Les comics sans spandex

Je l’ai lu il y a 15 jours, j’ai beaucoup aimé et j’ai hâte de lire la suite.
C’est pas méga innovant, mais c’est bien raconté et j’ai bien accroché au dessin aussi.

On croise les doigts, j’aime bien tes critiques de comics.

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Deux comics que je suis avec délice.

Undiscovered Country

(9 ep a ce jour)

Une histoire completement barrée. Imaginez que du jour au lendemain, les USA se coupent du reste du monde. Rien ne rentre, rien ne sort, rien ne le survole. 30 ans plus tard, au hasard d’une pandémie, un groupe de scientifique/diplomates arrive a rentrer et découvre un monde ABSOLUMENT COMPLETEMENT métamorphosé… et je ne peux pas en dire plus sans spoil :stuck_out_tongue:

Crowded

(12 ep a ce jour)

Encore plus barré. On a poussé le bouchon un peu trop loin avec les apps et la gig-economy. Surtout depuis que l’app « Reapr » crowdfund l’assassinat. Imaginez Reapr comme suit: la tête d’une personne peut-être mise a prix par n’importe qui. Pendant un laps de temps donné, tout le monde a droit de la refroidir et claim le prix. Pendant ce temps, tout le monde a le droit d’ajouter des $$ au pactole. Et donc avec le montant qui augmente, des « pros » se joignent a l’exercice. Si a la fin du temps donné la personne est encore en vie, elle récupère le magot et devient « intouchable ». Forcément, il y a l’app inverse « Dfend » qui crowdfund la protection rapprochée. « Crowded » c’est l’histoire de Charlie une fille (qui semble) tout a fait normale, dont la tête se retrouve mise a prix pour un pactole record…

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Ah ben cool, pour une fois c’est 2 series que je ne connais absolument pas :smiley: Merci!

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Vous aimez l’argent? Surement pas autant que les gens dans The Black Monday Murders, une sorte de polar noir avec des grosses doses d’occultisme.

L’histoire commence pendant le crash boursier Americain de 1929… un evenement qui, apparemment, est bien plus complique qu’on croit. En effet, l’echange d’argent est, en lui meme, un acte occulte qui renforce les facultes magiques d’un ensemble de cabales banquaires… parce que oui, franchement, vous croyiez vraiment que des morceaux de papiers et des colonnes de chiffres dans des livres ca vaut quelque chose? Non, c’est notre croyance qui donne son reel pouvoir au concept d’argent, et aux gens qui le controlent… C’est d’autant plus vrai avec les billets de dollars Americains, sur lesquels est inscrit « In God We Trust »… ca n’est juste pas le dieu auquel vous pensiez… bref, c’est magique, cherchez pas.

Evidemment, Jonathan Hickman vous explique ca de maniere bien plus convaincante que moi, parfois a travers un professeur d’economie en universite, parfois en suivant ces fameux banquiers occultes et leurs agendas mysterieux. On y decouvre plusieurs cartels de banquiers et d’hommes d’affaires qui utilisent differents types de magie, ainsi que des sacrifices a des dieux anciens, pour obtenir succes, pouvoir, et influence. Les dessins de Tom Coker sont tres efficaces, mais la presentation de la BD est rendue d’autant plus cool (a mon gout) par l’insertion de divers « documents » explicatifs. Par exemple:

On ne peut pas parler de « polar noir » sans quelqu’un en impermeable et chapeau en train d’enqueter sur un mystere (de preference un meurtre ou une disparition), donc pas de panique, on retrouve bien ses marques. Sauf que le detective a des sortes de pouvoirs vaudou. Bon.

Meme si le premier numero m’a foutu un grosse baffe (en bien… j’ai adore), attention, c’est touffu: il y a plein de personnages (appartenant a differentes cabales, et chacun avec leur role important au sein du groupe), des flashbacks, des explications economiques, de l’occultisme bien gras… c’est le genre de BD qu’il me faut relire une 2eme fois pour comprendre les trucs que j’ai rate la premiere fois.

Encore une fois, si vous voulez tenter, ca tombe bien: le premier numero est gratuit chez Comixology… j’ai l’impression que ca devient une habitude chez eux, et c’est tant mieux puisque Image Comics vend ses comics sans DRM! Donc aucune excuse pour ne pas essayer!

