Alors j’ai un gars de la zone qui veut conserver l’anonymat, mais qui veut aussi offrir une clé KSP.
Après discussion, le prix spécial “Laïka” est le suivant: “la capsule toute seule en orbite géostationnaire autour de Kerbin”.
Les datas: 2868.75km d’altitude, vitesse de 1008.9 m/s.
Pour la check, c’est simple: 2 screens, un avec le jour d’un côté de la planète, un avec le jour de l’autre côté.
edit: ah, et je vous aime. Tous. Bisous. :luv: Plein de cadeaux!
Après avoir finalement réussi à faire une fusée qui n’explose pas, puis compris comment réussir à se mettre en orbite, puis compris comment modifier son orbite, puis passé un temps infini sur des corrections infimes, j’avais enfin une orbite pile bien.
Jusqu’à ce que je sépare le module de commande (sur lequel j’avais monté un parachute pour améliorer l’aérodynamique au décollage, mais zéro contrôle, pas même du RCS, puisque les règles précisent bien “le module de commande tout seul”) - l’explosion du séparateur a légèrement modifié ma vitesse et mon orbite… :rantin:
Donc, à vous de voir si vous acceptez ou pas.
Au pire, ça me fait toujours 20 points… :sweating:
En tous cas, l’orbite géostationnaire, j’en ai marre (passer une aprèm’ sur des corrections de trajectoire minimes, euargh), donc je retouche ma fusée pour essayer d’en améliorer l’efficacité et de tailler vers la Mün…
Grâce à vous, j’ai passé la moitié de la journée à concevoir un satellite et le coller en orbite de Kerbin… Prochaine étape : envoyer un satellite identique autour de la Mün, puis envoyer un satellite « renforcé » se poser sur la Mün (pour m’habituer à gérer les trajectoires entre des corps célestes différents et aux atterrissages…)
Juste un coup à prendre pour choper la bonne trajectoire et faire les dernières corrections… Si on sait se mettre en orbite autour de Kerbin et qu’on réussit à monter assez de carburant, c’est pas très compliqué en fait
D’ailleurs, pour le carburant, mon setup était assez peinard, même si certainement pas des plus optimisé… j’ai séparé le dernier étage avec encore moitié du réservoir plein… Du coup, je vais certainement conserver la même propulsion pour ma sonde « posée » sur la Mün.
Ensuite, mission habitée sur la Mün, puis une deuxième en respectant les termes du concours (même si hors compétition, juste pour voir si je peut y arriver :))
J’ai enfin réussi à améliorer mes mises en orbite pour économiser du fuel et donc me permettre dans avoir suffisamment pour freiner ma descente sur la Mün.
Malheureusement, je doit mal m’y prendre pour freiner, parce que j’arrive toujours avec trop de vitesse horizontale malgré une ligne de descente aussi directe que possible et un freinage qui ne commence pas avant 50km d’altitude (pour réduire un peu les 650 m/s d’approche que j’ai en général, avec un freinage plus fin à partir de 10km)… donc quand je réussi à ne pas m’écraser comme une merde, je bascule sur les pieds / les pieds cassent, et boum, je peux tout recommencer
Ouf, enfin compris comment amünir… faut vraiment être super attentif sur les 70 derniers kms de descente… j’ai quasiment cramé un FL-T200 en entier, mais j’ai certainement gaspillé un peu.
Truc pour ceux qui veulent essayer : sur la descente, à partir de 100 km d’altitude, il faut essayer de garder une vitesse relative au sol de 10m/s par km d’altitude. A partir de 5km, j’était même plus lent. Avec un truc suffisamment léger et à une vitesse suffisamment faible, les RCS peuvent permettre d’ajuster la vitesse assez correctement.
Ha, et freinez rétrograde à la traj’, pas juste perpendiculaire à la Mün !
Par contre, dès le moment où il faut se poser à peu près proprement quelque part, c’est plus délicat pour moi ^^’
J’ai donc réussi à faire amûnir puis revenir sur Kerbin une mission habitée n’utilisant QUE les parts dispos sur la démo… mais j’ai réussi ça bien moins propre que le sieur The Cid : une jambe d’atterrissage cassée sur la mün suite à une arrivée un poil violente en essayant d’économiser le peu de carburant qui me restait, puis une rentrée à Kerbin “à poils” avec posé au parachute, complètement à sec.
Tellement à sec qu’une fois libéré de l’influence de la Mün, il a fallu finir le travail pour changer la trajectoire pour une interception de Kerbin au RCS… et il s’en est fallu de très, très peu pour que je doive monter une mission de sauvetage !