1000 CHF -> 620 euros
Il disiat 1000 loyer, 1000 bouffe, 800 assurances (c’est cher quand même aussi), il lui reste 1200. total 4000… CHF, qui équivalent à 2450 euros.
Hum… 1500 (nets je rappelle hein), ça doit suffire si tu n’es pas sur Paris ou dans les grandes villes comme ça (et surtout si tu n’as pas d’enfants… Avec des enfants ça doit faire mega-short).
Pour l’Allemagne, dans mon contexte, j’étais BAT IIa (ils ont une grille de salaires), Assistant de recherche, 13 mois environ, le salaire est indexé avec l’âge. C’est-à-dire que mon copain roumain et moi nous avons commencé en même temps, mais j’ai 6 ans de plus que lui, donc je touchais un peu plus.
Après l’unif te payait la moitié de l’assurance (dans mon cas: marié un enfant (j’ai essayé de faire passer le chien, mais ils ne voulaient pas 
) donc 350 euros pour l’unif, en sachant que l’assurance me payait 90% de tous les frais « courant », pour la grossesse de ma femme ils ont tout pris en charge). Dans une ville de la taille de Karlsruhe (entre 200.000 et 300.000 habitants en gros), on avait un 2 pièces-cuisine-salle-de-bain pour 380 Euros en plein centre ville, et pour 66m2 il me semble. Par la suite nous avons trouvé un appart de 3 pièces csdb pour 55m2, un poil plus loin.
Pour le ninternet, j’avais une ligne ISDN/ADSL chez Versatel à la fin, et il me semble que c’était du 2MBit (et je râlais quand je voyais Free, chez mes parents en France qui était à 28MBit), quasiment jamais de déconnexion, ça marchait bien au finish.
Pour le labo, c’était donc au sein de l’université, on avait une équipe de 1 prof, 1 secrétaire à mi-temps, 1 étudiant en maîtrise, 1 chercheuse, puis nous deux les doctorants, donc petite équipe au sein d’un institut. Cela dit, presque deux fois par an, j’allais à une conférence aux US/Canada/Mexique. Et il arrivait souvent qu’à la fin de l’année, un peu avant Noël, le prof venait nous voir:
« les gars, on a trop d’argent, alors faîtes vous plaisir avant l’heure et acheter du matos que vous voulez, c’est Noël »… Super la première année, par la suite, on ne savait plus trop quoi acheter :). Nous étions libres d’aller et venir quand bon nous semblait, il y avait bien sûr les heures officielles, mais elles étaient sur le papier. Les machines étaient neuves ou bien nous les updations un peu après notre arrivée (ça ça devait être le côté geek de tonton brinks :crying: ), nous administrions notre réseau presque tout seul (nos machines, nos serveurs, etc.), ainsi que le mail server et le web server.
Ca peut couler de source, mais la différence avec là où je suis, elle est faramineuse - à tous les points de vue.
La charge en enseignement était laissée à la libre appréciation du prof… Je crois que j’ai dû donner 6 à 8 heures par semestre (c’est aussi pour ça que j’allais faire des vacations à Strasbourg pour avoir plus d’heures en enseignement). Le prof était le représentant du labo quand il s’agissait des sous (ça peut être vu comme un inconvénient ou un avantage). Sinon il était (bah il est toujours) très disponible, même si il ne venait que 3 jours par semaine, les deux autres jours il était chez lui pour travailler @home.
Pour résumer, une très bonne expérience, j’ai beaucoup appris, ça a mis la barre bien haut.
Mon décompte correspond a ce que je dépense en Suisse en gros (tout en CHF).
Mais CHF 1000.- pour la bouffe je suis trop optimiste en effet, comptons CHF 600.- plutot (370€ [tain l’€ est trop haut]). Pour l’appart, celui dans lequel je suis actuellement (3 pièces, situation superbe) me coute CHF 1400.- (870€), ce qui est cher mais je suis sur Lausanne aussi (clair que si je retourne dans ma ville natale j’ai un 5 pièces pour ce prix).
Donc j’en déduit que la bouffe et le logement coutent vraiment moins cher en France, ce qui est compréhensible du coup.
Rolyat> Merci beaucoup des précisions. Ca correspond pas mal à l’état de la recherche à l’EPFL aussi, que je considère comme bonne.
EDIT: Pour les gens intéressés, un reportage sur la classe moyenne en Suisse et pourquoi on dit que c’est “dur” de vivre même avec CHF 7000.- (4400€) par mois.
!!!HORS SUJET!!!
