Bon, et bien allons-y donc.
Je n’ai pas en ce moment même à l’esprit de problème purement logique qui ne soit pas un très grand classique, donc je vais y aller avec un problème légèrement mathématique (mais pas trop quand même)…
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il y a longtemps, dans les vastes plaines de Mongolie intérieure, il y avait un vieillard respectable qui était sur le point de mourir. Il fit venir auprès de lui ses 3 fils et leur tint ce discours :
" - Je vais bientôt vous quitter mes enfants, mais avant de partir je me dois de répartir entre vous mes étalons (NDLR : on parle de chevaux là.
A toi, Tarass Kaptenne , mon ainé, je te donne la moitié de mes étalons.
A toi, Tarass Kass, je lègue le tiers de mes animaux.
Enfin, à toi, Tarass Bouba, le plus jeune, je laisse le neuvième de mes bêtes.
Puissiez vous en prendre grand soin, il ne me reste plus que qu…"
Mais il mourut avant d’avoir pu finir sa phrase.
Les trois héritiers se regardèrent, l’air interloqué, car le viel homme ne possédait en tout et pour tout que 17 étalons… Tarass Kass regardait avec des yeux de merlan frit Tarass Kaptenne, qui, pas finaud pour un sou, avait sorti sa grosse hache de combat pour procéder au “partage”… Quand soudain, Tarass bouba le plus jeune après un effort intellectuel surhumain, l’arreta :
“Non, attend, allons plutôt voir Achill le vieux sage du village, il saura quoi faire !”
Et ils y allèrent.
La maison du vieux sage était située juste à coté de son écurie personnelle, où il gardait son unique étalon, unique mais tellement précieux. (Tout le monde à des lieues à la ronde avait en effet entendu parler de l’étalon d’Achill. Heum. Oui, bon, tout le monde s’appelle pas Yavin, hein ?).
Et nos trois jeunes hommes virent le visage d’Achill s’illuminer quand ils lui dirent leurs malheurs… en effet, le sage n’étant pas sage du village pour rien, il avait trouvé comment procéder à un partage équitable.
Et vous, avez vous aussi deviné ?
"
Voilà, c’est aussi un classique, à vous les studios.
(20 minutes à écrire des conneries… La journée commence bien !).