J’ai récemment découvert Grindstones (enfin j’en connaissais l’existence mais je n’avais jamais essayé):
N’y touchez pas.
Autant Balatro m’a laissé froid, autant Grindstones a trouvé mes cellules productrices d’endorphine et les presse comme un vigneron qui prépare son Beaujolais. Send help.
Grindstone, je l’ai grindé (hrhr), et arrivé a un certain niveau, ça devient assez répétitif et lourdingue. Mais bon, ya moyen d’engloutir une centaine d’heures sans forcer.
En regardant les screenshots, je croyais que c’était un énième match3, mais c’est effectivement différent et bien plus intéressant. Merci pour la découverte (sur iOS).
Tu m’avais donné envie et ça tombait bien, il était donné gratuitement sur Prime Gaming. Je me suis bien amusé, le jeu m’a bien accroché jusqu’à la fin alors que je n’étais pas fan des parties TPS.
Par contre, après, j’ai lancé l’original qui trainait dans ma bibliothèque pour comparer : en faire un remake n’était pas du luxe ! Autant j’ai dû faire les 3 premières missions du remake en 20 minutes, autant ça m’a pris deux heures sur l’original. Entre la maniabilité et le fait que le jeu ne te pardonne rien (excès de vitesse, passage au feu rouge…), ou même l’absence de mini-carte… j’ai perdu l’habitude des jeux un peu plus « exigeants ».
Puis il y a aussi un mode « Circulation libre » dans lequel on peut se promener librement dans la ville de Lost Heaven avec le véhicule de son choix. Et j’y ai passé quelques heures à rouler juste pour le plaisir. Jusqu’à découvrir qu’en fait, il y a des missions secondaires qu’on peut débloquer via des notes laissées au quartier général (ce n’était expliqué nulle part) Cela consiste à trouver une cabine téléphonique qui sonne et qui va déclencher une mission. Une fois terminées, elles débloquent un nouveau véhicule ou costume. Certaines de ces missions sont totalement WTF J’ai dû passer une dizaine d’heures à faire la petite dizaine de missions.
J’ai terminé le tout nouveau Mario & Luigi sorti début novembre (L’épopée fraternelle)
Hé bien, le passage à la 3D est une superbe réussite ! J’ai cru naïvement que ça allait être un « petit » jeu dans la lignée des prédécesseurs (du moins les 4 premiers jeux, puisque j’ai zappé les trois derniers). Je me suis trompé. C’est un jeu plus ambitieux (ce qui en fait est normal vu les capacités de la Switch par rapport à la Nintendo DS) avec une aventure plus longue (60 heures environ), des quêtes secondaires et même quelques embranchements scénaristiques (même si l’histoire reste linéaire). On retrouve l’inventivité et l’humour des précédents épisodes, les combats dynamiques (mélange de tour par tour et temps réel). Puis alors la dernière partie du jeu, c’est un vrai régal. Il y a toujours cette volonté d’innover et de sortir des sentiers battus du JRPG.
Moi je dis bravo Nintendo ! (et au studio qui était en charge du développement)
A l’occasion de sa gratuité sur Epic, j’ai trempé un orteil sur Brotato et bordel de merde le truc m’a choppé la jambe, le corps et le reste jusqu’à siphonner mon âme !
J’ai retrouvé tout ce qui m’avait scotché à Vampire Survivors, les éclairages psychédélique en moins et la gestion de ressources en plus.
J’apprecie l’organisation du jeu par vague, qui le rend plus posé que VS et permet une meilleur gestion des stats et des synergies.
Le RNG joue également un rôle plus important, qui fait qu’on ne peut pas totalement décider son build AVANT le run mais qu’on doit faire des choix en fonction des drops.
Bref, je ne sais pas où sont passées mes 3 dernières journées, et j’y retourne dès que ce message sera envoyé car je dois tester le fermier.
Alors que j’étais en plein run de Red Dead Redemption, la sortie de Rise of the Golden Idol (mon 3eme GOTY de l’année je le rappelle) m’a un peu fait dévié de ma route et j’ai eu envie de tester les jeux de Joe Richardson. Mais si vous savez, les jeux où le mec anime des vieilles peintures.
Et j’ai adoré. J’ai trouvé ça très drôle et surtout bien fait. Cette façon de reprendre les tableaux, de les détourner, les transformer et les animer juste ce qu’il faut, c’est du génie.
C’est du point&click burlesque, avec des énigme loufoques (mais jamais tordues).
Dans son bundle on trouve un premier jeu qui met en place son style de jeu mais sans l’environnement « peinture de la renaissance », mais qui est une très bonne mise en bouche.
Les 3 suivants sont une vraie trilogie dans cet univers de peinture mais peuvent être joué indépendamment. On appréciera le fait qu’il ait mis un musée dans ses jeux avec les tableaux dont il s’est inspiré.
Les jeux se finissent en 2-3h grand max en général.
Edit : Les deux premiers jeux sont en anglais uniquement, mais il existe un patch FR non officiel pour Four Last Thing. Les deux derniers de la trilogie sont direct en français.
J’ai terminé la semaine dernière Alan Wake 2. Et bien après un démarrage plutôt convenu, et qui me rappelait un peu trop le premier (qui m’était tombé des mains à l’époque), j’ai été happé sans m’en rendre compte.
Une ambiance oppressante, des lieux et situations qui lorgnent fort du côté de Twin Peaks, j’avais malgré tout peur d’une difficulté punitive. Mais il n’en est rien, c’est beaucoup mieux dosé que le premier jeu et on avance dans le dédale construit par Alan, les scénaristes et nous-mêmes, armé comme il faut.
L’alternance entre les deux protagonistes de l’histoire, laissé à notre convenance, propose deux ambiances et deux types de jeux assez distincts. J’ai commis l’erreur d’aller au bout d’un personnage avant d’attaquer l’autre, rendant certaines phases de jeux un peu trop longues quand j’aurais pu alterner avec l’autre afin de casser cette petite lassitude.
Il y a des chapitres complètement fous et épiques, mais je ne peux rien spoiler.
À la fin, je vais être honnête, je ne suis pas certain d’avoir tout bien compris, mais le voyage est pourtant mémorable.
J’ai terminé hier le premier DLC (Night Springs) qui, en trois parties totalement différentes, nous font jouer d’autres personnages, d’autres situations, avec tellement d’inventivité, c’est un véritable régal. Il ne me reste plus que le second DLC (The Lake House).
En conclusion, si on n’a pas peur d’avoir peur, il s’agit d’un incontournable pour l’ensemble du jeu.
J’avais commencé en parallèle Aliens Dark Descent, mais ça faisait trop de jeux stressants, je l’ai donc mis de côté pour l’instant pour y revenir plus tard.
Je retente Life is Strange, à la faveur de la sortie du dernier qui m’a rappelé que je n’avais terminé le tout premier, mais j’ai aussi craqué sur Nobody Wants to Die, un jeu d’enquête dans un monde qui convoque autant Blade Runner qu’Altered Carbon.