All Hail God Mammon!

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Je peux pas encore vous parler de la serie TV parce que je l’ai pas encore vue, mais je peux vous parler de la BD « Stumptown ». Alors oui, c’est moins interessant pour certains parce qu’il n’y a pas Cobie Smulders dedans, mais quand meme, allons-y!

A l’ecriture, on a Greg Rucka, qu’on ne va plus presenter (vous avez lu Lazarus deja, hein?). De toutes facons c’est un polar avec un personnage feminin aux commandes, donc vous pouvez deviner qui est l’auteur sans meme regarder la couverture.

Au dessin, c’est un peu plus complique. Dans le premier volume, c’est Matthew Southworth, qui fait bien le taf dans un style classique de graphic novel « serieuse ». Ca va vous rappeller du Sean Phillips ou du Michael Lark en un peu moins bien mais bon, comme je dis, ca fait bien le taf.

Dans le deuxieme volume, c’est toujours lui, mais avec un coloriste different (mais pas de panique, vous ne verrez pas la difference). Dans le reste de la serie (qui, a partir de ce moment, etait prevue comme une serie « ongoing », mais qui finalement ne remplira que 2 tomes supplementaires), c’est Justin Greenwood qui s’occupe du visuel, et le style change de maniere assez choquante par rapport au bon Matthew. Beaucoup plus de style et de personalite dans les traits, on pourrait meme dire plus « cartoon »… perso je suis beaucoup moins fan. De toutes facons, si ca vous bloque, vous pouvez rester sur les 2 premieres histoires, qui vous donneront 2 enquetes bien plaisantes.

En parlant des enquetes, d’ailleurs abordons la premiere, en vitesse.

L’heroine, Dex, est une detective privee dans les alentours de Portland qui vit avec (et s’occupe de) son frere Ansel mentalement deficient. Elle a des petits problemes d’argent, principalement a cause de sa legere tendance a perdre au casino regulierement… donc quand la directrice du casino lui demande de retrouver une de ses petite-filles disparue, en echange d’une annulation des dettes de jeu de Dex, cette derniere n’a pas vraiment de choix que d’accepter.

Evidemment, elle va se frotter a diverses personnes plus ou moins louches, va se creer des problemes en ouvrant sa grande gueule, va se faire tabasser et tirer dessus… bref, tous les trucs qu’on attend d’un polar. Mais Rucka c’est pas un debutant dans le genre, donc il y aura assez de petites surprises, de repliques cool, et de situations palpitantes pour vous garder dans le bain. Et puis c’est une BD hein, donc c’est pas comme si ca prenait longtemps a lire :wink:

Comme d’habitude c’est disponible en bites electroniques chez Comixology, ou en arbre mort chez votre gentil libraire de quartier.

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Hop, je me lance aussi histoire de partager deux ou trois lectures sympa qui trainent dans ma biblio. Je promets pas du neuf mais si ça peut faire découvrir des titres cool, c’est tout aussi bon. Je vais essayer de faire aussi bien que @lordabdul, @JakeGrafton ou tous ceux passé avant moi mais c’est pas gagné, hold on to your butts comme ils disent.

The Weatherman

Imaginez. Vous êtes sur Mars en 2270, le caillou rouge terra-formé abrite maintenant le gros de l’espèce Humaine depuis qu’une attaque terroriste sur la planète Terre a causée la mort de presque dix huit milliards d’habitants et mis en place un exode massif des survivants vers leurs nouveau refuge il y a sept ans. Mais dans l’absolu, vous vous en foutez parce que la vie est belle. Appartement somptueux, train de vie de luxe, copine qui déchire et un job de rêve en tant que présentateur météo vedette adulé par les spectateurs. Maintenant que vous êtes bien en train de kiffer votre meilleure vie, imaginez vous qu’un soir on vous accuse du crime ignoble mentionné plus haut et que plusieurs organisations du système solaire sont à votre poursuite pour vous demander des comptes. D’un coup, ça file moins envie et pourtant c’est exactement la tuile qui va tomber sur les genoux de Nathan Bright.

