Titre : Speed Grapher
Année : 2005
Studio : Gonzo Digimation ( Full metal panic, vandread, hellsing, chrno crusade, last exile etc …)
Site officiel
(Je cache l’origine du screeshot)
La série commence par un flash back, un photographe de guerre au milieu d’une bataille en plein milieu de la jungle. Au péril de sa vie, poussé par un désir presque malsain, il continue de photographier le carnage, les combattants, les cadavres … Le flashback se termine sur une mort et un commentaire : “Je venais de capturer pour la dernière fois, la destinée humaine”…
Une dizaine d’années ont passées, on retrouve ce photographe en pleine ville. Tokyo, ville luxuriante qui respire l’argent, le luxe et la corruption, où les plus pauvres n’ont pas leurs place, où l’argent peut TOUT acheter…
S’en suit la présentation d’un célèbre et magnifique danseur, qui, sous un véritable triomphe à la fin de sa représentation regagne sa loge, furieux.
Une danseuse en herbe, l’attend avec sa mère dans la loge, afin qu’il la prenne comme élève. Sous prétexte de ne pas être assez « souple », il n’hésite pas à briser le bras de la fillette …
Retour sur saiga, notre photographe.
Suite au carnage de 5 politiciens qui ouvertement opposé aux intérêts d’un groupe pharmaceutique, le héros est envoyé enquêter sur une société secrète affilée à ce groupe tentaculaire et richissime la « Roppongi development ».
Notre photographe s’infiltre parmi les membres de ce club très fermé. Masques de carnaval et capes noires. Un train luxueux souterrain amène les participants vers le lieu du rassemblement.
On découvre alors une secte où sont vénérés tous les plaisirs sous toutes leurs formes.
Perdu Saiga finira par assistera à la cérémonie de bénédiction par “la déesse”.
Comme portée par les anges, une jeune femme descend de la voûte du lieu sanctifié.
Devant cette apparition, Saiga ne peut résister et la prend en photo interrompant ainsi la cérémonie.
Mais avant que le maître de cérémonie n’ait le temps de donner l’ordre de sa mise à mort, la déesse s’approche de saiga …
Qui est cette déesse?
Que va t il arriver à Saiga?
Qui dirige cette secte?
Quel est le lien entre la déesse et la petite fille du groupe ?
Derrière un graphisme polissé, se cache une histoire plus sombre et des personnages beaucoup plus malsains qu’au premier abord. La richesse, l’opulence et le luxe ne sont là que pour cacher la pourriture de cette société. Le danseur en est un bon exemple ( regardez vous comprendrez). On va pouvoir suivre l’histoire de cette déesse, de saiga et de son entourage contre la secte et l’“euphoria”.
Une animation de bonne qualité ,un chara design efficace et une bande son qui colle à l’univers feutré, que demander de plus ?