NdCaf : pfff, encore une news semi pompée… Les gars : écrivez VOS news à VOTRE manière, merci…
Notre Bruno Bonnell (Bonnel ? Mettez vous d’accord les gars) national a commenté les résultats trimestriels de la société tombés ce 31 juillet. Pour la première fois depuis 200 ans, la société renoue avec les bénefs (660,8 millions d’euros) ! Ca y est, ça repart, cette fois c’est la bonne. Ah ben tiens, en fait, non…
Hé oui, je me suis un peu emballé. La société est tout de même dans une belle panade : elle est plombée par une dette de 411 millions d’euros. Pas glop. Son super PDG, notre bon Bruno, est tout de même considéré par l’ensemble du secteur financier comme un sacré dépensier boulimique, à la stratégie douteuse. Et malgré une réduction d’effectifs digne des meilleures pestes noires, il reste du boulot.
A lire sur le sujet, un article du Monde, édifiant, et qui ne sait pas non plus écrire Bonnel(l) (ça change tous les paragraphes).
Mais maintenant, parlons d’Enter The Matrix ! Ce “fabuleux” jeu, qui fait l’objet de rumeurs concernant son coût :
C’est en rachetant le studio américain Shiny Entertainment, en juin 2002, pour 47 millions d’euros, qu’Atari a récupéré la licence pour les jeux de Matrix (3 au total). Un prix de vente un peu élevé qui a fait dire à certains analystes que, si l’on ajoutait 20 millions d’euros de coût de développement et au moins autant pour la campagne publicitaire, “Enter the Matrix” aurait coûté 90 millions d’euros. A ce tarif, il faudrait qu’Atari vende près de 4 millions d’exemplaires (un jeu est un best-seller à partir de 2 millions d’unités) pour juste rentrer dans ses frais.
Ze Bruno dément, on verra bien… De toutes façons, qu’il soit bon (ce qu’il n’est pas) ou pas bon (ce qu’il est), il y a pas mal de chance qu’Atari rentre dans ses frais avec ce titre. Toutefois, concernant Matrix 2 et 3, reste à savoir si les gogos acheteurs du premier opus se feront avoir encore une fois…
Ce message a été édité par cafeine le 05/08/2003