Un rêve lucide, en fait, c’est un peu ce dont parle Lonewolf, c’est un rêve où l’on est conscient de rêver.
Et un rêve où l’on est conscient de rêver -ceux qui ont déjà expérimenté ça au moins une fois ne pourront pas me contredire-, ça roxxe sévère.
Y’a des gens qui arrivent à générer ce genre de rêves et surtout, le plus dur : à les faire durer, grâce à un entrainement assez hard.
Genre dans la journée, la vraie, dans le vrai monde vous prenez l’habitude de vous poser la question suivante au moment où vous regardez votre montre : « Est-ce que je suis en train de rêver ? ». Bon, là, la réponse est non, évidement. Mais le fait est que dans vos prochains rêves, quand vous regarderez votre montre, vous vous poserez donc la question, et là c’est le déclic, on se répond « oui », on devient conscient du rêve, et du coup des possibilités infinies dont on dispose.
Le problème, là, c’est que c’est très dur de rester dans son rêve à ce moment là. En général on se réveille très vite, et plus on tente de faire des choses énormes, plus le risque de se réveiller est grand, en général.
Donc là, y’a pas à tortiller, faut expérimenter un maximum.
Y’a donc des gens qui se servent de cette technique pour se déstresser, pour faire des trucs qu’ils pourraient pas faire en réalité, et apparemment la tribu dont parle Werber avait poussé ce principe à son maximum.
Cela dit pour arriver à ce stade, il parait qu’il faut déjà arriver à se souvenir très bien de ses rêves. Donc le passage par le bloc note, ou par exemple, la méthode d’Edea qui est logiquement tout aussi efficace est de rigueur.