On doit le récit à Jody LeHeup, ancien éditeur passé auteur en signant Shirtless Bear Fighter dont je parlerais peut être à l’occase. Si le côté science fiction est le premier à nous sauter aux yeux, LeHeup arrive quand même à glisser des notes de western et de thriller au fur et à mesure que son histoire se développe pour livrer un mélange un peu déroutant parfois mais salement efficace. Il joue de la même façon avec ses personnages qui s’éloignent de leurs premières impressions au fil des pages pour dévoiler des facettes ou des nuances supplémentaires. Le meilleur exemple est forcément Nathan qui, même s’il garde son tempérament déconneur pour servir de comic relief va devoir porter sur ses épaules les thèmes de responsabilités qui lui tombent dessus quand il est accusé d’être le plus grand terroriste du système.

Pour les dessins, c’est Nathan Fox qui s’y colle après avoir bossé sur l’excellente série DMZ et le bifbof Blue Estate et je dois dire qu’il fait un boulot assez dingue sur Weatherman. Pas de chichis sur les détails si la scène n’en a pas besoin, les cases sont là pour les personnages et c’est sur eux que le gros du boulot est fait. Je trouve les expressions très juste et en parfait accord avec les émotions ou l’action. En parlant d’action, bon point sur les planches qui en présentent tout en restant à la fois lisible et vivante. Il se fait quand même un petit plaisir quand il s’agit de bosser sur l’univers du titre, alors qu’on est principalement dans de la SF, le travail de Fox ne part pas dans la démesure. Oui, on est dans le futur et oui, on est sur Mars mais le monde reste crédible visuellement et je trouve que c’est une super accroche pour rentrer encore plus vite dans l’histoire de LeHeup.

Plein de chose ont fait mouche lorsque j’ai découvert ce titre, le ton sait être léger quand nécessaire avant d’embrayer sur des sujets plus sérieux. Les thèmes de la responsabilité, du devoir et de la personnalité qui se développent avec les personnages sont très bien ficelés et interesant. En suivant les aventures de Nathan, on est également souvent rappelé que l’espèce Humaine cherche toujours le responsable de l’attentat afin de pouvoir enfin passer à l’étape suivante de son deuil, ce qui offre un sous thème malin en toile de fond.

Pour le moment, la publication s’arrête au volume deux. La pandémie à stoppé net les projets de LeHeup et Fox et on est toujours en attente d’une confirmation pour un troisième volet. Si jamais j’ai réussi à vous chauffer pour une lecture, les deux TP sont dispo chez Image en VO et vous pourrez trouver les tomes un et deux édités en VF chez Urban. Hésitez pas à en toucher deux mots à votre libraire préféré histoire de lui filer un coup de pouce.

Cadeau bonus, une OST de sept morceaux est disponible sur SoundCloud pour accompagner les pages. Perso, c’est pas ma came mais ça a le mérite d’être là et ça accompagne assez bien le comic.

Désolé s’il y a des fautes :slight_smile:

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Vous avez rien demandé mais vous l’aurez quand même. Pour finir le WE, je passe vous parler d’un titre que je viens tout juste de relire et qui est toujours aussi bon. Du coup, ça serait salaud de pas partager.

Petit disclaimer avant de commencer, faites chauffer les méthodes Assimil et ressortez vos cours de LV2.

Barrier

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Liddy est une fermière Texane. Depuis la mort de son mari, elle s’occupe seule d’une exploitation sur le déclin dont la bordure se trouve à proximité de la frontière Américano-Mexicaine. Les clandestins ne sont pas les bienvenus sur ses terres et lorsqu’elle trouve une tête de cheval mutilé, qu’elle prend pour un signal des cartels, elle se tourne vers une milice locale pour calmer les visiteurs.

Oscar est un immigré Hondurien. Fuyant son pays après un drame, il prend la route des États-Unis en quête d’une nouvelle vie. Trahison, violence ou malheur, rien ne brisera sa volonté d’atteindre sa terre promise. Un soir, il escalade un grillage et se blesse en tombant de l’autre côté. Le bruit réveille Liddy qui le met en joue. Elle ne parle pas espagnol et il ne parle pas anglais mais un événement va les forcer à travailler ensemble.

