C’est clair qu’on ne peut pas faire n’importe quoi et qu’il y a des règles.
N’empêche qu’en France, en tout cas du point de vue de l’académie française. le français n’est pas tellement une langue ouverte aux nouvelles expressions et aux nouveaux mots, ha si « cédérom ». berk. ça fait qu’au lieu de transformer les mots d’origine étrangères comme le font les espagnols ou les canadiens, en France on va dire BBS au lieu de babillard, ou week-end au lieu de fin de semaine.
La langue vit, évolue et a des particularisme régionaux ou internationaux mais reste la même à 95% à l’écrit et à 85% à l’oral que ce soit au québec, en belgique, en suisse ou en France. Qu’est-ce qu’on ferait sans « Je sais fermer la fenêtre » ?B)
Mais effectivement à partir de quelle limite on dit que « aller sur Paris » B) est bon et « la montre à Béatrice » est faux. Mais bon l’un comme l’autre sont du langage oral donc plus libre que l’écrit. C’est comme « si j’aurais su » berk berk
En fait vu qu’aucun de nous n’est linguiste c’est plus une réaction quasi instinctive que grammaticale quand on refuse une expression.
Tout à fait, pour moi c’est une sorte de sensation que la phrase sonne faux. Après j’ai éventuellement un peu de mal à trouver des justifications pour affirmer ma sensation. Et Khin il veut des preuves. Tssss metteur de bâtons dans les roues B)
Ouais, ça va, mais comme le disait Garuffo, c’est intéressant!
[quote=“jbaptiste, post:80, topic: 30583”]Et ma théorie sur le coté trendy du sur ne vous emeut pas?
Dans mon esprit, cette mode est relativement récente et je rencontre peu de personnes (un peu) agées et loin de la vibe du langage innovant utiliser ce type d’expressions.[/quote]
+1, habiter sur Paris est beaucoup plus tendance qu’habiter banalement à Paris
Bon, j’ai regardé vite fait la définition de “sur” dans le Littré (c’est pas rien!) et à priori (gros conditionnel, il y a bien six pages à éplucher) Khin serait dans le vrai. Je vous posterai des extrait de la définition, peut-être y aura-t-il nouvelle matière à débattre. B)
[quote]I’ll meet you in West Germany
October 1983
I know that freedom was a lie
And your husband was a spy
You say that words are impotent
But they can help us pay the rent
I knew for sure there was nothing left
Except the vodka on your breath
We meet in Strasbourg
In Strasbourg
Dann sind wir Helden
We meet in Strasbourg
The courage that your father plucked
From inside a cattle truck
Will help us fix the exit polls
Our children must have rock’n’roll
Surveillance cameras captured dawn
Breaking on the autobahn
I knew for sure our chance was blown
When rifles made us feel at home
We meet in Strasbourg
In Strasbourg
Dann sind wir Helden
We meet in Strasbourg
We meet in Strasbourg
In Strasbourg
Dann sind wir Helden
We meet in Strasbourg
Eins, zwei, drei, vier
Ideas can change the government
But they never listen to our arguments
On TV our friends smashed cement
And pulled down the bastards monuments
I went outside for a cigarette
I could see things I had tried to forget
The news showed us who we had left
And I could smell the vodka on your breath[/quote]