Poignet, Garmin Forerunner 45.
Mouais…
Teste une ceinture à l’occasion, tu verras
Le test le plus parlant : ta montre avec cardio poignet d’un côté, et tu essaie de te faire prêter une montre avec ceinture (que tu mets à l’autre poignet) et tu compare en temps réel.
C’est instructif…
A oui. Oublie le cardio poignet, ça marche bien quand tu n’as que très peu de variation.
Bon. J’ai testé pour vous « trail sans entraînement depuis 3mois ». Clairement, c’est pas une bonne idée .
Oui, enfin plus de 3500 m de dénivelé, ça fait combien de positif et de négatif au final ?
C’est que le D+ là donc la même chose en dénivelé négatif … 3500 D+ et 3500D- vu qu’elle c’est une boucle (oui, je suis très fort en math)
Tout pareil 3500 en montée, 3500 en descente. C’est justement les descentes qui sont le plus critique sans entraînement. Les quadri n’encaissent rien et les genoux dégustent.
C’est surtout aller sur le Trail des Aiguilles Rouges sans entraînement qui est fou
Un post un peu long avec le race report de mon premier triathlon (c’est 1/3 dans le sujet )
Après 2 mois d’entraînement, parfois suivi de manière très flottante, j’ai pris la départ du 40e triathlon de Santa Cruz. Pour la nage, j’ai suivi les conseils de la zone, je me suis mis à l’eau dans les derniers pour éviter la lessiveuse. Je serais bien resté 30 secondes de plus à profiter du départ et regarder les premiers mais une vague bien imposante m’a fait comprendre qu’il était temps de s’y mettre.
Le départ de la course, j’avais prévu les lunettes avec filtre pour le soleil, bien joué à moi de ne pas avoir regardé la météo !
L’aller autour de pier s’est bien passé et m’a mis bien en confiance. Par contre le retour devait être avec un courant/vagues contraire parce que c’était beaucoup plus difficile. À la base je voulais garder un maximum d’énergie pour le vélo et la course à pied mais je me suis dis que plus vite je sortirai de l’eau mieux ça serait.
Résultat : 34min pour 1.5km de nage
Ma montre n’ayant pas de mode Open Water, je l’ai mise en mode running mais je pense que le GPS fonctionne pas bien dans l’eau, d’où les zigzag
Après un mini run sur 300 mètres, je suis arrivé en zone de transition. J’enlève ma combi pour me rendre compte que mon dossard n’est pas résistant à l’eau (je sais pas pourquoi j’ai pensé ça…), tant pis j’ai mon numéro sur le vélo, casque, bracelet, etc. Et c’est parti pour un parcours très plat avec mon vélo acier acheté sur les conseils de la zone. J’en suis très content comme premier vélo de route et il m’a pas coûté cher mais ce triathlon m’a donné envie d’upgrade. J’ai essayé de me mettre au plus proche du rouge sans en faire trop mais les grandes zones de plat complètement ouvertes au vent, c’est pas mon truc.
Résultat : 01h24min pour 40km de vélo
La zone de transition
De retour dans la zone de transition, on arrive à ma partie préférée, la course à pied. Je suis parti sur un rythme élevé pour moi (4:40/km) avant de passer à 5:00 voir un peu plus par moment. Et c’était vraiment agréable de finir là dessus. J’ai eu l’impression d’avoir plus le temps de profiter du public, voir les cyclistes passer à côté et doubler les coureurs que j’avais repéré et qui avaient finis par faire un écart avec moi en vélo. Je remercie pas le energy fuel pack qu’on m’a donné sur un ravitaillement (j’ai pas souvenir du nom ni de la marque) qui avait un goût horrible, mais en même temps, c’est peut–être ça qui m’a donné de l’énergie d’accélérer dans le dernier kilomètre avant l’arrivée.
Résultat : 48min pour 10km de course à pied
Et 2h50min sur l’ensemble du triathlon avec les transition
Fatigué mais content
J’étais curieux de participer à un triathlon et c’était une bonne expérience ! Je trouve que faire plusieurs disciplines c’est un gros plus par rapport à la course à pied uniquement rien que pour éviter les blessures. Je craignais pas mal la natation mais finalement j’ai bien aimé m’entrainer en bassin (merci pour les conseils @Ewi).
Maintenant, je vais prendre quelques semaines avant de voir ce que j’ai envie de faire, peut-être un autre triathlon mais plus valloné cette fois
Ahah je viens de faire une expérience intéressante avec le prédicateur de performances du Garmin Connect.
J’ai fait un petit 10km en mode un peu soutenu, 38 minutes.
La montre me met VO2 max 57, prédiction de course 10km = 41:52
C’est drôle de prédire un temps en course à 42 alors que tu viens de faire 38 à l’entrainement sans être max du tout.
PS : C’est juste pour répondre aux éventuelles questions type ça vaut quoi la prédiction de course de l’appli Garmin
La prédiction est un peu au fraise si tu ne cours par régulièrement avec le cardio ceinture et si tu ne fais pas régulièrement les tests vo2max, seuil, etc.
J’ai une prédiction à 2h38 sur marathon . Je sais pas du tout d’où elle sort ce chiffre mais c’est stratosphérique pour moi.
Je ne coure quasi jamais avec la ceinture, la dernière fois que je l’ai mise ma montre en a profité pour actualisé les prédictions
Bon 3h15 au marathon, c est toujours trop optimiste mais c est moins déconnant qu’avant
Donc oui, j’ai aussi cette impression que sans la ceinture, faut vraiment rien en espérer
1an et demi plus tard, tu en dis quoi ?