La paire Brian K. Vaughan et Marcos Martin refait équipe après l’excellent The Private Eye et reprent la même formule, choper un fait de la société pour en faire une histoire au message profondément humaniste. Vaughan, qui a des Eisner tout le tour du bide tant il n’a plus rien a prouver niveau talent, exploite à fond le titre de son comic. Le mot barrier n’est pas là que pour faire joli et symbolise toutes les thématiques que l’auteur aborde. Le mur que l’on se construit autour de soi-même après une épreuve douloureuse comme pour s’enfermer et se couper des autres, le fossé culturel saupoudré de racisme entre deux personnes de nationalités différentes ou plus simplement la barrière de la langue. Si Liddy parle anglais, ou français dans la version traduite, le texte d’Oscar reste intégralement en espagnol et pour ceux qui ne maitrise pas la langue d’Enrique Iglesias, il va falloir faire preuve d’un minimum d’effort lors de la lecture … comme Liddy. Niveau immersion dans l’histoire, j’ai rarement vu plus efficace. Un petit twist que je préfère taire nous met encore plus dans le flou.

Côté dessins, Marcos Martin assure également le spectacle. Publié dans un format « à l’italienne », les pages plus larges que longues font très clairement penser à un mur que l’ont doit franchir pour découvrir la suite de l’intrigue. Le trait est propre, les cases détaillées sans être surchargées et l’agencement des planches ne rend pas la lecture brouillon. Comme son pote auteur, Martin est bardé de récompense et n’a plus grand chose à prouver non plus. Muntsa Vicente s’occupe des couleurs avec des teintes superbes. Épouse du dessinateur en plus de l’avoir accompagné sur plusieurs titre, on pige vite la synergie dans leurs boulots et pourquoi ils fusionnent si bien.

J’avais adoré The Private Eye mais sans les conseils de mon libraire, je serais totalement passé à côté de Barrier. Le fait qu’il tourne sur des thématiques déjà bien ancrées dans le réels plutôt que de l’anticipation fait que je le préfère même à son grand frère. Vaughan sait écrire des personnages attachant, intéressant et pourtant imparfait et je pense que j’ai déjà fait l’éloge des dessins de Martin dans un Clairvoyants où je cause de Doctor Strange : The Oath. Devoir se replonger dans ses vieux cours d’espagnol est un petit prix a payer pour profiter de la lecture.

Si vous voulez vous lancer, il est disponible en démat’ chez Panel Syndicate, une maison d’édition en ligne montée par des auteurs (dont Vaughan, Martin et Vicente) qui vendent leurs oeuvres au prix que vous voulez et sans DRM. Pour du physique, Image s’est fadé d’un coffret assez classe qui comprend les version imprimées des cinq singles et la VF est signée Urban qui conserve le format en largeur. Niveau taille on est grosso merdo sur 200 pages.

(J’vais me la péter avec mon coffret mais je pense qu’il doit encore se trouver)

Toujours désolé pour les fautes :slight_smile:

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Ah ben c’etait tres bien! C’est comme si t’etais deja fort pour presenter des trucs en faisant des podcasts…mmmh… :thinking:

Par contre merde tu m’as pique Barrier que je voulais presenter bientot. Pas grave, je vais faire The Private Eye, il me semble qu’on l’a pas fait non plus.

C’est plus dur à l’écrit qu’à l’oral ! Par contre c’est plus pratique pour développer. :smiley:

Désolé de t’avoir coupé l’herbe sous le pied, je l’ai relu dimanche et ça m’a chauffé. J’te PM le prochain pour pas recommencer si tu veux :smiley:

J’ai pas vu Private Eye non plus donc go, go. Ce titre déchire.

Je viens de me rendre compte que je n’ai jamais parlé de:

Et je rajoute Chew(2009-2016), parce qu’on en a pas parlé ici depuis 2015 et que c’est pas possible qu’on en ait pas parlé depuis 2015 non mais!

**## Je rajoute que les 3 séries sont finies ## **

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Le pitch: New York City, dans un futur plus ou moins proche, au coeur d’une guerre civile. L’ile de Manattan est devenu une zone démilitarisée (DMZ) entre les zones tenues par les deux belligérents. Sur l’ile, on trouve plusieurs centaines de milliers de civils, de snipers et milices. L’histoire commence quand le journaliste Matty Roth arrive a Manhattan, 5 ans après le début de la DMZ et suit plusieurs personnages vivant dans la DMZ.

Mon impression: j’ai vraiment beaucoup aimé l’univers. Ce coté post-apocalyptique-mais-pas-completement. Le coté perte de repères. L’histoire part dans tous les sens et suit d’autres personnages que Matty, et c’est aussi bien. Je me souviens avoir passé un vrai bon moment à lire tout ca.

