Adolescent, je reportais sans cesse la lecture du Seigneur des Anneaux pour dévorer les fameux “Livres dont vous êtes le Héros”. Je ne jurais que par Steve Jackson et Ian Livingston… Et s’il y avait bien une série que j’adorais, c’était celle de Loup Solitaire créée par Joe Dever.
On incarnait un aventurier, unique survivant d’un ordre monastique déchu. Faute d’un projet officiel, un fan s’est lancé dans l’adaptation des dix premiers volumes en mods pour Neverwinter Nights.
Deux volets sont déjà disponibles et vu l’ampleur de la tâche, j’espère vraiment qu’un tel projet arrive à son terme…
Pour les nostalgiques, j’ai trouvé une version online des ouvrages (en VO).
Ayayahhh, je resiste difficiliement à neverwinter night, mais là, je risque de craquer… Je vais saisir mon glaive de sommer pour pourfendre du drakkarim !!!
Putain, tout pareil. Pas geeks pour rien, y’a des signes précurseurs… (le sorcier de la montagne de feu, pffff, mais ouiiiii… Alalala, toi aussi prend 15 ans dans ta gueule…)
Putain mais ouiiii ! Le nombre de fois où je me suis fait tuer, mais que je faisais comme si je lui avais mis sa raclée à ce monstre de merde
Hum, trois possibilités… Bon, je vais en 157 ! Ah non, je meurs dans des sables mouvants… Bon, j’ai gardé mon doigt sur la page précédente au cas où ;)) Je vais en 59 ! Naaaaan, le démon du moine demi-mou veut m’affronter !!
Une série qui m’a marquée : Les messagers du temps ! Ahhhh, le carillon de la mort… Que du bonheur.
Ma référence reste les combatants de l’autoroute… j’ai toujours été plus SF que HF… (yeah, mon interceptor bourré a bloc, les putins de courses pour un bidon d’essence, pis toujours tout les doigts pris a tenir toutes les pages, un peu comme 10 slots de sauvegarde…)
Sinon il y a les “loups ardants”, j’en garde un excellent souvenir…
Dans la catégorie loup solitaire, un amateur a traduit le dernier volume pas sorti en france, son nick c’est dragonides, cherchez donc sur google (c’est qqe chose comme http://www.ifrance.com/dragonides )
C’est après qu’ils sont devenus vicieux, les auteurs :
je me rappelle un qui s’appelait “le maoir de l’enfer” (ou quelque chose comme ça), et pour arriver à la fin, en fait, il fallait avoir réellement trouvé les indices, parce que c’était des nombres qui cumulés donnaient le numéro du paragraphe où on battait le “boss”… Impossible de tricher pour ce dernier combat, sauf à se taper la lecture de tous les paragraphes (et c’était un gros volume, celui là)…