En plus à l’EPFL (qui est une vache -suisse- de bonne école), vous allez avoir dans quelques temps un super nouveau bâtiment new edge (architecte japonais inside), bibliothèque, centre culturelle, restaurant univerisaire, boutique, machin truc pour associations et vie estudiantine avec… des ascenseurs horizontaux !!
Rolex Learning Center (oui il sponsorise le nom des batiment comme les stades de foot)
http://learningcenter.epfl.ch/
http://learningcenter.epfl.ch/webdav/site/…-construire.pdf
un mélange entre l’aile d’avion et la soucoupe volante
et un plan d’aménagement intérieur qui ressemble à un manga ou à un bouillon de culture vu au miscroscope
http://learningcenter.epfl.ch/webdav/site/…_PE_general.pdf
[quote=“Chaps, post:44, topic: 37997”]!!!HORS SUJET!!!
En plus à l’EPFL (qui est une vache -suisse- de bonne école), vous allez avoir dans quelques temps un super nouveau bâtiment new edge, bibliothèque, centre culturelle, restaurant univerisaire, boutique, machin truc pour associations et vie estudiantine avec… des ascenseurs horizontaux !!
Rolex Learning Center (oui il sponsorise le nom des batiment comme les stades de foot)
http://learningcenter.epfl.ch/
http://learningcenter.epfl.ch/webdav/site/…-construire.pdf
un mélange entre l’aile d’avion et la soucoupe volante[/quote]
Huhu surtout un “machin” qui servira aux directeurs et qui donnera un joli endroit hi-tech à montrer aux entreprises et autres. Je suis pas sûr de son utilisation en temps qu’endroit social hein…
Ah et blague à propos: ma soeur fait architecte à l’EPFL, et donc le super concept original des japonais, il s’avère qu’il a du être retravaillé pendant 6 mois parce que ça tenait pas debout. C’est sur qu’a vouloir mettre du verre partout, on oublie que ça pese qqch le toit, et qu’en Suisse il neige et qu’il y a du vent.
On verra bien.
Et a propos, tant mieux qu’il soit sponsorisé par des fonds privés ptain, ça serait de l’argent jetté par la fenetre sinon. Et je suis totalement pour un subventionnement mixe entre fonds publics et fonds privés, c’est juste impossible d’être compétitif avec ce qui se fait aux US sinon (à Stanford les auditoires et batiments sont nommés d’après le nom des entreprises ou personnes ayant donné de l’argent pour les construire…)
+1: je précise qu’en plus je suis obligé d’avoir une voiture, car je viens d’une région rurale et quand je rentre voir mes parents/amis, si je ne veux plus me faire véhiculer par papa/maman (ce qui je pense est normal à 26 ans), ben pas le choix. Et encore, on n’en a qu’une pour moi et ma copine (qui est aussi encore étudiante, ce qui n’arrange rien au budget on va dire), mais ça grève quand même bien le budget.
En plus, les 4000.-, ils ne sont même plus assurés maintenant au poly avec la nouvelle convention qui est en vigueur depuis l’an passé environ (j’ai commencé ma thèse avant et avec un financement externe, donc je ne suis pas concerné heureusement).
[quote=« Azhag, post:43, topic: 37997 »]Mon décompte correspond a ce que je dépense en Suisse en gros (tout en CHF).
Mais CHF 1000.- pour la bouffe je suis trop optimiste en effet, comptons CHF 600.- plutot (370€ [tain l’€ est trop haut]). Pour l’appart, celui dans lequel je suis actuellement (3 pièces, situation superbe) me coute CHF 1400.- (870€), ce qui est cher mais je suis sur Lausanne aussi (clair que si je retourne dans ma ville natale j’ai un 5 pièces pour ce prix).
EDIT: Pour les gens intéressés, un reportage sur la classe moyenne en Suisse et pourquoi on dit que c’est « dur » de vivre même avec CHF 7000.- (4400€) par mois.[/quote]
Je paie exactement la même chose (1400.-) pour un appart tout rénové au bord du lac de Luzern qui est aussi une région chère de Suisse, mais bon c’est divisé entre ma copine et moi (et pour retrouver la même chose à Lausanne, ça va me coûter encore un peu plus cher).