Le pitch: Un jour, la gravitation disparait presque completement. Pouf. Tout ce qui n’est pas accroché au sol s’envole et disparait… y compris une grosse partie de la population. 20 ans plus tart, l’humanité s’est adaptée. On suit la vie de Willa Fowler, une fille née juste après le G-Day et qui forcément est une anti-gravity-native, elle est dans son élément et elle cherche sa place.

Mon impression: en tant que papa-qui-observe-ses-bambins-digital-natives, j’adore l’idée du g-native. Comment réagirait qqun qui n’a jamais connu autre chose? Est-ce que ca deviendrait un super terrain de jeu pour enfants qui fouttrait les boules aux parents? Sûrement :stuck_out_tongue: Ca part naturellement en cacahuette et les side-effects sont nombreux et bien apportés. Mise a part quelques happy-events, je trouve l’univers assez cohérent. L’histoire est juste assez longue pour qu’on se dise « déjà? » quand c’est fini.

Le pitch: après une pandémie ayant couté la vie a plusieurs dizaines de millions de personnes, la viande de volaille est interdite. Tony Chu, le personage principal est détective quand il découvre qu’il a le don de « cibopathie ». En gros, il ressent / voit le passé de ce qu’il mange. S’il mange une pomme, il voit l’arbre, l’environnement, les vers qui ont rampé sur la pomme etc. S’il mange une victime… bah il voit le meurtre, tout simplement. Il se fait engager par la FDA (Food and Drug Administration) et chasser les contrevenants a l’interdiction globale et se retrouve mêlé a une histoire aussi rocambolesque que loufoque.

Mon impression: une de mes séries préférées. Quel bonheur d’essayer de penser a tous les trucs loufoques que les auteurs pourraient bien rajouter à l’histoire, et se rendre compte qu’ils ont 10 fois plus d’imagination que ca. Et holly shit, je viens de découvrir qu’il y a un spinoff intitulé « Chu »… (I’m gone…)

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DMZ a été ma première série non spandex.
Et c’est encore une de mes préférées.
Le run est assez long
Pour info, ca va être adapté en série prochainement.

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Ah? Je n’avais pas vu passer l’info. Il faut que je creuse, ça a éveillé ma curiosité!

A voir…

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Je m’insurge et je dis même OLD comme certains ronchons du discord !
Je l’avais posté en… ptin 2015 :older_man:

Mais bon vu l’archeologie pour les premières reviews, et comme on ne parle jamais assez de DMZ… :slight_smile:

Hate de voir la série, j’espère qu’ils ne vont pas la massacrer

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@lordabdul j’ai reparcouru le thread (de qualitay !), et finalement on évitait de faire la review au début parceque c’était une évidence, mais au bout du compte personne ne s’est cogné Sandman :man_shrugging:

On présente plusieurs spinoff (pas de Lucifer par contre), on l’a mentionné une douzaine de fois, mais on a tous soigneusement évité le pilier central de Gaiman. Je crois qu’on peut se féliciter :clap:

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Sandman je n’ai jamais réussi à aller très loin. (sue me)
Alors que Lucifer je l’ai lu entier et beaucoup apprécié !
Toujours dans l’univers de Sandman, les quelques issues de Death m’ont beaucoup plu également.

Shame on me : J’ai 6 tomes de Sandman, et j’en ai lu aucun…je le mets dans la liste à lire.

J’ai ultra surkiffé Sandman! Ils viennent de sortir une édition audiobook, je me demande ce que ça vaut.

J’ai commencé mais je me suis fait kidnappé par le nouveau Dresden Files et ensuite les Rivers of London… Faut que je m’y remette.
L’audiobook de Sandman est particulier, il est produit comme les shows radios type BBC, tu as plusieurs acteurs, des bruitages etc… Ca commencait plutot bien, je m’y remet quand j’ai bouclé mon cycle :slight_smile:

J’avais pas vu que c’était Kat Dennings qui interpretait Death <3
Et James McAvoy pour Dream… <3

Tout le cast défonce en fait : The Sandman - Behind The Scenes | Audible UK - YouTube

Faudrait lancer un thread sur les Audiobooks :slight_smile: