[quote]ajout pour hadryen : symboliquement, le monde des dieux, le monde des ames, tout ca… c’est kifkif_bourricot_mange_ton_chapeau…
d’ailleurs, il avait peut-etre dit « le monde des ames »… au temps pour moi
et comme dit azhag, c’est peut-etre plus symbolique…
et puis, la décomposition des mots, ca marche pas mieux en japonais qu’en français hein (faut « considérer » ca aussi, ca peut mener à des erreurs)…
malgré tout, si on décompose en kami + kakushi, ca pourrait vouloir dire « la mort dans le monde des ames », puisque kakushi (à part « nucleon », « chaque ville », et « chaque journal ») veux dire « la mort dans un pays etranger »
UPDATE :
après utilisation de la décomposition en kanji via super dico sus-cité :
il s’agit de kami kakushi
kami = god (dixit ce dico, en utilisant CE kanji pour ecrire kami… désolé hadryen)
kakushi = notion de cacher (toujours en utilisant le bon kanji, mais le mot n’existe pas seul, il est utilisé dans la composition d’autres mots : kakushigei = « talent caché »; kakushigo = « enfant illégitime »; kakushida = « riziere non déclaré » car ‹ da › avec ce kanji dans ce mot signifie riziere; mekakushi = « masque/bandage sur les yeux… » ‹ me › signifiant oeil/yeux; pour finir uchikakushi signifie « (mis) dans la poche » donc en un sens « caché par la poche »)
kamikakushi signifierai donc littéralement « caché par les dieux » ou bien « caché pour les dieux »… ca rejoint la mystérieuse disparition pour le premier choix (dans le second, ca pourrait faire référence au passage du pont… mais là je crois que je cherche bien trop loin)
FIN UPDATE
bref, tout ca pour dire que c’est pas si simple de faire une traduction juste; je pense que toutes ces notions sont mélangées dans le mot kamikakushi… un dictionnaire c’est bien, mais ca fait pas tout…
[Edité le 21/1/2003 par urdle][/quote]
Très chouette analyse
C’est certain que la traduction est difficile, d’autant plus dans les langues « asiatiques » (j’aime pas les termes génériques) dont les mots sont constitués d’idées et pas vraiment de lettres (mais je vous apprends rien hein ?).
Ca laisse une plus grande place à l’interprétation et offre une plus grande richesse du champ sémantique (comme on dirait en cours de français), mais c’est clairement pas simple à traduire