Mais vraiment en Suisse, vivre avec 4000.- par mois (sans 13ème salaire pour moi bien sûr), c’est pas facile du tout. Comme le dit bien Azhag, pour un étudiant c’est du pur luxe on est d’accord, mais perso presque tous mes amis ne le sont plus, et dernier exemple en date, on est partis en vacances avec un groupe d’amis qui ont le même age que moi, et pas vraiment des salaires de ministres non plus: ils ont fait deux semaines, on a du prévoir de rentrer après une pour des raisons budgétaires. Pourtant, ils n’ont pas des salaires des ministres (certains ont la même formation que moi, mais un boulot et salaire d’ingénieur, autrement on avait une infirmière, deux agents de voyage, une secrétaire, un juriste … ) et on n’arrive pas à suivre. Je me plains pas, je savais que ça serait comme ça en commençant ma thèse, mais en gros, clairement 4000.- en Suisse c’est vraiment pas la panacée. Donc c’est pas ça qui va attirer les étudiant suisses à faire des doctorats. Tous les amis doctorants que j’ai qui sont suisses, peuvent vivre pas trop mal parce qu’ils ont une copine qui bosse, et comme c’est pas (encore) mon cas, chaleur ! 
Et encore, j’ai pas à me plaindre, y’en a qui doivent faire vivre une famille avec à peine plus (voir le reportage cité par Azhag).
Ca c’est parce que vous vivez dans des pays où on vous habitue pas à vivre avec 1500€ par mois.
Chez nous , c’est plus simple, on a jamais appris à vivre avec 4000 euros par mois 
(humour) (et encore on vous parle pas du taux d’impôt directe +indirecte entre 40 et 50%)
Hop.
Je fais remonter le thread pour des questions persos.
J’ai quitté la fac en 2006 après un master (pro) généraliste, mais ayant orienté mes options sur les aspects réseaux et télécom.
A l’époque, j’ai choisi de ne pas faire une thèse. D’une part parce que je n’étais pas sur de faire une thèse pour “rester étudiant”, ou pour réélement faire de la recherche, et d’autre part parcequ’a l’époque, je n’avais pas trouvé de sujet interressants. (cause assez simple : FT venait de fermer les vannes des crédits recherche dans le secteur, et les labos n’avaient sans doute pas eu le temps de prendre le relais).
Après deux ans de travail chez un opérateur télécom (en tant qu’ingé ‘architecte’), je trouve vraiment mon travail trop ‘terre a terre’ et carrément pas assez poussé (et pas inovant).
Pour d’autres raisons, j’ai aussi la volonter de ‘changer d’air’.
Je regrette carrément le temps passé à la fac sur des papiers sur de nouveaux concepts, a chercher la petite bête, a mettre en forme des idées. Face à tout ca, j’ai un peu de mal, en lisant les annonces, à trouver qqch auquel j’aie envie de répondre.
Et hier, pour une misterieuse raison, je consulte comme ca les sujets des theses proposées par l’inria de Rennes (sans doute pasque j’ai un ancien collègue de master qui y fait sa these). Et ca fait tilt ! Y’a des sujets qui ont l’air vraiment accrocheur, sur lesquels je pourrait vraiment m’éclater, dans le domaine qui me plais.
Bref, je me demande d’un coup si je devrais pas “revenir” vers le monde de la recherche, et me pose pas mal de questions.
J’ai deux ans d’experience professionnelle, j’ai completement décroché du monde universitaire, et surtout, je n’ai pas de DEA (master recherche). Est-ce que celà ne risque pas d’être trop difficile pour se faire ‘accepter’ (ou éventuellement, cela pourrait-il être un atout) ?
Comment procéder, qui contacter au premier abord, comment financer tout ca ? J’aimerais quitter mon taf actuel au plus vite (pour diverses raisons), mais j’ai un logement, la bouffe, et surtout une voiture a payer, sans compter deux mois de préavis (et connaissant nos RH, c’est pas qqch qui peux s’arranger). Après, je suis conscient que je garderais pas mon salaire actuel (tant que je peux vivre, je préfère un bon moral et un compte a zero que l’inverse) .
Avez vous des experiences similaires ou des conseils ? Est-ce que je fais une erreur ?
J’ai longtemps voulu faire de la recherche et de la veille techno (et accessoirement, j’adore “transmettre” tout ce que j’apprends d’une facon ou d’une autre), donc j’imagine que ca serais plus ma voie ? (mais je peux me tromper, ce pourquoi je pose la question ici).
[quote=“Tzim, post:48, topic: 37997”]J’ai deux ans d’experience professionnelle, j’ai completement décroché du monde universitaire, et surtout, je n’ai pas de DEA (master recherche). Est-ce que celà ne risque pas d’être trop difficile pour se faire ‘accepter’ (ou éventuellement, cela pourrait-il être un atout) ?
Comment procéder, qui contacter au premier abord, comment financer tout ca ? J’aimerais quitter mon taf actuel au plus vite (pour diverses raisons), mais j’ai un logement, la bouffe, et surtout une voiture a payer, sans compter deux mois de préavis (et connaissant nos RH, c’est pas qqch qui peux s’arranger). Après, je suis conscient que je garderais pas mon salaire actuel (tant que je peux vivre, je préfère un bon moral et un compte a zero que l’inverse) .