Alors, pour être franc je ne l’utilise plus depuis plus de 6 mois.
C’est très bien pour avoir une allure vraiment fiable et précise quand on prépare une course ou le respect de l’allure est primordial (moi c’était pour du semi marathon mais marathon 10km 5km bref ce genre de choses).
L’allure est vraiment très fiable et très précise et c’est incomparable avec la précision des montres GPS qui reste assez médiocre en comparaison.
Mais la je prépare des trails longs, dans lesquels en soi je me fous de l’allure et du temps, c’est beaucoup plus aux sensations donc dans cette configuration ça ne m’est pas utile.
On pourrait s’en servir avec la puissance mais je n’ai pas été convaincu pleinement par cet aspect. C’est intéressant mais ça demande trop d’investissement en temps pour analyser etc
Salut les coureurs.
J’ai participé au Sedan-Charleville dimanche dernier et vu que c’est ma plus longue course à ce jour et que je me suis pas mal entraîné ces derniers mois pour ça, je voulais partager avec vous mes impressions.
Déjà le parcours : 23,6 km de route départementale entre ces deux villes, la plus vieille course inter-cités de France (102ᵉ édition cette année), pas de difficultés particulières si ce n’est deux vilains dénivelés positifs sur la fin (kilomètre 18 et 20) qui m’ont bien cassé les jambes. Fort heureusement, la préparation a servi à quelque chose et j’ai réussi à reprendre mon allure pour finir sur les 600 derniers mètres avec une accélération graduelle jusqu’au « sprint » final.
Après une course de préparation il y a deux semaines (les foulées aquatintiennes, 14 km constitués de 2 boucles de 7 km avec un premier tiers en D-, un tiers à plat et le dernier tiers en D+, un cauchemar sur la deuxième boucle, j’étais parti bien trop vite - environ 6’10"/km au lieu des 6’35" visés - et même si j’ai tenu la totalité de la course à cette allure et amélioré mon temps de manière assez simple, j’ai fini complètement vidé, plus aucune énergie pour le sprint final) qui ne m’avait pas vraiment mis en confiance, je suis parti en étant très vigilant à bien respecter mon allure cible (6’45"/km ce qui me permet sur 1870 participants d’en enterrer 122 - il n’y a pas de petites victoires). Et j’ai plutôt bien fait, car j’ai finalement tenu mon objectif.
Ensuite l’ambiance : et bien, elle a été directement liée à une météo que je qualifierais sobrement de « merdique ». Je ne suis pas particulièrement dérangé par les sorties sous la pluie, mais là dimanche, c’était vraiment le pompon. Il a plu sans discontinuer pendant les 2 h 40 de ma course avec une légère accalmie durant 30-40 minutes (c’est-à-dire qu’il pleuvait toujours, mais un peu moins fort, j’ai pu baisser ma capuche pendant ce temps-là). Du coup, il y avait du monde tout le long du parcours, mais bien moins que d’habitude d’après ce qu’en disaient les habitués. Il en résulte une course qui a reposé essentiellement sur le mental, car il a fallu aller puiser la motivation loin dedans sans pouvoir trop compter sur les encouragements des gens déjà bien sympas de supporter un tel temps de chien pour regarder 1870 gugus se faire rincer.
J’ai d’ailleurs eu un gros coup de mou vers 19-20 km, j’ai cru que j’allais m’arrêter tout net. Il a fallu que je fasse un véritable effort mental pour ne pas me laisser abattre.
Une fois rentré dans Charleville, quand j’ai pris conscience qu’il ne restait plus que 3 kilomètres, j’ai repris du poil de la bête, les gens plus présents et nous encourageant ont bien aidé à se motiver jusqu’à la ligne d’arrivée.
J’ai fini complètement trempé, et dès l’arrêt de la course, alors qu’il faisait plutôt doux, j’ai eu très froid. Fort heureusement, j’étais hébergé chez des amis habitants à une cinquantaine de mètres de l’arrivée, la douche est vite arrivée
Donc bilan plutôt positif malgré la difficulté, surtout liée à la météo. Après un semi l’année dernière, cette course a confirmé que le marathon, ça ne sera jamais pour moi. Dans deux semaines, il y a le Run’in Reims chez moi, je suis inscrit aux 10 km, j’avais hésité à refaire un semi, mais je vais rester sur mon idée de départ, j’ai besoin d’une épreuve plus « cool ». À refaire l’année prochaine cependant, en visant peut-être 2 h 30 (soit 6’35"/km, ça me paraît jouable).
Le parcours et les stats qui vont bien :
Cette allure de champion :
Ces mollets de compet’ !
Je suis toujours admiratif de ces comptes rendus de course. Je n’attends suis jamais parvenu pour ma part.
Je tenterai de faire de même si j’arrive à boucler mira course de samedi, le défi est lancé !
Aïe mon talon .
Bravo pour la course. Faut une sacrée dose de motivation pour sortir par cette météo.
Chapeau pour la perf’ ! (Mon premier 21km, ce sera dans 10 jours - gloups)
Hey, mais on ne te voit pas sur le groupe GeekZone de Strava France Club | GZRunners on Strava !
Si, si, je suis dessus. Merci.
(Ah mais oui, en plus : il faut que je m’achète de nouvelles lunettes)