C’est un mystère pour personne (MYSTère ! MWAAHAHAHAHAH.), le dernier volet des Myst sort dans deux jours, donc, le 22 septembre.
En fait, je viens d’appeller Micromania, et à ma grande surprise, ils auront la version collector, alors voilà, jeudi matin, je l’achète en éclaireur, si vous voulez.
Déjà l’édition limitée de Myst 4 était vraiment classe, mais là, je crois qu’on frôle l’apothéose, de rigueur pour l’ultime épisode de cette légende du jeu vidéo.
Elle contiendra donc :
- Un Making-of de 25 minutes
- La bande originale du jeu - La bande annonce du jeu
et un livret collector exclusif de 152 pages avec : - Une préface de Rand Miller
- Le premier extrait du nouveau roman Myst (“Le livre de Marrim”, écrit par Rand Miller).
- Un dictionnaire et une explication grammaticale du langage D’ni - Une vue d’ensemble des précédents jeux Myst
- Une galerie d’illustrations
Et le tout aura vraiment un toucher cuir, pas comme pour Revelation
Il reste juste à espérer que la bande originale ne se résume pas aux MP3 mal encodés du quatrième épisode.
En tout cas, c’est une bonne nouvelle, le quatrième tome de la série des fantastiques romans tirés de l’univers du jeu qu’on aura décidément attendu depuis trop d’années ,se concrétise, puisqu’on aura droit à un extrait dans cet espèce de booklet.
Le dictionnaire D’ni peut s’avérer extrèmement intéréssant, aussi, le language D’ni s’enrichissant de plus en plus aux fil des épisodes et pouvant désormais décemment rivaliser avec un language créé par Tolkien.
Pour ce qui est du jeu en lui même… Ben on ne peut pour l’instant que se baser sur les excellentes critiques, sur la démo démontrant l’extrème réussite des animations et pouvant faire taire définitivement ceux qui trouvaient l’idée du « mapping faciale » trop farfelue.
Maintenant bon, on ne peux pas trop concrêtement se prononcer sur la qualité du jeu, si l’abandon du précalculé n’a pas été la pire décision de toute l’histoire vidéoludique, si Tim Larkin arrivera à la cheville de Robyn Miller et de Jack Wall qui nous ont offerts parmis les plus belles bandes originales de jeux, si l’omniprésence de l’univers très osé d’Uru ne va nous rebuter, nous fans de la première heure; si la fin de l’histoire va être à la hauteur des grands scénarios qu’on nous a offert jusqu’à présent; et surtout si les joueurs d’aventures ne se sont pas déjà ruinés y’a une semaine avec Fahrenheit.