Avez vous des experiences similaires ou des conseils ? Est-ce que je fais une erreur ?[/quote]
Avant tout: non, je ne pense pas que tu fais une connerie. J’ai fait un DEA en même temps que ma dernière année d’école d’ingé parce que j’aimais les maths, pas parce que je voulais faire de la recherche (et je ne faisais pas plus que le strict minimum comparé à tous les autres qui étaient passionnés et faisaient de gros projets). A cause de ce DEA, j’ai dû faire un stage en recherche (et je comptais faire un boulot d’ingénieur ensuite), avant de me rendre compte que c’était un monde qui me convenait parfaitement et j’y suis toujours. Si ça te branche, il faut essayer, c’est un monde vraiment à part.
A mon avis, ne pas avoir fait de DEA peut poser des problèmes, pas tant pour le niveau que parce que ça risque de rendre les directeurs de labo méfiants. Pour l’expérience professionnelle, je pense que ça ne joue que si tu es dans un labo qui a des liens étroits avec l’industrie (mais là, c’est du pifomètre, j’ai jamais expérimenté).
Pour te faire embaucher, je vois deux solutions:
- tu t’entends bien avec ton collègue qui fait ton éloge auprès du directeur de labo et tu le rencontres pour en parler
- tu vas le voir et tu proposes de faire un stage. Ca lui permet de voir ce que tu vaux, et surtout ça te permet de voir si ce monde est fait pour toi (je parle d’un stage de 6 mois, hein). Si tu cartonnes, ça te donnera aussi l’opportunité d’aller faire un doc ailleurs grâce à une jolie lettre de recommandation bien utile dans ce milieu.
Rien ne t’empêche de mélanger les deux et que ton collègue parle de toi pour un stage.
Je ne sais pas vraiment comment ça se passe en France et encore moins à l’INRIA, mais tu peux peut-être avoir des charges de cours pour arrondir tes fins de mois. Il faut quand même savoir que ça prend beaucoup de temps (j’ai fait 3 mois sans recherche parce que j’étais assistant de cours en DEA, et je ne faisais même pas de TD. Peut-être étais-je mal organisé…).
Maintenant, avec toutes ces belles idées, la question qui reste est: si tu fais ton stage et que tu ne convaincs pas ou que tu n’as pas envie de faire ça, avec quelle facilité vas-tu retrouver un boulot ?
Tzim : conseil contact un prof directement et parle lui de ton cas particulier. C’est des gens sympa d’habitude et tu n’es pas le premier a faire la démarche.
Koubiak qui devrait un jour expliquer sa vie de thésard mais pas aujourd’hui
Le stage est pas envisageable. En france les thèses sont financées (ou tu ne fais pas de thèse), pas les stages en labos. Et ma situation financière fait que je peux pas me passer de revenus.
[quote=« koubiak, post:50, topic: 37997 »]Tzim : conseil contact un prof directement et parle lui de ton cas particulier. C’est des gens sympa d’habitude et tu n’es pas le premier a faire la démarche.
Koubiak qui devrait un jour expliquer sa vie de thésard mais pas aujourd’hui[/quote]
J’ai déja contacté le responsable recrutement du labo qui propose des stages interressants. Je me demande si je vais pas aussi contacter le prof qui m’avais donné envie de faire de la recherche.
Tout d’abord, tout est possible
Bon après, il y a une tonne de facteurs qui peuvent entrer en ligne de compte. Je ne vais pas forcément répondre dans l’ordre, mais en vrac.
Pour les financements d’une thèses, les plus communs sont:
- la bourse (pas forcement la plus facile à obtenir)
- auto-financement (si tu es riche et/ou à forte poitrine :crying: )
- le CIFRE (un acronyme pour lequel Google devrait te fournir la signification), en gros une entreprise te finance ta thèse, toi en contre-partie tu vas bosser chez eux au plus pour 20-25% du temps de travail hebdomadaire (danger d’abus)
- le monitorat/tutoriat: une fac t’embauche pour que tu donnes x heures de cours ou de tutoriaux par mois
Tu as un Master, vas voir : le directeur du laboratoire d’accueil, explique lui tout (en principe ce sont des gens ouverts, voire très ouverts), et renseigne toi auprès de l’école doctorale dont dépend le labo d’accueil (e.g. pour Strasbourg, une thèse en informatique dépend de l’école doctorale des Sciences pour l’Ingenieur).
