Je plussoie ces questions. J’ai des amis qui « jouent » beaucoup avec les crypto monnaies et il y a beaucoup de concepts liés qui m’échappent. J’essaie de faire le rapprochement avec le marché des devises mais il me semble que c’est fort différent.
Questions supplémentaires: C’est quoi le mining? Comment marchent les leviers?
C’est pourtant facile 
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Pitié non. Pas les crypto.
Un champ de la sociologie qui tente de s’émanciper et qui utilise, certaines fois, des formules mathématiques bancales pour justifier des hypothèses douteuses (Maris 2003).
Une science se définit par son objet et ses méthodes. L’économie ne tente pas de comprendre mais pose des théories normatives : « Regardez, l’offre et la demande ça fonctionne comme ça ». Les hypothèses de ces dernières ne survivent pas à la rencontre du réel. Pour Galbraith, toutes les théories monétaristes se sont révélés fausses.
Les économistes néolibéraux (oui ils existent malheureusement toujours) aiment bien dévoyer la pensée de certains philosophes pour justifier des comportements discutalbe et des théories tout aussi discutable.
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Hello,
Beaucoup de sujet ont déjà été évoqués.
J’aimerai beaucoup avoir un topo sur l’impôt
- les différents types (je connais l’impôt sur le revenu et l’impôt sur les société mais il y en a peut-être d’autres…)
- à quoi ça sert et dans quelles mesure (genre ça pèse combien dans le budget de l’état)
- le consentement à l’impôt
- les différences avec taxes / cotisations
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Une petite explication de ce refus? Les crypto commence à prendre de la place dans l’économie mondiale, mieux les comprendre me semble important.
On va d’abord jeter les bases avant de s’attaquer aux cryptos. Ça permettra d’avoir tout le bagage nécessaire pour bien comprendre la problématique.
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- l’argent, la monnaie.
- impot.
- Inflation. Le terme épouvantail kifé peur, mais que personne ne comprend réellement.
- marché du gaz, essence, électricité. C’est à la mode.
- dette publique.
- Banque centrale.
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Pourquoi les ressources naturelles sont toujours considérées comme ayant un stock infini ?
Ca c’est de la philosophie, plus de l’éco/fi
Alors je ne suis naturellement pas un expert en la matière, loin de là. Mais mon interrogation est sérieuse (et bien liée à l’éco).
De ce que j’ai compris, la plupart des modèles économiques n’intègrent pas la disponibilité des ressources naturelles dans leur logique. A une certaine époque (moins de monde et les ressources pouvant être considérées comme infinie car notre exploitation était modique) je veux bien, mais aujourd’hui ?
C’est une question probablement simpliste et vous aurez sûrement reconnu en moi un Janco FanBoy mais bon, c’est sur ce principe d’infinité que repose les modèles basés sur une croissance perpétuelle, non ?
On pourrait aussi intégrer la dégradation de notre environnement dans l’équation, cela ne me semblerait pas absurde. Mais non, à part quelques exceptions, il semblerait que ces éléments (comptables, finalement) sont toujours laissés de côté…
Mais peut-être que j’ai tout faux, hein. J’avoue ne pas avoir creusé la question de mon côté… D’où ma question de noob.
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Ta question a du sens du point de vue éco aussi, oui, et peut d’ailleurs s’inscrire sur un sujet général sur le PIB. Ca change un peu de ce côté mais peu, et lentement. Faut regarder du côté des modèles World 3.
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On peut meme jouer avec en ligne :
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non les modèles économique ne tiennent toujours pas compte de la finitude des ressources.
Après ce sont aussi des décisions politiques ou des évolutions de sensibilisations quant aux coûts sociétaux, écologiques, etc…
Par exemple de tenir compte du recyclage, de l’énergie grise, des couts volontairement omis quant on compare le coût par kilomètre route / rail / air.
On n’a pas toujours eu conscience, alors que maintenant c’est une décision politique et économique d’en tenir compte ou pas.
Entre le message sur l’autre sujet sur la dénomination charges ou cotisations, et le paragraphe précédent, ça me fait penser dans la liste à :
- balance commerciale : je me disais que cet indicateur est insuffisant, si les bas salaires pas ou peu qualifiés chinois fabriquent les objets ayant peu de valeurs, et les ouvriers qualifiés européens fabriquent des Airbus, il ne reste plus rien aux ouvriers européens pas ou peu qualifiés.
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- Les organisations de marché et leur effets : monopole, oligopole, etc
- Les organisations de marché et leur effets aujourd’hui : gamam and co. transports
- la repartition et la trickle down economy,
- la bourse ( et les anticipations )
Pourquoi le marché immobilier est dit en bonne santé quand il fait +10% (et que la croissance est de 2%) ?
Heu si l’offre est insuffisante ça s’explique sans avoir besoin de lien avec la croissance 
(AMHA).
Je ne demande pas pourquoi +10%, mais pourquoi il est qualifié d’en bonne santé. Un marché avec une offre insuffisante est un marché en bonne santé ? Donc le marché du blé est dans un excellente santé alors.
Salut,
#zontrax
je crois que c’est juste pour une estimation ou par une comparaison de l’année dernière. 
mais 2% il faut toujours s’améliorer 
Merci pour ta remarque
Ah oui. On en revient aux indicateurs retenus et ou de l’analyse subjective , politique, ou court-termistes plus basiquement ?
Visiblement en bonne santé ça veut sans doute dire gagner des thunes à court terme, mais cette surchauffe n’est-elle pas génératrice de bulles immobilières ou de phénomène proche de pyramides de Ponzi comme en Chine actuellement (d’après ce que j’ai compris le principal groupe immobilier chinois produisait bien trop vite par rapport à ce qu’il vendait, faisant qu’il se finance sur du sable).
@0Vinz , @TraceyFrench
Si un rendement ou une croissance est bien au dessus de l’inflation comment on appelle cela, si ça a un nom ?
Existe-t-il un ratio disant que la santé n’est pas si bonne ou alors ça dépend purement du curseur entre une vision plus étatiste ou très libéral, autrement dit c’est subjectif ?
Édit :
J’en profite pour faire une remarque pour les blogs ou articles économiques ou financiers notamment sur le vocabulaire et les indicateurs incompréhensibles des articles de bourse.
Souvent il y a plein de notions économique dont j’arrive à appréhender le fonctionnement (et beaucoup moins en finance), mais quand je tombe sur un article économique et ou encore pire financier je comprends que dalle tellement ça jargonne, les articles sur l’informatique ou le marketing , pourtant connus pour leur jargon et leur anglicisme, paraissent presque être écrits en français littéraire à côté !
Mais si j’ai bien compris ce sujet geekzone c’est justement pour préparer des articles ou podcasts pour palier à cela.
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