… d’un chat! Que tous ceux qui ont un matou se méfie désormais…
Jour 321
- “Mes ravisseurs me tentent avec de bizarres petits objets qu’ils balancent devant moi. Ils mangent sans retenue de la viande fraiche alors que je suis forcé de me nourrir de céréales secs. La seule chose qui maintient mon moral est l’espoir d’une évasion et la pauvre satisfaction que j’ai de rayer chaque jour un peu plus leurs meubles. Demain, je mangerai le géranium.”
Jour 342
- “Aujourd’hui, ma tentative de tuer mes geoliers en zigzaguant entre leurs jambes a presque fonctionnée, je devrais réessayer en haut des escaliers. Dans le but de dégouter et de repousser ces viles oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur divan favori… il faudrait que j’essaye sur leur lit.”
Jour 346
- “J’ai décapité une souris et je leur ai ramené le corps sans tete pour leur montrer de quoi je suis capable et pour instaurer la peur dans leurs coeurs. Ils m’ont félicité comme quoi j’étais un bon petit chat… Mmmh, ce n’etait pas mon plan.”
Jour 372
- “Je suis maintenant conscient de leur niveau de sadisme. Sans raison, j’ai été amené à la torture de l’eau. De plus, cette fois-ci ils ont utilisé des substances chimiques qui font des bulles et brulent les yeux et le museau. Quels esprits malades a pu inventé une telle horreur ? Ma seule consolation est le morceau de pouce qui est resté entre mes dents.”
Jour 373
- “Je suis convaincu que les autres captifs sont des larbins et des esclaves contents de leur sort. Le chien est régulièrement détaché et il est tout heureux de revenir. Il doit etre d’un esprit simplet. D’un autre coté, l’oiseau a l’air d’être leur indic. Il leur parle tout le temps. Je suis sûr qu’il leur rapporte tous mes mouvements. Grace a son emplacement dans le salon il est en sécurité, pour le moment. Je peux attendre, tout est une question de temps…”
Ca fait peur hein? 