En ce moment de gros hype autour d’un certain Doom 3, un seul jeu ose se mettre en opposition directe : Dofus. Mais c’est quoi, ce truc ? C’est simple, Dofus, c’est un Mmorpg dans un monde indéfinissable (ndyav : tss, feignasse) avec un design qui n’est pas sans rappeler les rpg nippons.
Comme dans beaucoup de jeux de ce genre, on fait du roleplay, on combat des monstres, on commerce, on fabrique, on récolte, bref rien de spécial.
Sauf que c’est en flash et que ça change tout. C’est jouable derrière un firewall, du style de celui que vous avez au boulot. Ca tourne sans ramer sur une machine antédiluvienne, comme celle que vous avez peut-être au boulot. Ca se joue discrètement, on peut même faire d’autres choses en même temps, comme bosser, par exemple.
Quelques mots sur le scénario : d’après le peu que l’on sait, la paisible province d’Amakna a sombré dans le chaos depuis que ses habitants se sont lancés à la recherche de 6 légendaires oeufs de dragon, les Dofus, censés apporter force et pouvoir. A vous de rejoindre l’une des dix guildes aux noms sans queue ni tête, voire les deux, et de partir vous aussi à la chasse aux oeufs.
Un aspect intéressant devrait être le caractère dynamique du monde et du scénario, adaptés en fonction de la manière de jouer et des demandes globales des joueurs. A priori, nul besoin ici d’add-on à 30€ pour accéder aux nouveaux territoires.
Le jeu est actuellement en fin de béta-test, ouvert à tous et à toutes. Le serveur est relativement stable et les bugs les plus pénibles en passe d’être corrigés.
Le jeu entrera dans sa phase commerciale le 23 août pour les béta-testeurs, et le 1er septembre pour tous les autres, au tarif (dégressif) de 5€ par mois. A peine le prix de quelques cafés… à la machine à café du boulot.
[b]Source :[/b] L’un des animateurs, gardien du temple, qui parcourt inlassablement la province pour annoncer la bonne nouvelle et répondre aux questions des joueurs.