Bon le compte rendu ne sera ps pour ce soir mais j’ai fini mon trail !
80km 3000D+ 3000D-
10h29 je finis 32ème.
Globalement satisfait, c’est la première excursion sur une course de plus de 55km.
Déception j’étais dans les 10 premiers a mi course, assez frais et hop grosse douleur à la rotule et à la hanche.
Les 4h de couse ça a été au mental 100% (et un peu l’experince malheureusement)
J’arrive à ne perdre que 22 places et je suis donc bien content du mental (j’ai eu envie d’abandonner plus d’une fois)
Exactement ça !
Vraiment bien, très roulant c’est assez inhabituel finalement et il y a bien moyen de se faire plaisir !
Pas vraiment technique non plus.
Par contre moi j’avais pas prévu que ça soit si roulant sinon j’aurais pas fait le même entraînement
En plus pas énormément d’inscrit dont t’es tranquille sur les chemins ! Et niveau pas super relevé globalement donc moyen de faire une place sympa. Cette année le top 10 était totalement touchable.
L’orga est ok, ça reste du petit truc confidentiel mais ça va.
Premier trail de 21km 1000D+ ce week-end (Trail du Buis) en 2h39 - en soi c’est honorable, mais je ne sais pas si j’arriverai à beaucoup m’améliorer.
En entraînement je me mets des podcasts dans les oreilles, mais pas pour cette course. Je croyais que j’allais m’ennuyer alors que pas du tout : la dynamique avec les autres concurrents et l’écoute de soi ont suffi à maintenir un intérêt constant. Toutefois, pour suivre les conseils d’un copain grand coureur, à 3km de l’arrivée j’ai voulu débrancher le cerveau et donc je me suis mis la playlist ultime : l’OST de « Crypt of the Necrodancer ». Hé bé ça a donné un coup d’endorphine au bon moment, j’ai fini la course avec une grande banane !
Fin d’année compliqué niveau couse a pied… j’ai toujours une cheville en vrac malgré les pauses et le kiné… du coup, j’ai décidé d’y aller yolo-yolo. Qu’est ce qui pourrait mal se passer… les ligaments sont déjà morts…
Ça commence a porter ses fruits : 10km/ 700 D+ en 1h10 pour aller chercher la neige… un régal :
J’ai été retenu pour participer à l’Endu’Rance Trail des Corsaires début mars 2023.
Une « course » un peu particulière, j’explique en-dessous :
Il n’y avait que 100 places disponibles pour cette édition 1, l’organisation a choisi sur « dossier » parmi presque 200 candidatures et j’ai la chance d’en être !
Il y a eu une édition 0 en mars dernier avec 75 participants.
Un ultra-trail qui, sur le papier, a tous les ingrédients pour me plaire : 100 km entre le Cap Fréhel et Saint Malo par la côte, en auto-suffisance complète, sans balisage, sans chrono ni classement.
L’essence même du trail running à mon avis.
L’organisateur prône des valeurs simples dans ses choix, qui me parlent vraiment : « L’engagement individuel et collectif, le partage, la découverte, le respect de l’environnement et le dépassement de soi ».
Preuve qu’on n’est pas sur un trail comme les autres : nous avons reçu, en même temps que notre confirmation de participation, la liste et les coordonnées de tous les participant(e)s.
Je comprends que l’idée est vraiment de constituer un collectif avant, pendant et après l’évènement, et ça me plait !
J’ai vraiment du mal à comprendre comment c’est possible de faire 100k…
Je suis à max 30km, j’essaie de me motiver à faire une distance marathon pour la « forme », mais plus, ça me parait tellement fou… (comprendre aussi, tellement d’hygiène de vie sur le long terme).
Question d’hygiène de vie, d’entraînement spécifique aussi je pense.
Bientôt 50 ans et ma distance max ça a été le Sedan-Charleville cet automne (23,6 km), et je pense que je ne ferai jamais de marathon. Dans l’absolu, j’aimerais bien m’y frotter, mais passer à 3-4 sorties/semaine c’est renoncer à trop d’autres choses par ailleurs, il faudrait aussi que je perde 10-15 kg pour pouvoir le faire dans des conditions correctes, bref beaucoup de grosses contraintes et ça juste pour doubler ma distance. Je n’ose pas imaginer ce qu’il faudrait faire pour viser 100 bornes.
Dans mon cas, 100x plus facile de faire un ultra que de faire un marathon. L’objectif n’est pas le même. Faut goûter aux ultras de montagne pour s’en rendre compte :). C’est une vrai drogue.
Pour la charge d’entraînement, elle est bien plus légère sur ultra
Dans mon cas oui. Les contraintes sur le corps ne sont pas les meme aussi. Tu passes beaucoup de temps à marcher. Par exemple, sur le TAR(55km), je fini à 6km/h de moyenne et sur l’EB(144), à 3,5. Plus c’est long, plus c’est facile.
Mon entraînement ultra c’est beaucoup de rando et un peu de course à pied.
Mon entraînement marathon, c’est des sorties à 4.15min/kil crevantes.