Je psychote sûrement un peu, mais pour l’avoir eu deux fois, au niveau respiratoire ça y ressemble tellement et je n’ai pas souvenir en 20 ans de course à pied qu’une autre infection m’ait fait le même effet. Mais c’est certain, ça peut être autre chose. C’est juste que ça me stresse beaucoup cette soudaine perte de capacité. Comme je disais au-dessus, je retente samedi, s’il n’y a pas d’amélioration, je prends rdv chez mon médecin.
Ça me paraît prudent. Et si ça recommence, ne cherche pas à pousser, il faut couper l’effort et rentrer.
Pour info : la fonction remarche enfin depuis quelques jours…
C’était le Sedan-Charleville aujourd’hui. J’étais bien entraîné, encore samedi dernier j’ai fait 17 bornes à 6’25" qui était ma cible.
C’était sans compter le dérèglement climatique qui s’est invité dans l’équation. Départ à 13h sous un soleil écrasant, pas un pet d’ombre sur les 23,6km du trajet.
Je me suis pris un mur violent à 8km, ça ne m’était jamais arrivé. Je ne m’en suis jamais vraiment remis physiquement et psychologiquement. Ça n’a été ensuite qu’une longue succession de course à 7’00" et de marche. Un calvaire, des jambes raides, les pieds qui brûlent.
Bref, je finis 2072 sur 2170, le moral dans les chaussettes mais avec une forte vigilance pour le semi de Reims dans deux semaines (qui a lieu plus tôt le matin, ça devrait déjà être moins chaud).
Bravo pour être allé au bout !
Merci, j’avais un peu le moral dans les chaussettes depuis. La course de ce matin m’a remis d’aplomb. J’ai eu le temps d’analyser ma course et j’ai noté plusieurs facteurs qui expliquent cette contre-performance :
- la chaleur évidemment
- un départ trop rapide, je suis à 6’15" sur le premier kilomètre et autour de 6’30" pour les suivants alors que mon plan était de partir à 6’40" et de voir après 11-12km si j’en avais sous le pied. Erreur de n00b que je n’avais pas le droit de commettre. Résultat, je suis à plus de 160bpm à partir du 7ᵉ kilomètre.
- un horaire qui ne correspond pas du tout à mes habitudes de course (je ne cours quasiment qu’à la fraîche, 7h-7h30), à 13h généralement, je succombe à la sieste en temps normal.
- je cours toujours à jeun, là, j’avais déjeuné à 7h00, remangé un morceau à 10h, pas sûr que ça m’ait aidé.
Bref, entre les facteurs sur lesquels je ne pouvais pas influer et les autres, pas mal de regrets, mais surtout l’envie de prendre une revanche l’année prochaine (ce sport rend fou).
C’est le risque en course en peloton, se faire aspirer par les groupes a des allures qui ne sont pas les notres
Idéalement il aurait fallut l’anticiper, et s’entrainer en s’adaptant a ces contraintes de la course
Pas a chaque séance, mais en faire quelques unes dans les mêmes conditions pour trouver une routine qui va bien
(La chaleur particulièrement anormale de ce weekend aurait été plus dur a anticiper/préparer mais en courant a l heure de la course ca aurait sans doute un peu aidé aussi)
C’est ce que je me suis dit après coup, mais honnêtement, courir deux fois par semaine c’est déjà, du point de l’organisation, quelque chose qui est une forme de contrainte. Alors si je dois déporter cette contrainte sur des horaires qui m’enlève le plaisir de la course, c’est un sacrifice que je ne suis pas prêt à concéder. Si je dois refaire le Sedan-Charleville l’année prochaine, je tâcherai d’être plus prudent. Mais ça m’avait considérablement moins perturbé l’année dernière, le temps n’était pas du tout le même (pluie torrentielle). [Sport] Course à pied - #1182 par Ghadzoeux
Je comprend, chacun fait comme il peut/préfère
Je me souvenais de cette photo sous la pluie
Si tu étais sous le cagnard sans ombre c’est normal d’avoir fait une contre performance, pourquoi se démoraliser pour ça ?
