Article publié sur : https://www.geekzone.fr/2019/12/18/bayday-la-plateforme-qui-veut-secouer-le-monde-de-la-bd/
Créateur de Miraculous Ladybug, Thomas Astruc n’est visiblement pas au courant que les journées ne font que 24h. Depuis plusieurs mois, il travaille avec une petite équipe sur une idée simple, mais horriblement compliquée à mettre en place : une plateforme d’auto-publication, de vente et de lecture de bandes dessinées, où les créateurs restent maitres de leur œuvre à 100%.…
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Bon courage ! Surtout à ceux qui vont s’occuper de la curation pour trier le bon grain de l’ivraie et mettre les bons contenus en avant, c’est là que tout va se jouer amha.
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Yep. Y’a du taf ! J’ai vu pointer sur d’autres sites le problème de « l’uberisation du métier », là je suis moins d’accord, c’est pas comme si la situation actuelle était magique. C’est UNE solution possible, BayDay ne prétend pas être LA solution. Déjà parce que c’est online only ! Clairement le fait de bosser sans avance sur royalties & co est pas simple et tout le monde ne pourra pas le faire, mais c’est toujours mieux que se manger un mur chez les éditeurs.
Ouais, nan, pas du tout d’accord avec la comparaison Uber, c’est pas du tout le même principe et ça n’aura pas du tout les mêmes conséquences. Ça n’a pas vocation à se substituer à la filière classique, contrairement à Uber et aux taxis. Et puis ça va, 70% (hors taxes si j’ai bien compris), c’est pas négligeable, mais ça reste plutôt généreux.
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J’aime bien l’idée, mais le nom « BayDay » n’a pas vraiment de rapport avec la bédé (à part phonétiquement) et le logo n’aide pas non plus 
Je pense que des ajustements seront faits plus tard, là il faut gérer l’accouchement et la route du projet a été compliquée. 
Le nom BayDay a une histoire.
Ce que je peux dire sans raconter ma vie c’est qu’une Bay est un Univers/regroupement.
Et que dès que les « Bay » feront leur apparition sur le site, tout sera plus clair.
Pour ce qui est du logo : je te laisse voir ça avec @Titan 
Perso je le trouve top, mais je suis un vendu
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C’est pour ça que je parle juste d’ajustement. Mais effectivement, « explications » ça marche aussi. 
(tavu j’ai rien dit, j’ai attendu que tu arrives tout seul. )
^^
Je dois dire que ça fait quelque chose d’être concerné par une news sur Geekzone.
Mais … restons pro. Pas de larmes. Nan nan nan.C’est pas le genre de la maison
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Pourquoi ont-ils commencé le boulot d’annonce et de marketing sans que le site soit accessible!?
Je pense qu’ils gâchent beaucoup de l’effet « wouaou ».
Là tu cliques tu n’as rien. Meme pas une image fixe d’un proto de site ou de contenu.
Sachant qu’en plus les premières annonces ont 6 mois, faut pas gâcher son entrée 
Ça irait au delà de la bande dessinée ?
ça a l’air plus « contractuel » que Global Comix, qui poursuit un peu le même objectif de diffuser des oeuvres de BD partout dans le monde. Au moins il y aura d’avantage d’auteurs francophones que sur Global Comix…
idée du logo me fait penser à :
depuis
C’est un sujet que j’ai abordé dans l’épisode 18 de la confrerie (Shameless plug). En gros 80% des BDs sont actuellement disponibles en numériques mais les auteurs reçoivent 3 clous en rémunération (on parle de même pas 4% contre 8% sur du physique. Les deux nombres sont honteusement bas), donc je suis un turbo supporter de l’idée derrière BayDay.
Pour ceux que ça intéresse, je raconterai dans la prochaine confrérie comment j’ai fait pour les 20% manquants car je suis fier de pouvoir dire que j’ai dorénavant 100% de ma collection de BDs dispo sur mon iPad sans avoir eu recours au piratage 
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Perso je sais que je ne serais pas client tant que cela sera possible, du numérique, j’aime le rapport charnel du papier.
Mais bon après c’est comme tout, on aura pas le choix, comme la presse, il faudra évoluer ou mourir.
Et si demain je devais dématerialiser toute ma collec, je pourrais déménager dans plus petit
J’ajouterais que ce en quoi « je » crois c’est à l’avenir de la BD numérique.
Je suis assez d’accord avec le fait qu’il n’y a que peu d’intérêt à lire un « Tintin » sur tablette. (sauf à économiser de la place sur ses étagères) C’est même moins confortable.
Par contre, je pense qu’il y a des milliers d’auteurs, présents et avenir, qui vont adapter leur narration au média.
Et c’est là que la question papier/numérique ne se posera plus. Il y aura les deux tout simplement.
avec parfois un pont entre les deux et parfois pas du tout.
un bon exemple : Phallaina de Marietta ren
L’édition papier : c’est une expo géante.
La bd n’a d’intérêt que dans son format numérique.
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non , on reste dans l’illustration, recueil, roman graphique, bref, tout ce qui est image et texte dans un cadre. (edit : son/musique/voix pour ceux qui le voudront)
Par contre ce sera un moyen de partager et de se regrouper un peu différemment.
un exemple : Mr Jean fait une bd Y. Il peut décider de la regrouper avec d’autres bd d’autres auteurs sur une « Bay » commune. Comme par exemple, la bay « Lapin bélier Fantastique ». Sur cette bay tu ne verras donc que les BD en lien avec les Lapins béliers dans l’espace réunissant tous les auteurs possibles.
Pour les auteurs ça permet de démultiplier les associations/partenaria/evenement/etc
Pour les lecteurs ça permet de découvrir des univers/auteurs autrement qu’avec un algo et des hashtag.
Mais là ce n’est qu’un exemple, et je suis certain qu’il y a encore plein d’autre façon d’utiliser les « bay ».
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Congrats à tous ceux qui ont participés au projet !
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mais est-ce que ce sont les lecteurs qui crée les bay? les auteurs? les gestionnaires du site?
Un auteur garde-t-il la maîtrise des bay dans lesquelles il est inclus? (certains auteurs ont des visions bien différentes de la vie et ne voudraient pas se voir associés )
Comme un ebook vendu par un auteur auto-édité chez Amazon vs 8% chez un éditeur classique.
Y’a pas photo.