Alors, si je me souviens bien de mes études en bio (2004, ca date ^^ Corrigez moi svp), L’acide lactique « n’existe pas ». On a juste :
sucre → ATP + pyruvate
pyruvate → filière aérobie (mitochondrie) ou lactate (forme stockable et transportable du pyruvate) + ion H+
C’est les ion h+ qui brulent les muscles a l’effort… mais qui sont éliminés très rapidement après l’effort.
Quand a la récupération active, je crois que c’est aussi une idée reçu, le corps ayant déjà éliminé tout les h+ et autre « déchets ». Si on fait de la récupération active, c’est surtout parce qu’on peut pas encaisser une autre séance intense (je parle pour moi ).
Pareil pour les radicaux libre (espèce réactive a l’oxygène si je ne me mélange pas) bin même en Z1/Z2, on consomme de l’O2 donc on en fabrique. Du coup, si y en avait plus, on en fait de nouveau, si y en avait encore, on en rajoute
Reste quelques sous produits dont j’ai oublié ce qu’ils deviennent : les ADP et AMP.
Reste que j’ai encore un max de courbature pour un 8x100m
Pour coller au coté geek, j’ai commencé a faire un peu de data science avec mes données garmin connect. Avec un réseau de neurone LSTM histoire de voir quand sera mon prochain pic de forme… Bin je suis pas assez régulier pour qu’il puisse sortir un résultat qui semble pertinent