Après les nombreuses critiques négatives, parlant de ce jeu comme étant un demo technologique, j’ai décidé de donner mon avis.
Tout d’abord j’ai été très impressioné par l’efficacité du moteur graphique. D’un autre côté j’ai trouvé les modèles de vaisseaux et d’armes assez laids et bâclés et construit avec 100 poly à peine. Quand on voit la qualité des décors et des conceptes de matériels, d’armes et d’armure on a de la peine à s’imaginer que c’est par flemme.
De prime abord j’ai été assez déçu lors du tutorial quand j’ai vu le nombre d’arme. Je m’imaginais déjà, crapahutant dans les niveaux avec mes trois armes de base. Heureusement, de nombreuses armes font leur apparition au cours des mission. Mon premier reflexe fut d’économiser les munition des armes les plus puissante, comme il faut souvent le faire dans les FPS. Grave erreur car les armes les plus puissante ne sont jamais les mêmes. Par exemple, un des fusils de qu’on trouve dans le premier niveau et qui est assez merdique contre la plupart des cible peut s’avérer mortel pour une unité mécanisée. Comme le lance flamme « Volcano », alias « Mergez Maker », dont l’utilisation est jouissive contre les araknides mais l’est beaucoup moins contre les Skaarj qui ne semblent pas trop en ressentir les effets.
Par contre, le fait de pouvoir grimper des obstacles ma fait soupirer de soulagement, depuis le temps que j’attendais qu’une fonction aussi simple soit implémentée dans ce genre de jeu.
Je vais éviter le spoiler mais le dernier niveau dans la cité, genre matrix et celle dans le vesseau, à la fin, m’ont fait complétement alluciner.
Les touches d’humour dans les dialogues sont omniprésente. Tantot l’homme qu’on escorte se permet de constemment geindre au sujet de notre, sois-disante, lenteur alors qu’on est au prise avec l’ennemi, ce qui ne manque pas de nous immerger un peu plus dans l’ambiance.
Dès la première mission j’ai été pris au tripes par l’ambiance créée par des levels designers de génies. Et dans les suivantes ça à été quasiment tout le temps la même choseé. Je trouve l’histoire, nimbée de trahison et de code de l’honneur, assez bien ficelée malgré tout et le système de choix de réponse assez bien foutu même s’il ne change en rien le cours du jeu.
Une des missions m’a presque fait avoir un crise cardiaque. Afin de vous laisser maximum de surprise je vous en dirait le moins possible. Après avoir escorté la personne sus-citée, j’ai dû établir un permiètre de sécurité sur 180°. A ma disposition, un poignée de barrières laser pouvants supporter un petit peu de dommage, une tourelle lance-rocket et une tourelle mitrailleuse. Evidemment je ne savais pas de quel côté les attaques les plus puissante allaient venir et le hasard m’a fait placer le plus fort de ma défense sur le côté le moins attaqué.
Lorsqu’on nous avons été détéctés par les forces ennemies une avalanche de dropship, dans un terrible va-et-vient nous fit nous sentire moins seuls. Au bout de dix minutes, mon premier perimètre enfoncé je me suis replié avec ce qu’il me restait de matériel et de marines. Aussi vite que j’ai pu j’ai replacé mes champs de forces et mes tourelles restantes. Mes soldats, à bout de force, se batirrent jusqu’au bout, l’un en armure lourde (qui a dit GUGES ?) et l’autre à poil ou presque.
Lorsque mes défense furent à nouveau enfoncée je décidais de me terrer au plus profond de l’edifice écoutant les pas lourds et inquiétants des exosquelettes « Made by Liandri corps » faisaient trembler les alentours. A ce moment, mon armure quasiment détruite, avec une dizaine de points de vies et à cours de munition je décidais d’utiliser mon lance grenade, arme que je ne pouvais utiliser en présence de mes coéquipiers. Je choisis les grenade au napalm (au napalm, mes préférées !!). Arrosant allégrement au pif le couloir d’entrée ils moururent tous dans un feu de joie qui, entre nous, me fit certainement plus plaisir qu’a eux
J’ai pas très bien compris pourquoi tout à coup on se met à s’acharner sur les scénario de ce genre de jeu. Les critère scénaristique de joy seraient-ils étalonnés sur des films du grand écran ? Je me souviens pas que Quake, HL, SOF et consors et leurs scénarios écrits par des huitres en arrêt cérébral aient-été tellement critiqués dans le passé. Je pense aussi que beaucoup d’entre vous avez oubliés le sens de SHOOT 'EM UP.
Courageux sont ceux qui ont lu ce texte jusqu’au bout :pleure: