “protéger” son oeuvre (lire tout l’article chez fantastinet.com):

  • Le déposer dans un organisme spécialisé comme le SNAC : Syndicat National des Auteurs Compositeurs (80 rue Taitbout 75009 Paris), ou SGDL : Société des Gens De Lettres (38 rue du faubourg Saint-Jacques, 75014 Paris). L’organisme conservera le manuscrit sous pli cacheté durant une période de 4 ans. Les frais sous autour de 45 € .

  • Le dépôt chez un officier ministériel, huissier ou notaire. C’est juridiquement la seule preuve irréfutable, mais il vous en coûtera de 100 à 150 €.

  • La poste. Dans une enveloppe cachetée à la cire, l’auteur glisse son manuscrit et se l’expédie à luimême. Le cachet de la poste peut constituer une preuve.

Et en cas d’échec un peu partout (pas taper, bis), ou meme sans ça, pourquoi ne pas voir du coté de l’auto publication ? Lulu.com mais pas que ? A creuser ?

Sinon, il existe aussi un bouquin Comment se faire éditer B)

Je cite la fin de l’article parce que ça m’a fait sourire :

[i]« Les cinq conseils que je donnerais à un auteur souhaitant se faire éditer sont :

  1. N’écrire que s’il ne peut pas faire autrement, comme le conseillait R.M. Rilke à un jeune poète.
  2. Ne publier que s’il ne peut pas faire autrement.
  3. N’essayer de vivre de sa plume que s’il ne peut pas faire autrement.
  4. Ne se soucier de l’opinion des autres que s’il ne peut pas faire autrement.
  5. Et toujours aimer passionnément lire et écrire, quoiqu’il arrive. »
    (Richard Ducousset, directeur général des éditions Albin Michel.)[/i]

[quote]Enfin certes, ils y en a qui croient être des génies et qu’ils vont être pillés, mais d’autres sont plus… affectifs, on va dire.
C’est leur bébé, ils y ont mis un peu de leur âme, ils n’ont pas envie qu’un autre type aille crier sur les toits “vous aimez ? c’est moi qui l’ai fait !”.
Oui, cette paranoïa est surement exagérée quand même, mais bon, on peut la comprendre quand on voit la passion dans leur yeux quand ils parlent de leur oeuvre[/quote]

Houlà mais je comprends hein, t’en fais pas, parce qu’il y a longtemps je suis passé par là (Si si).

Maintenant, faut aussi remettre les choses à leur place. Des apprentis écrivains, y en a plein, des gens qui pensent être le nouveau Proust, à peu près autant. Pourtant c’est rare malgré tout.
Donc avant de faire des démarches qui pourraient coûter cher, il vaut mieux relativiser, et c’était le sens de ma remarque B) C’est pas la peine d’engager des milliers d’euros au début, à mon sens. Attendez d’avoir déjà un retour sur ce qu’elle écrit.
Ensuite vous aviserez.

Parce que le pillage et le plagiat en littérature est en réalité beaucoup plus rare que ce qu’on peut croire.

Un type de ma connaissance explique un peu les différentes étapes pour l’auto-édition sur son site web. ça me paraît de circonstance. En espérant que ça aidera ta moitié… Bon courage !

Peut-être que si le livre est vu comme bon, il est possible d’en publier des extraits genre sur un blog pour voir les réactions des gens. Je sais que certains blogs sont carrément parus en livre peu après (me rappelle plus des titres…). Cela peut faire un peu de pub et donner du poids face à un éditeur B)
Bon courage et vivement l’extrait B)

coup de vent :
http://www.lulu.com/fr
Bussiere

[quote=« Bussiere, post:18, topic: 44945 »]coup de vent : http://www.lulu.com/fr[/quote]Faut suivre, Bussière B)

Ah oui, j’oubliais :

Et pour rester dans le topic:

[quote=“vectra, post:13, topic: 44945”]Je veux dire: faut pas qu’elle plaque son taf pour faire son bouquin. Il est probable qu’elle doive réecrire le bouquin plusieurs fois avant que lui ou un autre ne passe…[/quote]C’était clairement pas au programme qu’elle lâche son taf pour chercher un éditeur (pas folle la guèpe) ^^ mais merci du conseil.

J’vais lire toutes vos réponses, ma douce aussi, votre enthousiasme fait vraiment plaisir à voir. Pour des extraits, elle y réfléchi B)

Merci beaucoup à tous pour toutes vos réponses jusqu’ici, pour tous vos liens, toutes vos recherches, vraiment merci B)