bhé en gros c’est comme une console de jeu,
au depart c’est tout neuf tout beau tu t’eclates dessus puis petit a petit tu te lasses,
tu y reviens de temps, puis finalement comme pour les premieres consoles on en parle toujours avec emotions elles ne sont pas oubliés elles ont gravé notre memoire de souvenirs mythique.
En gros il faut savoir accepter de rester fidele à une console car malgres le fait qu’a sa sortie elle dechire tout, elle finira forcément un jour par être dépassé. Et tant qu’on prends encore du plaisir a jouer dessus …
[quote=« Bussiere, post:41, topic: 25381 »]bhé en gros c’est comme une console de jeu,
au depart c’est tout neuf tout beau tu t’eclates dessus puis petit a petit tu te lasse,
tu y reviens de temps, puis finalement comme pour les premieres consoles on en parle toujours avec emotions elles ne sont pas oubliés mais ont gravé notre memoire de souvenirs mythique.
En gros il faut savoir accepter de rester fidele à une console car malgres le fait qu’a sa sortie elle dechire tout, elle finira forcément un jour par être dépassé. Et tant qu’on prends encore du plaisir a jouer dessus …
[quote=« chalupit, post:40, topic: 25381 »]Déjà je voulais dire à Garuffo que c’était un poète:
« Garuffo, t’es un poète ! » (voilà, ça c’est fait)
Ce post décrit bien la complexité des sentiments amoureux. Ce qui fait peur c’est d’imaginer qu’on ne puisse plus aimer du jour au lendemain, ou plutot qu’on se réveille un matin en se rendant compte qu’on n’aime plus.
Quand la séparation est inévitable, il faut alors chasser les mauvais souvenirs et n’en garder que les bons, ça donne envie de … rebondir*.
*Bons…rebondir…faire des bonds…rebondir…euh…oui bon ok…désolé
ps - oui j’ai honte de mon post[/quote]
Wow, c’est gentil ça. En fait plus j’y pense plus je trouve ça complexe… Entre la distance qui nous sépare de l’être aimé, les attirances qu’on peut avoir vis-à-vis de ceux que l’on cotoît tous les jours, ceux que l’on veut se pousser à ressentir pour ne pas blesser l’autre (je parlais d’« amour feint » et c’est à la fois cruel et compatissant), ce que l’on peut ressentir en se faisant violence (pas négliger la volonté comme certains l’on souligné)… Difficile de déméler tout ça. N’aller pas croire que je me prend la tête, peut-être même que je ne me la prend pas assez puisque la plupart du temps je refuse de chercher à sortir de ce labyrinthe pour me complaire dans une situation de statu-quo (« Obectivement, rationnelement, je sais pas ce que je veux! » c’est ce que je répondais à ma copine il y’a quelques jours. En restant avec elle tout en invitant une fille à boire un verre la semaine dernière je sais même pas si j’ai fait preuve d’une goujaterie monstre avec l’idée qui serait « Je reste avec ma copine mais je tente quelque chose par ailleurs comme ça si ça fonctionne pas avec cette jeune fille fraîchement rencontrée j’aurai quand même quelqu’un! »; je gagne à tous les coups en gros; ou si j’ai sincèrement suivi le mouvement « Je ne l’aime plus je suis en train de tomber amoureux d’une autre » ou si j’ai tout simplement voulu me prouver que j’étais capable d’aborder une fille et de finir dans un café avec elle ou encore si j’ai juste envie de vivre quelque chose de physique…).
[quote=“garuffo, post:43, topic: 25381”]…
En restant avec elle tout en invitant une fille à boire un verre la semaine dernière je sais même pas si j’ai fait preuve d’une goujaterie monstre avec l’idée qui serait “Je reste avec ma copine mais je tente quelque chose par ailleurs comme ça si ça fonctionne pas avec cette jeune fille fraîchement rencontrée j’aurai quand même quelqu’un!”
…[/quote]
[je sors très vite]
Ce qu’on appelle plus communément la “technique de l’alpiniste” :
Ne jamais décrocher un mousqueton avant d’avoir accroché le suivant.
Non pas de moi, d’un pote bien imagé concernant la drague (et ptetre d’ailleurs encore) Je l’aime beaucoup aussi comme image, si on met de coté son aspect machiste et terriblement réaliste.
