Les sites de bon plan ou quand tu te connecte à un site marchant c’est la folie.
Faut aller sur des sites courant alors.
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C’est comme un site mobile ?
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C’est pas bientôt fini oui ?!!
—> 
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Ceci est un site sortant ?
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C’est plutôt un Sith sortant…
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Voir même un demi sith sortant. Mais ca veut plus rien dire.
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Ca me fait tellement penser à ce strip !
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Je ne suis pas sur de l’avoir lu un jour celui la, merci pour le fou rire 
Pareil et ça me manque le YodaBlog… 
J’vais faire un peu de pub pour un service que j’utilise et qui peut intéresser d’autres personnes.
Depuis presque deux ans maintenant, on utilise Famileo pour que ma maman reçoive chaque mois une gazette avec nos photos choisies et nos textes plus ou moins drôles.
C’est plutôt chouette (pour une maman ou une grand-maman qui ne voit plus très souvent sa famille).
Si ça vous tente, vous pouvez utiliser mon code de parrainage, qui donne un mois gratuit à chaque filleul : XA2928CB
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Dans la belle famille c’est un service proposé pour la grand mère en EHPAD. C’était sympa jusqu’à ce que ça se transforme en outil pour envoyer des tacles pas très subtils au reste de la famille. (en gros les conflits ont migrés de Facebook a Famileo)
Mais utilisé en bonne intelligence oui c’est sympa
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C’est sympa comme outil . merci pour le partage
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Bah, j’ai un co…d d’ancien patron qui tenait le même discours. C’est partiellement vrai mais tu perds toute compétitivité et ta boite se vide de sa substance à vitesse grand V (et finit rachetée)…
Après, suivre les déclarations à l’emporte-pièce de Musk, faut vraiment être teubé.
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C’est totalement vrai si ton plan de licenciement est parfait et ne vise effectivement que les X% les moins productif de ta boîte.
Dans les faits, c’est jamais parfait et tu va surtout sortir les meilleurs, ceux qui ont le plus d’opportunités en dehors de la boîte, et ne garder que ceux qui ont le moi s de chance de retrouver un taf rapidement.
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Quand une entreprise se lance dans des licenciements massifs ils communiquent beaucoup pour expliquer la situation a ceux qui partent, alors que c’est surtout ceux qui restent qu’il faut motiver. Pour qu’ils aient pas l’impression de faire partie du mauvais groupe.
J’ai vu ça dans ma boîte précédente, où les gars qui avaient survécu aux différents plans de licenciements n’étaient plus très motivés par leur boulot.
C’est quand même assez risqué surtout si ça s’éternise : c’est similaire à un bateau avec un capitaine aux abonnés absents et moins de la moitié de l’équipage.
Tant qu’il fait beau et que le bateau continue sur sa lancé ça peut aller pas trop longtemps, mais au moindre pépin ou pire une catastrophe ça peut se finir mal.
Lorsque le luxueux paquebot Oceanos a commencé à prendre l’eau dans une mer agitée lors d’un voyage autour de la côte sud-africaine en 1991, le musicien Moss Hills et ses collègues se sont soudainement retrouvés responsables de toutes les personnes à bord.
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Parce que Gamekult touché les geeks, on en parle beaucoup ici.
Mais il y a d’autres médias qui trinquent…
Psychologie magazine : encore une « victime »
de Reworld Media
Cette enterprise, avec ses remèdes de cheval très simplistes c’est un symptôme triste et non une cause, si j’ai bien compris, celle de la plupart des médias (papiers) déjà très mal en point.
Pour Gamekult je comprends à première vue un peu moins car ils n’ont pas de coûts liés aux fluctuations du papier. Mais en fait ça me fait penser à Nolife qui n’avait pas ces coûts mais a priori un fonctionnement pas si différent et une équipe qui semble de taille équivalente c’est-à-dire pas énorme mais dont les revenus publicitaires et par abonnements n’arrivaient pas à couvrir ses frais.
Est-ce que la grande majorité des lecteurs ou auditeurs se sont barrés vers les chaînes YouTube ?
Tout ça, ça me fait penser à la télé ou aux grands journaux qui n’intéressent financièrement pour la plupart que les capitaines d’industrie en mal de reconnaissance et pas les entreprises classiques.
Et pour certaines chaines rachetées comme des fruits prêt à tomber pour faire de la télé populiste.
Est-ce que les seuls médias viables un minimum sérieux et non vendus aux annonceurs sont ceux subventionnés par l’État ou les « mécènes » ? Et les autres sont condamnés à subir une purge importante avec de la publi-informations et ou du populisme ?
Mais ça reste incompréhensible pour moi que certains médias un minimum sérieux et non vendus aux annonceurs qui gagnaient de l’argent soient tombés dans ce piège… à part la financiarisation de ne pas se « contenter » de marges non mirobolantes en vendant ces titres.
PS: Je suis abonné à certains journaux papier et en ligne.