[center][/center]
Souvenez-vous , il y a un peu plus d’un an maintenant, Flagship Studio fermait ses portes. �? l’origine de Hellgate London et avec le projet Mythos en cours de développement, la structure montée par Bill Roper et les frères Schaeffer laissait donc 2 équipes sur le carreau. Et pendant que le gros Bill rentrait chez Cryptic pour bosser sur Champions Online, les frères Schaeffer montaient Runic Games.
[center]
Un an plus tard, leur premier bébé est né, il se porte bien, et s’appelle Torchlight.[/center]
Torchlight, c’est le nom de la ville dans laquelle votre personnage arrive, poussé par l’instinct de la baston, la volonté de se faire un nom, ou pour venir profiter de l’énorme gisement d’Ember, une roche cristalline magique au coeur du scénario. Scénario qui n’est finalement qu’un prétexte pour aller basher du monstre en boucle dans les interminables donjons de ce Diablo-like. Et sous ses faux airs mignonnets, vous allez en avoir pour votre argent d’effets pyrotechniques, d’explosions, de splorchs jouissif, et bien sur, de Ph4t Loot bien juteux.
[center]
Dzouuiiiiiiiiiiiiiiiii[/center]
[center]
IRL comme In Game, tout est une question de matos[/center]
Parce que soyons clairs, le loot et le leveling vont être vos principales préoccupations pendant vos sessions de jeux. Mais non content de reprendre les (bonnes) bases des jeux du genre (niveau de rareté, gemmes, enchantement, etc.), Torchlight ajoute quelques nouveautés très appréciables. Première originalité notable, votre animal de compagnie. Dès la création de votre personnage, vous aurez à choisir entre un chien et un chat. Votre compagnon, que vous pourrez nommer, s’équipe, sait lancer des sorts, et cerise sur le gâteau, est capable d’aller revendre en ville vos trouvailles pendant que vous continuez nonchalamment votre génocide de squelettes ou de nains corrompus. Vous pouvez aussi lui filer des poissons à manger, afin de le transformer pendant quelques minutes, par exemple en Golem. Ah oui, je ne vous avais pas dit que l’on pouvait pêcher dans ce jeu ? Et bien maintenant vous le savez.
[center]
Utilisant le moteur Ogre3d, Torchlight tourne sur toutes les bécanes possibles et imaginables, du Netbook au Trouzemille Core avec 16 To de Ram. Et en plus c’est joli.[/center]
Le jeu est pour l’instant uniquement solo, mais Runic Games a fait le pari de produire et mettre en vente rapidement un jeu solo, afin de pouvoir financer le développement d’un pendant multijoueurs. Ce sont donc les joueurs qui financent directement la “suite” de ce bijou. Disponible là tout de suite maintenant, sur Steam ou sur leur site, au (tout petit) prix de 15.99 Euros, Torchlight est un excellent Hack’n’Slash, qui vous permettra de combler votre manque de nouveautés dans le genre, en attendant le mastodonte Diablo III.
La communauté est déjà très forte autour du titre, et la perspective de pouvoir créer ses propres donjons avec l’éditeur que Runic Games mettra à disposition sous peu (le Preditor) en réjouira plus d’un. Je vous invite à aller faire un tour sur le site officiel afin de suivre l’actualité du titre, voire lâcher quelques euros, si comme une grosse poignée de Geekzoniens, vous vous sentez séduits par ce Hack & Slash fort sympathique.