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En même temps heureusement que le personnage de Boba a été développé dans l’univers étendu … parce que sinon il n’y aurait vraiment que le côté icône pop à coller sur un tee shirt. Mais bon … le grand public, lui, n’a pas toute cette culture Star Wars d’où cette impression personnelle de décalage entre le rôle réel du perso et son aura.

Bref, j’ai regardé l’épisode 3 et au lieu de me fendre d’une autre (certe rapide) critique je me permets de c/c Écran Large qui l’écrit beaucoup mieux que moi mais qui confirme exactement mon ressenti perso depuis le début : https://www.ecranlarge.com/series/1036692-the-mandalorian/1112388-saison-1/1152021-episode-3-chasseur-de-frime

Donc en résumé : je crains toujours autant pour la suite…

Comme @nzx l’armure et son style a du jouer. Le fait que ce soit le seul chasseur de prime auquel Vador s’adresse directement, en précisant bien « pas de désintégration » (de mémoire), laisse à penser qu’il y une reconnaissance et un passif entre les deux.

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Chacun son avis, hein, mais c’est la partie du lore Star Wars que j’exècre le plus.
Pour les Mandaloriens, j’aimais bien leur traitement qui en était fait dans la série animée Rebels, qui était finalement assez différent de ce qu’on voit dans The Mandalorian (ils y enlevaient leurs casques !).

Alors j’ai regardé sur Netflix le documentaire « L’Affaire Gregory » en 5 parties, qui n’est pas le visionnage le plus fun du monde, et malgré quelques effets de mises en scène un peu douteux, c’est assez intéressant et édifiant comme documentaire sur l’époque, l’emballement et a folie médiatique (et judiciaire). C’est moins dense et précis que la série d’articles qui étaient parus dans « Les Jours » par Patricia Tourancheau (qui a participé au documentaire), mais on trouve pas mal d’archives et d’interviews récentes qui valent le détour.

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Ca devient tres moyen the mandalorian la… ca fait deux episodes se passe rien a part fan service et un demi truc. C’est presque du Dragon Ball a ce niveau. Faut que ca reprenne sinon ca va me saouler.

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Ça m’a fait un peu l’effet d’un épisode de Stargate SG1… Autant j’aimais bien cette série malgré ses nombreux défauts, autant ça fait un peu tache de comparer Le Mandalorien après les premiers épisodes bien plus prometteurs.

Moi j’ai adoré les 2 derniers, déso pas déso. :stuck_out_tongue:

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Same, c’est vraiment tout tout bon. Le sevrage s’annonce compliqué après 8 épisodes. :grin:

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Pour ceux qui suivent The Mandalorian :

Résumé

https://www.youtube.com/watch?v=SWJrG3Ua5Kk

Je cache le lien, parce que ça « spoil » un petit peu les premiers épisodes.

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Je dirai juste une chose concernant l’épisode 4.

Résumé

Elle colle des putains de patates de forain !!!

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Forcément.

Résumé

Ancienne championne de MMA, elle a pas fait que faire semblant de coller des tartes dans sa vie.

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Summary

Wikipedia dit qu’elle a arrete sa carriere en perdant contre… Cris Cyborg… LUL

Je note surtout le :

She attended the University of Nevada, Reno for a year and then University of Nevada, Las Vegas for three years, majoring in psychology

Watchmen est vraiment très très bien, même si plus ou moins éloigné du matériaux original, je crois que c’est la première fois que Lindelof arrive à capter mon attention plus de 3 épisodes d’affilés et reste cohérent tout en étant juste ce qu’il faut de décalé.

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L’épisode 6 de Watchmen est une ode à la post‑production.
Une très bonne synthèse de la manière dont la forme peut servir le fond.
Il fera date je pense.
Le 7 très bien aussi, pour le twist évidemment.

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Question de goût, j’imagine, mais j’ai justement trouvé que (comme souvent avec Lindelof) la forme prenait le pas sur le fond, au détriment de la cohérence. Depuis le début de la série, c’est le constat que j’en fais : la forme est top, mais elle s’exprime malheureusement en entaillant le fond. Déjà le coup des pilules de nostalgie, c’était bien pratique pour faire de l’exposition sans avoir à l’intégrer organiquement dans l’histoire, mais en plus, ça montre très vite ses limites en proposant des flashbacks qui ne devraient pas exister, comme la pendaison, antérieure a priori à la confection des pilules.

En outre, le côté « je vais mettre mon masque pour aller sauver ces pauvres gens » n’a aucun sens et sert juste à valider un aspect nébuleux du scénario (la genèse de Hooded Justice). Même le protagoniste fait ce constat en expliquant qu’il ne sait pas pourquoi il a mis son masque. On sent que Lindelof tente de le justifier maladroitement a posteriori, mais je trouve ça un peu facile.

Bref, pour moi, c’est beaucoup de poudre aux yeux et ça me donne l’impression de mater un Nolan. En première vision, on se dit « wow c’est trop bien pensé », mais dès qu’on y réfléchit plus de cinq minutes, tout s’écroule comme un chateau de cartes.

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Mouais, je trouve que tu es bien négatif. Perso, je ne connais pas ce Lindelof donc je n’ai aucun a priori.
Pour le premier spoiler, rien ne dit ça mais rien ne dit le contraire il me semble.Verre à moitié plein/vide :wink:

Et pour le dernier, ça me parait évident: il ne veut pas se faire reconnaître. Et puis même, c’est vraiment un détail pas très important non?

Concernant les flashbacks de la pendaison pour être tout à fait honnête j’ai tiqué aussi.
En y repensant, je me suis dit que la mémoire ça n’était pas si simple.
Nous ne sommes pas comme des disques durs qui enregistreraient définitivement les événements. Les souvenirs sont reconstruits.
Me suis dit que dans son délire elle inventait ces souvenirs.
Apparement cette drogue provoque des psychoses.
Il devient illusoire de croire que tout ce qu’elle a vue s’est réellement passé tel quel.
C’est également le sens du speech de la scientifique sur cette drogue, sa fonction…
Des souvenirs possibles donc, mais plutôt une construction à partir des souvenirs rapportés de hooded justice.
Y a plein de faiblesses. Je te l’accorde. Et sans doute suis-je ici moi-même dans la reconstruction.

Je trouve par exemple la résolution du lien entre le personnage joué par Don Johnson et les supremacistes particulièrement faible ou ténue du point de vue scénaristique. J’ai l’impression désagréable qu’il meurt pour rien.

Mais ce que j’ai trouvé très chouette c’est la façon dont un épisode de flashback, genre éculé, qui me soûlait d’avance, construit des passages à travers le temps pour dévoiler un personnage que tout le monde croit blanc mais qui est noir, et prêt à vivre des expériences homosexuelles .
Je suis content de ce parti pris, qui est celui de la série, qui me semble quand même rare et courageux. Même pour une chaîne du câble.
Et qui boucle bien avec une héroïne badass noire et sans compromis que nous vend le premier épisode notamment.

Ça sonne juste sur la question raciale dans une série de super-héros pour le dire à gros trait.
Et la mise en scène est plutôt cool quand même.
J’ai adoré The Boyz mais de ce point de vue là c’est tout plat et ultra convenu quand même.
La y a un effort. Une utilisation intelligente et qui sert la narration des effets de post-production/after effect/whatever.

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Bon allez bye bye Mandalorian. Je n’en peux plus de cette impression de regarder un playthrough de TPS starwars moyen de gamme un peu daté. Vous me direz si le boss de fin de saison était cool.