Je m’en veux de ne pas avoir su gérer ça. Je sais pertinemment que si j’avais levé le pied et j’étais resté sur une allure de 6’45 ça passait et je faisais tout en courant. Après, tant pis mais sur le moment, j’étais dépité.
Bon, j’avais une revanche à prendre sur le Sedan-Charleville et c’est fait :
J’aurais peut-être dû pousser un peu plus pour être à 6’30" du kilomètre à la fin, mais j’ai vraiment voulu assurer le coup. Le temps était vraiment de la partie, un vrai froid de mi-octobre à 10h00 et un ciel bien dégagé. Petite montée en puissance après le 12ᵉ kilomètre, de 6’40" de moyenne à 6’30" en gros.
Arrivé au 18ᵉ, j’ai redonné un coup, mais j’ai eu peur d’être un peu court, je manquais de repère sur ce nouveau parcours (j’ai beau connaître ma ville, ce ne sont pas des endroits où je cours habituellement) et j’ai préféré ralentir au 19ᵉ (ça se voit sur l’image : je me suis fait regratter par 8 coureurs ^^).
Finish à 5’30", j’en avais finalement plus que ce que je croyais sous la pédale.
J’ai couru quasiment tout le long avec mon frangin qui faisait son premier semi, je l’ai perdu à 18km, car il a commencé à avoir une crampe à la cuisse, mais il finit 40 secondes derrière, ça va. Bref, c’était très sympa
Bravo ! Joli rebond juste après les contrariétés il y a 15 jours.
Retour sur la course que j’ai faite samedi dernier. Je cherchais un semi-marathon sympa et pas trop dur à faire pour préparer un marathon mi-novembre. Tout ce que j’ai trouvé c’est… l’exact inverse : le Diablo Summit Stomp, qui consiste à grimper une grosse colline. Et quitte à courir dessus, je me suis dis, pourquoi pas aller tout en haut et m’inscrire pour les 30km plutôt que 20km, ça fera un truc à raconter ( ).
Je suis donc arrivé samedi matin pour le départ de la course et j’ai commencé à regretter quand j’ai vu à peu près 1 tier des participants avec des batons de marche. La première moitié tout en montée était difficile, j’avais des bonnes sensations mais je me suis bien épuisé.
Je suis ensuite arrivé à une jonction où les participants au 30k avaient le choix entre : continuer vers le sommet sur le chemin prévu ou commencer la descente et être comptabilisé sur le classement du semi-marathon. J’ai continué vers le sommet, et à ce moment là, entre la fatigue et le faite que l’inclinaison devient plus élevé que le reste du parcours, c’était plus possible pour moi de courir en monté et même les derniers mètres en marchant ont été difficiles pour atteindre le sommet…
Après une pause de 5 grosses minutes au sommet, je me suis lancé sur la descente qui m’a permis de me rendre compte que mes cuisses étaient pas enchanté de leur samedi. C’était clairement pas une belle descente mais ça s’est quand même fait. Les derniers kilomètres étaien plus « plats » mais sans doute la partie la plus dur de la course, j’ai compté les mètres.
Au final, très content d’avoir terminé la course (presque dans le premier quart : 26/96), c’était définitivement plus dur que le marathon que j’ai fais en juillet dernier. Je pense pas que j’aurais changé d’avis mais j’aurais du le comprendre en regardant le dénivelé. Ça fait 4 jours que la course est terminée et je commence enfin à pouvoir me lever sans trop de difficulté malgré le décrassage du lendemain, les étirements et la glace plusieurs fois par jours. Mais le plus important : aucun pépin physique !
Bravo ! Une belle course ! 1400 de D+ sur 30km, c’est sur que tu es très loin d’un semi facile
Quelle idée aussi… courir en montée…
De quoi te motiver pour l’hiver
Vo2max de 42? Allez hophophop de l’intensité et du cardio
Je suis justement en train d’étudier la question du remplacement de ma fenix 5. Pas encore passé le cap du prix des nouvelles. Je vais peut-être passer chez coros.