Voili voilà, maté donc hier le nouveau Ridley Scott…
Mon avis?
Ca va être dur de le donner sans tout raconter, mais on va le faire.
Donc on retrouve notre ami Roy (Nicolas Cage, excellent en psycho-“tics”, comme le reste du casting), arnaqueur de première, bourré de tics nerveux et mentaux, qui doit faire face à un truc assez dur : se retrouver avec sa fille de 14 ans, qu’il a jamais vue.
Là-dessus, s’ensuit une comédie, mauis en fait non, puis si, bref toujours avec des contre-pieds : quand ça se ramollit ou qu’on reste dans les clichés, paf, ça repart de plus belle, on est toujours surpris, et la fin (assez pressentie, toutefois) en reste le plus magistral exemple (la raconter, c’est comme raconter celle de Usual Suspects, et non je ne déconne pas).
Bref, Matchstick Men, un film où il faut aimer l’imprévu, le mélange de genre(s), et donc un film de genre de Ridley Scott (watcha, ça fait depuis Blade Runner tout de même… )