Wahou ! Il est enfin sorti. Vite Il faut vite que je dépoussière ma PS2, j’extirpe le disque de Katamari Damacy qui squatte à l’intérieur et j’insère à la place la jolie galette toute fraiche. J’ai le coeur qui baboum bavoum durant le loading. Me voilà enfin devant l’écran titre de Shadow of the colossus version US.
Pour ceux qui n’ont jamais étendu parler de ce bijou, c’est la suite spirituelle d’ICO, un petit jeu plein d’aventure action plein de poésie et d’onirisme sorti à l’époque sur PS2. Suite spirituelle car c’est la même équipe qui s’est chargé du développement, on retrouve pas mal de point commun entre les deux jeu (animation soignée comme dans un disney, pallette de couleur, design global de l’environnement assez semblable).
Seulement shadow of the colossus n’est PAS une suite à proprement parlé, le héro et le scénario ont changé ainsi que l’élément principal du gameplay.
Dans shadow of the colossus le but est simple : éradiquer les 14 colosses qui régnent sur un nomans-land en ruine. Ca parait tout con comme lorsque l’on mesure 1m60 se castagné avec un monstre de 15m de haut n’est pas des plus évident, il va falloir ruser et faire preuve de courage pour venir à bout de chaque entité.
Je suis assez avancé dans le jeu et je suis épater à chaque nouveau colosse.
Le jeu se déroule principalement en trois phase , l’exploration (où est donc ce maudit géant ?) qui s’effectue à dos de cheval (joliement animé d’ailleur), la réflexion (bon, comment je vais bien pouvoir fracasser ce building vivant ?), et d’action (ben, y’a plus qu’à !).
Les combats sont impressionant on ressent vraiment la puissance démeusurée de l’adversaire et je me suis vu serrer les dent très fort en priant pour ne pas me faire éjecter de la fourure de la bête sur laquelle j’avais accéder dificilement. Evidement s’il y a un coté répétitif dans l’action (on casse du colosse à répétition), à chaque nouvel adversaire une surprise nous attends, un petit truc (parfois pas si petit que ça) qui rend chaque affrontement unique.
Je ne rentrerai pas dans le détails des rencontres titanesques qui parsème le jeu (pour ne pas gacher le plaisir bêtement à ceux qui tenteront l’aventure), mais certains passages m’ont litéralement décroché la machoire.
Pour ceux qui ont apprécié ICO à sa juste valeur, ou ceux qui cherchent un jeux original et rafraichisant pour leur PS2 vieillisante, je ne dirai qu’un mot : foncez !
Pour les plus réfractaires à l’import, il faudra cependant patienter un petit peu.
Allez j’y retourne.