Mise au point par rapport à un vieux post moisi
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Chaos Corporation est une entreprise sans avenir. D’ailleurs ça n’est même pas une entreprise. Son but n’est pas. Derrière cette identité graphique clairement laide se cache en réalité une incroyable motivation basée sur un concept ultra-novateur d’inutilité absolue.
Mais que personne ne s’y trompe : la conteneurisation irrémédiable des aspects désespérément misonéistes de nos pensés les plus idylliques n’est pas pour demain. Car, en dépit de la simplicité enfantine de ces idées trop accessibles, une chose semble pourtant confuse : Pourquoi l’utilisation abusive de vocabulaire cappilotracté tend-elle à homogéneiser la faible part des événements multimodaux de nos sociétés corrompues ? S’approche-t-on fatalement des limites carboxyliques de certaines réactions autocatalytiques ? La détumescence de la stupidité politique ambiante s’accaparerait donc allègrement la plupart de ces pathétiques attitudes psittacistes (que l’on pourrait même qualifier de véritablement antélapsaires) ? Le croire me semble impossible.
La conjoncture internationale ne dépend pas de ce genre de procédés galactophores, tout le monde le sait. Et, force m’est de constater qu’il devient totalement fondamental de s’opposer à ce type d’idées réactionnaires : Ces méthodes ouitophatiques et piaculaires n’ont que trop perduré au sein de nos faibles environnements tétracapillectomistes. Mais il est peut-être déjà trop tard : des laitances bleuâtres planent à l’horizon de nos coutumes métaphysiques : un air salé pique effrontément nos sens les plus incorruptibles. Déjà, les corps dépouillés d’inutiles étoffes s’exhibent à la sècheresse assainissante de nos contrées dominatrices. Car elles le sont, même si ce phénomène est à contrario rétrospectivement négationniste. Mais qu’à cela ne tienne : la prophétie de Socrate ne tardera de toute façon pas à éclore dans un grand fracas silencieux : Elaguons les débris, pansons ces misérables sillons absous. C’est la seule solution potentiellement exploitable.
Mais n’intellectualisons pas ces désoxydations mononucléiques : l’apathie aboulique de ces vecteurs informatiques n’a que faire de ce genre de considérations. Car de plus en plus, il devient évident que tout dépend du point de vue où l’on souhaite se placer, et notamment de l’importance qu’on attache à ce genre de manifestations soporifiques. Car il est dans la vie des impératifs qui quoi qu’absolus, n’en possèdent pas moins une valeur intrinsèque évidente. Et j’ai envie de dire : heureusement pour nous.