Le mystère des biscuits en miettes enfin percé

Ca n’a rien à voir mais c’est hilarant, presque caricatural comme étude:

Tiré/copié/collé de http://fr.news.yahoo.com/031002/202/3fab5.html

LONDRES (AFP) - Une équipe de physiciens britanniques a apporté une réponse scientifique inattendue à l’une des interrogations lancinantes des gourmands: pourquoi les biscuits sont-ils aussi souvent morcelés à l’ouverture du paquet ?

Contrairement à ce que pensent spontanément nombre de consommateurs, le transport et la manutention ne sont qu’en partie responsables de cet état de fait.

Une équipe de physiciens de l’université de Loughborough (centre de l’Angleterre), aidée de matériel laser très sophistiqué, a découvert que des “lignes de fracture” apparaissaient souvent sur les biscuits quelques heures après la cuisson.

Lorsque le gâteau refroidit, l’humidité qui se dépose sur les bords provoque une dilatation, alors que l’humidité au centre du biscuit entraîne une contraction. Il résulte de ces forces contraires des petites fissures qui fragilisent le gâteau.

“Nous comprenons mieux à présent la raison pour laquelle des fissures apparaissent sur les biscuits peu après la cuisson”, a expliqué le responsable de l’étude, Qasim Saleem. “Cela va aider les fabricants à adapter l’humidité et la température de leurs lignes de production de manière à ce que les biscuits ne se brisent plus lors de la manutention normale, produisant ainsi le biscuit parfait”.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le très sérieux journal spécialisé “Mesures, Sciences et Technologie”, sous le non moins sérieux titre: “une nouvelle application de l’interférométrie dans la mesure de la répartition des pressions dans les biscuits demi-secs”.

Ca me fait penser a un morceau du fantastique spectacle que Jerry Seinfeld a donné pour la HBO… “I’m Telling You for the Last Time” :

je paraphrase grave… mais j’ai pas réussi a trouver le texte sur le net… Google sukx

Parlant à travers la bouche d’un chercheur : Les pastèques sans pépins… Qui peut bien travailler à l’élaboration de pastèque sans pépin ? Certains chercheurs travaillent sur le Sida, le cancer, les maladies de coeur… Moi je travaille sur les pastèques parce que ça pfiou bruit de crachat  ça peut plus durer !

dans le genre y avait aussi un chercheur anglais qui a calculé le temps idéal de trempage des biscuits dans le thé en fonction de la porosité du biscuit

voilà c’étai ma connerie du jour, sur ce

Ahahaha mais où va notre pognon ?

 

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Ce message a été édité par xentyr le 02/10/2003

[quote]dans le genre y avait aussi un chercheur anglais qui a calculé le temps idéal de trempage des biscuits dans le thé en fonction de la porosité du biscuit[/quote]Ca, ca avait été rapporté par l’anglais (David) dans Union Libre, l’émission avec la madame-que-personne-ne-doit-regarder-de-profil

Autre necessité scientifique , des savant anglais ont determiné si , pour un meme trajet sous la pluie, il valait mieux courir ou marcher … donc determiner ce qui mouille le +…

je vous donne la réponse , il vaut mieux marcher … voilà !

[quote]dans le genre y avait aussi un chercheur anglais qui a calculé le temps idéal de trempage des biscuits dans le thé en fonction de la porosité du biscuit

Le calcul est méga complexe en plus, il fait facile un tableau… Il devait être sous perfs de sachet de thé pur le type qu’a fait ça…

T’es sûr de ton coup Mr_Max?

Non parceque ça fait des années que je me la donne avec une étude similaire, et la conclusion que j’avais retenu était que tu te prenais en gros la même quantité d’eau.

En fait quand tu marches tu mets plus longtemps pour arriver au sec mais tu prends surtout l’eau d’en haut. Quand tu cours c’est cool tu vas plus vite mais en contrepartie tu te manges les gouttes de devant aussi!

Donc ça revient au même. Maintenant on peut hypothequer qu’avec toute l’énergie que tu dépenses pour rien en courant il vaut mieux marcher en effet, mais bon, c’est de la conclusion de feignasse ça…

mhhhh Sur de mon coup , je ne dirais pas ça, comme tu dis ca fait un paquet d’années , et j’ai retenu qu’en gros , il vallait mieux marcher , peut etre pour la raison somme toute tres logique que tu viens de citer …

Maintenant j’avoue que c pas tant la reponse qui m’avait interpellé , mais plutot  le pourquoi de cette experience …

Mais parfois dans la vie , mieux vaut ne pas se demander “pourquoi ?” …

Et d’ailleurs à mon avis ce n’est pas valable pour toutes les pluies.

Un déluge qui te tombe sur le coin de la tronche, tu y gagnes à y rester moins longtemps (et donc à courir). Quoique ?

En meme temps l’experience a été mené à Londres par L’université de Cambridge il me semble … Or on a tous le stéréotype du Londres avec une vieille pluie fine bien pourrie , pas du deluge bien couillu …

Et si ça se trouve ils ont fait une courbe de velocité à adapter en fonction du debit pluviométrique …

Je vois bien le tableau : 2mm d’eau/min = 4.24km/h avec un tachymetre collé sur les godasses …