[quote name=‹ Faskil › date=’ 17 Aug 2005, 02:40’]Les étiquettes, sapu.
Non sérieusement, ça m’a toujours emmerdé d’essayer de classer la musique par genres. Déjà, rien que la prod d’Aphex Twin sous ses noooooombreux pseudos est tellement variée et part dans tous les sens, bon courage pour lui coller une étiquette. C’est un peu devenu n’importe quoi tous ces sous-genres…
Sinon, pour en revenir à la D&B « de base », une bonne porte d’entrée, c’est la bible : le quadruple vinyl (ou triple CD) du label Moving Shadow (le label du non moins mythique Rob Playford), baptisé « Blueprint : The Definitive Moving Shadow ». Elle date un peu (97) mais c’est une excellente introduction à la jungle (ne loupez surtout pas l’extraordinaire remix d’Underworld, du track « Shadow » de Rob & Goldie).
Sinon, plus ardu (et plus large) : les compils Electric Ladyland du label Mille Plateaux sont très intéressantes aussi, la 4 restant ma préférée.
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Les étiquettes sapu, oui et non, quand il n’est que question d’identifier une approche, de trouver des points communs (affinités) entre artistes, et que cela permet d’élargir son horizons musicales, oui. Autrement, cloisonnement, rangement dans une case, non, bien sûr.
Pour Richard D. James, je ne parlais que de ses travaux sous pseudo Aphex twin, évidemment. C’est vrai que Surfing on sine waves de Polygon windows, par exemple, que je me suis dégotté recemment (pour completer la série des Artificial intelligence de Warp), c’est pas le même tintoin, on est d’accord.
C’est malin, pour Blueprints, moi qui collectionne les samplers de chez Moving Shadow, je connaissais pas, voilà t’y pas que j’ai fais chauffer la carte bleue
En guise d’introduction large d’esprit et sympathique pour le porte monnaie, les samplers en questions sont une bonne base. Ils sont nommés selon l’année et le nombre de sortie dans la dites années, le dernier en date est le 05.1 et est dispo sur Amazon à partir de 5€. Et je conseille tout particulièrement le 00.1, un mix de 80min, 31 morceaux (dont le fameux Shadow de Rob & Goldie) qui compile plus de dix ans d’activisme bruitiste.