La tradition Pixar veut qu’à chaque sortie d’un de leur nouveau film, on dise: "Putain, c’est le meilleur Pixar!"
Hum… bon.
PUTAIN, C’EST LE MEILLEUR PIXAR! oui oui.
Bon d’abord, ce n’est pas, contrairement à ce que dit la rumeur, un film sans parole. Il y a relativement peu de dialogue, mais il y en a.
Donc, résumons le pitch, pour ceux qui l’ignorerait: Wall-E est un robot de nettoyage chargé de s’occuper des déchet de la planète pendant l’absence de l’humanité qui s’est exilé dans l’espace en attendant. Après plusieurs siècle. Wall-E est la dernière unité encore en fonctionnement.
Ils vaque à ses occupation quotidienne jusqu’au jours où il rencontre un robot sonde chargé de vérifier l’état des lieu et… En tombe amoureux! C’est meugnons, non?
Bon, on pourrait croire ce genre de concept un rien érodé, mais pas du tout, l’intrigue amoureuse n’est qu’une introduction à une aventure riche de rebondissent et de mystère et est une remise en question sur les buts que nous nous fixons, les devoir que nous croyons avoir et leur véritable signification (OK, je m’emballe peut-être un peu).
Ce qui fait le charme de Wall-E? Tout les personnages sont attachant! La curiosité et la naïveté du petit robot, en conjugaison avec le caractère du robot sonde, nous offre un spectacle où l’on rit toute les 5 minutes. De l’émotion comme il en faut, et une touche de romantisme de parfait bon gout. Un film Disney dans le meilleur sens du terme.
Au final un excellent film avec un message simple et d’actualité: “BOUGER VOUS LE CUL, BORDEL!”
Une mention spécial pour être parvenue à faire une merveilleuse référence à “2001 l’odyssée de l’espèce” sans avoir recours au monolithe. Je crois que c’est une première, ça.
Hop, 5 étoiles.