Petit lien gentil: http://www.phdcomics.com/comics/archive.php?comicid=1051 (à lire ainsi que les 5 suivants je crois).
L’expérience pro peut-être un plus (surtout si c’est dans le même domaine, mais n’oublie pas que ce sont deux mondes très très différents hein, ils ne s’apprécient pas forcément toujours).
Euh sinon tu aimes écrire ?
Edit: yep, contacte le prof, au pire il t’envoie (gentillement) sur les roses… Sinon tu peux demander des lettres de recommendations de tous les docteurs de la zone, ça pourrait marcher!
Edit2: pour l’INRIA (de Rennes), aucune idée, j’ai en tête (sûrement à tord) que c’est un gros truc, pas forcément un labo « familial » d’une université.
Avec la célébrité que Tzim s’est faite grâce au TLCP ça devrait bien marcher
Les stages à l’IRISA dans le cadre du master recherche informatique de Rennes étaient financés par l’INRIA, presque 800 euros net par mois. Ca parait ridicule quand tu as un vrai salaire, mais c’est probablement beaucoup plus que le stage moyen.
Aucune idée si tu peux espérer avoir une rémunération identique en faisant un stage sans être dans le cadre du master.
Il y a aussi des postes d’ingénieur de recherche ouvert dans certaines INRIA. Dans mon laboratoire Allemand on a cela pour les projets liés aux secteurs privés.
Koubiak
Déjà été dit 10 fois mais: juste contacte le. Explique lui tes motivations.
Après faut pas se faire d’illusions, s’il y a déjà quelqu’un, voire plusieurs personnes intéressées par cette thèse… trouve en une autre. Etant donné que tu n’as pas de M2, quasi impossible de prendre la place d’un mec diplômé… Et si en plus il a fait un stage dans ce labo n’en parlons pas
Les détails « techniques » (démission de ton job actuel, préavis, déménagement, etc…) tu verras ça après. Parce que premier arrivé, premier servi. C’est assez magouillard et complexe comme milieu, sans entrer dans les détails un financement de thèse peut sauter assez rapidement si personne ne se montre intéressé. Du coup faut pas tergiverser, même si tu ne correspond pas exactement au profil tu peux tomber sur un gars qui flippe de voir son financement disparaître…
[quote=“Ghanja, post:56, topic: 37997”]Déjà été dit 10 fois mais: juste contacte le. Explique lui tes motivations.
Après faut pas se faire d’illusions, s’il y a déjà quelqu’un, voire plusieurs personnes intéressées par cette thèse… trouve en une autre. Etant donné que tu n’as pas de M2, quasi impossible de prendre la place d’un mec diplômé… Et si en plus il a fait un stage dans ce labo n’en parlons pas :)[/quote]
ça se fait pas de répondre a la place de quelqu’un d’autre, mais il me semble bien que Tzim est titulaire d’un M2. De mémoire, c’est meme un DESS (c’est ce qu’il dit dans son post, “master pro”, sous entendu, “j’ai pas fait un master recherche”).
Sous entendu M2 recherche, ex DEA quoi.
en plus ça sert à rien les DEA mais vraiment à rien .
Plus inutile que le BAC , faut le faire…
Je precise mon propos avant d’etre abbatu par une fleche parthe : C’est completement inutile cette distinction DEA, DESS !! Je ne comprends pas ce que l’on fait en plus en DEA pour justifier une meilleur reussite en these par la suite . vraiment je ne voit pas .
[quote=“Patryn, post:59, topic: 37997”]en plus ça sert à rien les DEA mais vraiment à rien .
Plus inutile que le BAC , faut le faire…
Je precise mon propos avant d’etre abbatu par une fleche parthe : C’est completement inutile cette distinction DEA, DESS !! Je ne comprends pas ce que l’on fait en plus en DEA pour justifier une meilleur reussite en these par la suite . vraiment je ne voit pas .[/quote]
Le problème avec les mecs, c’est qu’ils généralisent tout le temps…
Ton DEA, tu peux le faire en dilettante en assistant à peine aux cours ou t’investir à fond en t’associant avec un directeur de recherche et en bossant sur des projets. Je peux te dire qu’en thèse, j’ai senti que j’avais pris du retard par rapport à des gars qui avaient fait leur DEA (ou équivalent Nord-Américain, mais les cours et la dynamique sont les mêmes, pour ceux que j’ai pu voir) en s’investissant pleinement.
Oui, un DEA, ça sert. En outre, ça peut aussi à te donner un aperçu du monde de la recherche (là encore, pas pour le branleur qui veut simplement avoir son papier à la fin de l’année).